mer de tous les rêves.2
**Ce que vous voyez sur l’image, c’est le nouvel hotel de Bora Bora construit sur un lagon…île mythique de Polynésie… Accroché à trois motus, ces îlots qui séparent l’océan de la mer intérieure entourant l’île principale, les rangs des farés sur pilotis du Four Seasons s’alignent au-dessus de l’eau turquoise. L’image d’Epinal du séjour de rêve et des lunes de miel reste intacte. Chaque bungalow avec quai et plongeoir privés, a été construit avec des matériaux naturels (autant que faire se peut) dans un souci de développement durable. La toiture en pandanus, des feuilles d’un arbre local tressées, fait appel à un matériau séculaire utilisé dans l’habitat traditionnel, même s’il est nécessaire de la remplacer tous les cinq ans avec le climat tropical humide. Ici, les parois ne sont plus en béton mais en bois venu de Birmanie car les ressources forestières de la Polynésie française sont maigres. Mais le plus écologique est caché. Chaque faré, comme dans tout cinq étoiles qui se respecte, est connecté aux réseaux électrique, téléphonique et internet. Ces fils de cuivre et de fibre optique sont reliés en plus à des capteurs. Objectif, une gestion très fine de l’énergie permet d’observer les consommations et de les optimiser, y compris la pression de l’eau sous la douche. Un gain de près de 20% est obtenu, selon la direction du Four Seasons qui compte parmi ses salariés un ingénieur chargé de piloter tous ces systèmes. Les incontournables climatiseurs, par exemple, produisent aussi de l’eau chaude. Les calories récupérées ne sont plus envoyées dans l’atmosphère mais servent à chauffer un ballon d’eau sanitaire. Si un toit de faré ne se prête pas à l’accueil de panneaux solaires, en revanche, les pentes invisibles des bâtiments collectifs sont utilisées pour porter de tels chauffe-eaux à énergie renouvelable. Sur cette île mythique de Polynésie, une autre expérimentation intéressante fonctionne maintenant depuis deux ans à l’hôtel Intercontinental : la climatisation venue du fond des mers. L’océan, ici, est très profond avec un millier de mètres non loin du bord. Un tuyau en titane plonge à 930 m pour récupérer de l’eau à 4°C. Elle alimente des échangeurs qui produisent l’air froid distribué dans les chambres. Economie : de l’ordre de 2,5 millions de litres de fuel qui auraient alimentés des groupes électrogènes et plus de six millions de tonnes de CO2. La gestion de l’eau sur Bora Bora qui en manque, est également optimisée. Outre la récupération de la pluie, les eaux usées sont renvoyées des hôtels par tuyau sous-marin vers une usine de traitement puis distribuées pour arroser les terres horticoles. (source..le Figaro)
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* les Caraïbes …une mer d’une beauté éblouissante
Dans son 38ème numéro d’ « Hushuaia Nature », Nicolas Hulot met le cap sur les Caraïbes pour raconter l’histoire mouvementée de cette région qui véhicule des tonnes de clichés. Une région sur laquelle, il y a soixante millions d’années, la plus grosse météorite du monde est tombée, contribuant selon certains scientifiques à l’extinction des dinosaures et à l’avènement des mammifères. Des centaines de milliers d’années plus tard, il y a 15 000 ans, l’immense désert qui se trouvait là s’est transformé en une mer d’une beauté éblouissante sous l’effet de la fonte des calottes glaciaires. Fidèle à son habitude, le globe-trotter écolo se met en scène dans des situations risquées; équipé d’une combinaison de plongée en métal, il accompagne au fond de la mer une plongeuse spécialiste des requins qui s’amuse à hypnotiser un squale… des séquences étonnantes d’émotion.
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Iles Maurice… variations autour d’un rêve
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* le Malawi …C’est surtout pour son lac, le plus précieux de la planète, que le Malawi se démarque sur la carte de l’Afrique australe. Likoma Island est le havre parfait pour qui veut explorer ce joyau lacustre et découvrir l’autre trésor du Malawi, son peuple.(Le Figaro)
Étiré sur près de 600 km, le lac Malawi occupe un cinquième de ce petit pays, le plus densément peuplé d’Afrique. La beauté de ses paysages en fait une destination rare pour les visiteurs et une promesse d’espoir pour la population. Sur Likoma Island, Kaya Mawa montre l’exemple…
Kaya Mawa, un havre pour ses hôtes et l’espoir de toute une population. Employant une centaine d’îliens dans une relation de respect mutuel, le lodge fait vivre près d’un millier de personnes.
* une île australienne paradisiaque
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Interesting…
Le rêve effectivement mais légèrement inaccesible hélas …Bonne fin de journée Jacqueline
Dernière publication sur Binicaise : Blog en pause pour une durée indéterminée.