Les bonnes raisons de partir en vacances
3052016**Echos de la mer et de la Nature – 6 -
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Saison estivale 2016 :
pas de concession de plages au privé
Le ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales, Noureddine Bedoui, a instruit les premiers responsables des wilayas côtières, de surseoir, à l’occasion de la prochaine saison estivale, à toute procédure de concession de plages à des opérateurs privés.
**6 millions d’estivants attendus cet été sur les plages g’Alger
Une douzaine d’établissements publics de wilaya sont mobilisés afin d’aménager les routes, les accès aux plages et aux parkings et assurer l’équipement en accessoires divers dans un cadre organisé.
Les 72 plages du Grand-Alger devraient accueillir durant la prochaine saison estivale environ six millions d’estivants, a affirmé le directeur du tourisme de la wilaya d’Alger, rapporte l’APS. «Cette année, les plages vont attirer beaucoup d’estivants, soit approximativement un peu plus de six millions, un chiffre déjà atteint l’année dernière, alors qu’ils étaient plus de 4 millions en 2014», a indiqué M. Benakmoum. L’autre nouveauté pour cette année est que le nombre de plages ouvertes à la baignade dans la wilaya sera porté à 72, contre 69 en 2015, grâce notamment à l’aménagement de celle de Bordj El Kiffan et à la réouverture de Palm Beach, alors que d’autres pourraient être prêtes à recevoir le public si les analyses de l’eau de baignade se révèlent satisfaisantes, a ajouté le directeur du tourisme.
Au total, comme en 2015, il y a une douzaine d’établissements publics de wilaya qui sont mobilisés afin d’aménager les routes, les accès et les parkings et assurer l’équipement en accessoires divers dans un cadre organisé. En plus du souci d’assurer la disponibilité d’équipements adéquats, il y a aussi l’hygiène et la qualité de l’eau de baignade à surveiller à travers des contrôles réguliers. «Ce sont tous ces éléments qui sont susceptibles d’attirer un grand nombre d’estivants», a assuré M. Benakmoum, avant de lancer un appel aux citoyens afin de veiller à l’hygiène des plages et la protection de l’environnement et les exhorter à éviter la dégradation des cabines et «à ne pas gaspiller l’eau des douches».
«Sur les 97 km de littoral algérois, seulement 25 km ne disposent pas de plages en raison de la configuration géographique, mais tout le reste sera organisé», a affirmé M. Benakmoum, pour qui «il est question d’en finir avec les jeunes qui squattent les plages». Il a souligné que «la wilaya a investi 30 milliards de centimes en 2015 pour procéder à l’aménagement et à l’équipement des grandes plages de la capitale» à travers un dispositif dissuasif mis en place pour lutter contre leur squat. Pour autant, nombre de plages parmi les plus fréquentées de la wilaya d’Alger, dont Azur-Plage, Staouéli et Zéralda, ainsi que plusieurs autres à l’est de la capitale étaient squattées en 2015 par des bandes de jeunes qui imposaient aux estivants leur diktat et le paiement de l’accès à la plage, le parking et les accessoires, comme les parasols.
M. Benakmoum a ajouté qu’il est temps que les plages deviennent une source de revenus pour la wilaya, qui garantit par ailleurs aux estivants la gratuité de l’accès, même s’il faut débourser 50 DA pour le parking en plus des tarifs des autres services, telle la consommation dans les buvettes. Auparavant, les vacanciers constataient une gestion anarchique des plages par les jeunes, leur imposant la location des parasols, des tables et chaises entre 500 et 1000 DA. Des dispositions ont été prises afin de lutter contre ce phénomène, a soutenu M. Benakmoum.
C’est après avoir tiré les conclusions du bilan de la saison estivale de 2014 que la wilaya a diagnostiqué une gestion anarchique des plages avant de commencer à y mettre fin dès 2015, explique-t-il. Par ailleurs, la préparation de la saison estivale se poursuit toujours et des inspections auront lieu au niveau des plages de l’est d’Alger, comme El Kaddous (Heuraoua), Decca-Plage, Surcouf (Aïn Taya), Les Tamaris (Bordj El Kiffan), Réghaïa-Plage, Tamentfoust (El Marsa), les Sirènes I et II (Bordj El Kiffan) ou encore à l’ouest, à l’instar de Khelloufi I et II (Zéralda), Sidi Fredj-Est et Azur- Plage (Staouéli), El Bahdja et la Madrague (Aïn Benian).
Ces actions ont pour but d’améliorer les conditions d’accueil sur les plages, tout en garantissant la sécurité des estivants grâce à la présence de la Gendarmerie nationale, de la sûreté de wilaya et de la garde communale. Les établissements de wilaya, Netcom et Extranet sont chargés de veiller à la propreté de ces plages, en procédant à la collecte et à l’évacuation des déchets de façon régulière, a conclu M. Benakmoum. *APS / vendredi 13/05/2016 |
**L’Ile de Rachegoune, à côté de Béni-Saf
L’Ile de Rachegoune, aire protégée classée zone humide d’importance internationale dans le cadre de la convention Ramsar, fait l’objet d’une étude pour le projet « Medkey Habitat » portant sur la réalisation d’une cartographie des habitats marins, a-t-on appris lundi auprès de la direction de l’environnement de la wilaya d’Ain Temouchent.
Découlant de la convention de Barcelone paraphée par l’Algérie et comportant des protocoles, notamment celui portant sur les aires spécialement protégées et à densité biologique en méditerranée, ce projet porte également sur la réalisation, sur place, d’une station de surveillance des oiseaux migrateurs, a indiqué Briki Malika, inspectrice principale chargée de ce dossier.
Cette action, initiée par le ministère des Ressources en eau et de l’Environnement avec l’appui du centre d’actifs régional pour les aires spécialement protégées (CAR/ASP), a vu le lancement d’un avis d’appel d’offres international par le réseau marin installé en Tunisie relevant de « MAVA Fondation pour la nature » qui la finance. Cet avis d’appel a abouti sur le choix de l’entreprise nationale « ABBYS Environnemental Services » d’Alger qui va prendre en charge ce projet, selon la même responsable, qui a rappelé que des experts internationaux pluridisciplinaires relevant de cette entreprise ont effectué, vendredi dernier, une visite à Ain Temouchent.
En raison du mauvais temps, la visite de l’Ile de Rachegoune a été annulée, a-t-elle signalé ajoutant que ces experts reviendront prochainement pour séjourner une semaine sur cette Ile.
Considéré comme projet pilote au niveau national, « Medkey Habitat » porte sur la protection du milieu marin et les espèces animales en danger d’extinction, objet de cette convention ratifiée, en 1995, par l’Algérie.
L’étude de ce projet doit être effectuée dans un délai de dix mois, en vue de réaliser un inventaire des habitats les plus importants et renforcer les réseaux de surveillance, a encore indiqué Mme Briki.
Classée zone humide d’importance internationale en juin 2011, l’Ile de Rachegoune, située dans la partie ouest de l’Algérie à environ six miles à l’ouest de Beni Saf, occupe une superficie de 38 hectares.
Le site fait partie du complexe géomorphologique régional comprenant les îles Habibas à l’est distantes de 30 miles, rappelle-t-on. Dépourvue de cours d’eau, permanent ou temporaire, l’Ile de Rachegoune, relativement plate et nue, n’est pas habitée. Seul domine le phare dont le personnel en assure indirectement la surveillance. Une jetée du côté sud de l’île joue le rôle de môle pour abriter des bateaux qui peuvent atteindre 16 mètres de long.
La réserve marine couvre environ 1080 ha incluant quelque 2600 mètres de plages sur la côte. Ses cavernes et grottes obscures et semi-obscures, peu étendues, sont néanmoins capitales puisqu’elles ont abrité, il y a moins de 20 ans, le couple de phoques moines.(Aps)– mardi 17/05/2016 |
*Liaison maritime entre Jijel et Alger via Bejaia opérationnelle début juin 2016
* le tarif fixé à 1.400 Da par personne
*un aller-retour par jour
Une desserte maritime entre Jijel et Alger via Bejaia sera opérationnelle « début juin prochain », a-t-on appris, mardi, auprès des responsables de l’Entreprise nationale des Transports maritimes (ENTMV).
Cette liaison sera assurée à raison de deux rotations par jour au moyen d’un navire monocoque d’une capacité d’accueil de 340 places, a précisé à l’APS, Lahcène Younes, directeur général adjoint de cette entreprise.
La mise en service de cette ligne maritime s’inscrit dans le cadre de la demande des autorités et des élus de la wilaya pour contribuer à l’ouverture et au désenclavement de la région, a encore précisé ce responsable.
Le même responsable, soulignant que le prix de cette liaison n’a pas été encore fixé, a ajouté que le prix sera « abordable ». Le trajet entre Jijel et la capitale aura une durée d’environ 5 h et demie, a-t-on assuré.
La création de cette ligne de transport maritime s’inscrit également en droite ligne dans le cadre du déploiement des activités de l’ENMTV aussi bien en matière de cabotage national qu’à l’international, a-t-on indiqué.
Lors de la récente visite de travail, le ministre des Transports, Boudjemaa Talai, avait insisté sur la nécessité d’activer les études pour la réalisation d’une gare maritime au port de Djendjen afin de relancer le transport de voyageurs par voie maritime.(Aps)– mardi 17/05/2016 |
**cliquer ici: L’autoroute maritime
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*Les 3 bonnes raisons de partir en vacances
Voyager permettrait de se sentir plus heureux, de perdre du poids et d’avoir davantage de rapports, selon une étude britannique. On n’avait pas vraiment besoin d’excuses pour partir au soleil, mais si on nous les offre sur un plateau, on ne va pas refuser.
81% des personnes interrogées affirment se sentir bien mieux à leur retour qu’avant de partir. Les vacances sont pour beaucoup synonymes de repos et de relaxation. « Vous êtes libre de faire ce que vous voulez, et même de ne rien faire, un luxe qui détend l’organisme tout entier », explique la psychiatre Linda Papadopoulos. « Ces conditions aident à réduire le niveau de stress que l’on peut ressentir dans notre vie quotidienne. Ainsi, beaucoup de choses positives ressortent ».De plus, le soleil permettrait d’accentuer cette sensation de bien-être : « L’exposition au soleil libère dans le cerveau de la sérotonine, aussi appelée hormone de l’humeur. Plus son taux est élevé, plus on se rapproche de la plénitude et du bonheur. À l’inverse, plus il est faible, plus on a de chances de toucher du doigt la dépression », commente la psychiatre.2. Perte de poids
Sur les 31 millions de voyageurs sondés, plus d’un million confie avoir perdu du poids durant ses vacances. Lorsque l’on voyage, on n’a pas toujours l’impression de se dépenser. Et pourtant, les activités de vacances demanderaient plus d’endurance et d’énergie qu’on ne le pense. Une journée à marcher en city-trip, une ballade dans la montagne, ou une après-midi à courir derrière les enfants à la plage, autant d’activités beaucoup plus sportives que celles de notre quotidien, même si on n’en a pas l’impression. Car en vacances, on fait les choses par volonté, donc on ressent moins l’effort.3. Plus de rapports
C’est l’amour à la plage, baisers et coquillages. Ou presque. 2 millions de sondés ont avoué avoir une activité sexuelle plus développée en vacances qu’à l’accoutumée. Regain de confiance et augmentation de la libido, les vacances donneraient à certains des idées.*7sur7 –dimanche 1/05/2016
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*Avec le beau temps annoncé, le secteur touristique de la côte ne peut être plus optimiste à l’approche du long week-end de l’Ascension. Un demi-million de touristes d’un jour est attendu et les réservations dans les hôtels s’accumulent.
A l’approche du week-end, l’office du tourisme Westtoer évalue, sur base des prévisions, qu’environ 500.000 touristes vont se rendre à la côte. « C’est une destination proche et de confiance. Les vacanciers ont le sentiment d’être à la maison. Pour beaucoup, des vacances courtes à la mer au printemps redonnent de l’énergie », indique Franky De Block, directeur de Westtoer.
Les hôteliers sont aussi positifs. La tendance des réservations à la dernière minute semble se maintenir, bien qu’il n’existe pas encore de chiffres exacts. L’année passée, le taux moyen d’occupation était au-dessus des 80% jeudi, vendredi et samedi soirs. Près d’un quart des clients des hôtels restent trois nuits. Un autre quart avait choisi l’an passé de rester deux nuits.
La période autour du pic des mois d’été est très importante pour la côte. Deux tiers du chiffre d’affaires du secteur touristique est réalisé en dehors de la saison estivale. Pour les touristes, de nombreuses formules sont disponibles. Le Kustpas, notamment, donne accès à plus de 40 attractions et le Happy Trip, lancé récemment, est une une formule all-in qui comprend le logement, le train et le tram.* mardi 03 mai 2016/ Source: Belga
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Journée sans voiture ce vendredi 6 mai 2016 à Alger
« Comme à l’accoutumé, la journée sans voiture revient cette année, ce vendredi 6 mai 2016 pour sa 8e édition », a déclaré, le Président de l’APC d’Alger Centre, M. Hakim Bettache, soulignant que « cette nouvelle édition se distingue des précédentes par ses différentes animations, programmées jusqu’à 18h ».
Cette opération devenue un rituel annuel, entre dans le cadre de sensibilisation au respect de l’environnement et l’amélioration de la qualité de vie et ce, par la lutte contre la pollution urbaine. Contacté, hier par nos soins, l’élu de la commune d’Alger Centre a affirmé qu’« une grande partie de la voie sera coupée à la circulation, de 7h00 à 19h00 », « cela va du musée du Bardot à la Place des Martyrs, en passant par la rue Didouche-Mourad, le Boulevard Larbi-Ben-M’hidi et la rue Asselah-Hocine », a-t-il ajouté.
Organisé par la Radio Algérienne, à l’initiative de la radio nationale, mais aussi de la direction de la Jeunesse et des Sports d’Alger, de la DGSN, de la protection civile et d’autres institutions publiques, cet évènement annuel « se veut comme un espace de convivialité mais aussi de récupération de la rue par les piétons », a déclaré M. Bettache. Forte de l’expérience et du succès des sept dernières éditions, et grâce à la forte participation des citoyens, cette initiative éco-citoyenne consiste en l’arrêt de toute circulation automobile toute la journée, entre la rue Didouche-Mourad (au départ du siège du ministère de l’Habitat) et la Place des Martyrs dans la Basse-Casbah, en passant par la Grande-Poste, les boulevards Zighout-Youcef et Che Guevara ainsi que la rue Aslah-Hocine. Il a en outre noté que « des animations musicales et artistiques seront au programme sur les principales places et placettes situées tout le long du parcours» dit-il, « avec également des ateliers didactiques sur la sécurité routière et de peinture pour les enfants, des troupes musicales, clowns et autres », et ajoute-t-il, «l’organisation d’une course exclusivement feminine avec la participation de pas moins de 4.000 femmes ».
Baptisée « l’Algéroise » « cette course 100% femme solidaire, qui sera organisée en marge de cette journée par l’APC d’Alger-Centre en partenariat avec Buzz Media, est une première en Algérie, mais aussi dans le Monde arabe », a indiqué M. Bettache. De même, les amateurs de rollers, vélos et trottinettes pourront s’y adonner avec joie, comme de coutume, tout au long des rues d’Alger-Centre. Une occasion est offerte aux Algérois de profiter au maximum de leur ville par la trêve de l’infernale circulation automobile.**Sihem Oubraham *elmoudjahid./ mercredi 04 mai 2016
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*Des centaines de femmes dans les rues d’Alger pour une course solidaire inédite
Des centaines de femmes ont envahi vendredi 5 mai le centre d’Alger pour une course inédite, bouleversant quelques heures l’ordre masculin qui règne habituellement dans les rues de la capitale, a constaté l’AFP.
Cheveux au vent, casquette vissée sur la tête ou en foulard, elles se sont rassemblées au petit matin dans la rue Didouche Mourad, la principale artère d’Alger.
L’image était d’autant plus insolite dans ce pays où la rue est avant tout un espace d’hommes et que le vendredi est le jour traditionnelle de la grande prière hebdomadaire musulmane. D’ordinaire, on voit surtout des masses de fidèles se rendre à la mosquée et non des femmes parcourir à toutes jambes les rues de la capitale.
La course « Algéroise, 100% femme et solidaire« , inspirée de « La Parisienne« , était ouverte aux plus de 13 ans. Parmi les coureuses figurait l’ex-médaille d’or aux Jeux Olympiques de Sydney (2000), Nouria Benida-Merah, par ailleurs marraine de l’événement. « J’espère que nous allons pouvoir ancrer la culture de la course à pied (pratiquée par) des femmes dans notre société, a-t-elle confié à l’AFP
Nabila Nedjar, habitante de Constantine, la métropole spirituelle de l’est algérien, a fait plus de 400 km pour participer à l’ »Algéroise ». « Cela fait plaisir de voir une course de femmes, ouverte de surcroît au public », s’enthousiasme-t-elle. « Ca donne l’image d’une femme algérienne dynamique, courageuse et fonceuse », enchaîne Souhila, mère de famille de 30 ans.
« L’intégralité de l’argent récolté sera reversé aux associations locales », précise le site de l’Algéroise, comme l’association IQRAA qui lutte pour l’alphabétisation, l’égalité et les droits de la femme et le réseau Wassila qui milite contre les violences faites aux femmes et aux enfants.
La course s’est achevée après un parcours de 3 km dans des rues fermées à la circulation, sur l’esplanade de la Grande Poste où les participantes ont improvisé quelques pas de danse.**AFP / vendredi 06 mai 2016
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*Environ 4000 participantes de différents âges, ont prit part, à la 1re course 100% femmes, organisée vendredi matin, au alentour d’Alger-centre, à l’occasion de la « journée sans voiture » dans le centre de la capitale, a constaté l’APS, sur place.
La course dont le coup de starter a été donné par le ministre de la Jeunesse et des Sports, M. El Hadi Ould Ali et le Wali d’Alger, Abdelkader Zoukh devant le siège du ministère de l’Habitat 135, rue Didouche Mourad, a permis aux participantes de sillonner un parcours de 3 km qui les a emmené jusqu’à la place des Martyrs, en passant par la Grande poste, Boulevard Zighout Youcef, Boulevard Che Guevara, et arriver à la rue Asselah Hocine.
Cette manifestation a connu l’organisation de plusieurs concerts, le matin et durant l’après-midi, à la place Audin, les marches de la grande poste et le parc Sofia, sur l’ensemble du parcours (ministère de l’Habitat, Didouche Mourad, La grande poste, Bd Amirouche, Bd, Che Guc Vara, Rue Asselah Hocine, Bd Zighout Youcef jusqu’à la place des Martyrs.
Des activités sportives avec des moniteurs ont été également au programme, « pour initier les jeunes et moins jeunes à la pratique du sport », et permettre aux riverains de redécouvrir la beauté de la ville d’Alger.
Les riverains ont investi les boulevards et les artères principales dès la matinée et c’est surtout, les enfants qui s’en sont donnés à cœur joie, en utilisant leurs jouets, vélos, rollers et même des planches à roulettes pour exploiter à bon escient les rues d’Alger, quotidiennement envahies par les véhicules, le rush des citoyens et la pollution.
» Le but de cette manifestation dont c’est la 8è édition est de donner quelques bouchées d’oxygène aux riverains et sensibiliser la population sur la menace qui pèse du fait de la pollution automobile. C’est une bonne initiative qui est devenu, avec le temps, une tradition et un événement national qui vise à sensibiliser les citoyens autour des questions liées à l’environnement et à la qualité de vie », a tenu à déclarer le ministre de la Jeunesse et des Sports, saluant au passage les initiateurs, tout en les encourageant à perdurer ce genre de rendez-vous familial.
Tenue sous le slogan « réduisons la pollution, vivons mieux », la journée sans voiture dans le centre de la capitale est organisée par la Radio algérienne et la wilaya d’Alger. (Aps)—vendredi 06 mai 2016
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*Faire du sport est bon pour la santé. On le savait. Mais désormais, la course à pied devient un mode de sociabilité : course à thème entre amis, sortie à travers le pays pour participer à un semi-marathon. En Algérie aussi, on est devenus accros au running.
*5.000 femmes dans les rues d’Alger pour le «running» Warrior
Samedi 07 mai 2016, 5000 femmes traverseront le centre-ville d’Alger en courant. La semaine prochaine, ils seront plusieurs milliers à courir, se jeter dans la boue, ramper sous les barbelés en participant au Run Warrior d’Alger, une course d’une dizaine de kilomètres avec des obstacles. Les adeptes de la course à pied, que l’on appelle aujourd’hui «running», sont de plus en plus nombreux, et le nombre de compétitions où ces sportifs peuvent se mesurer au chronomètre augmente aussi.
En mai, pas un week-end sans qu’une course ne soit organisée dans le pays. Mais ces sportifs ne sont pas inscrits dans un club, n’ont pas de licence. «En 2013, nous avons commencé à courir à 4, aujourd’hui il y a en moyenne 100 personnes qui se retrouvent grâce à notre groupe sur Facebook», raconte Rachid Ghazouli, fondateur du site Running360. Ce sportif de 31 ans fédère aujourd’hui une communauté virtuelle de plus de 30 000 personnes. «Des groupes de course à pied se créent sur les réseaux sociaux.
Les participants sont de plus en plus jeunes, ils ont entre 18 et 25 ans, et ils cherchent de plus en plus à s’inscrire à des courses de compétition», constate-t-il. Sofiane Amoun, 23 ans, termine un master d’éducation physique et sportive à Oran. Proche de Rachid, il lance la version oranaise de Running360 en 2014. Chaque vendredi matin, dans la forêt du Canastel, ils sont désormais plus de 80 à se retrouver pour un footing suivi d’exercices de renforcement musculaire.
Civisme
«Pour moi, animer ces séances gratuites, c’est faire preuve de civisme : inciter des Algériens à faire du sport, les sortir de la routine, les pousser à faire autre chose que d’aller au café», explique Sofiane Amoun. Si les animateurs de ces groupes sont souvent des passionnés de sport, et si certains ont un passé de champion d’athlétisme, les participants, eux, cherchent avant tout un loisir, facile d’accès.
«Pour courir, il ne faut pas de dossier, pas de capacité physique particulière, il suffit d’avoir des baskets et un survêtement. Cette organisation en groupe permet de tisser des liens. Résultat, la course permet de s’occuper le week-end, de rencontrer des amis et de se sentir bien», résume Rachid Ghazouli. «J’ai vu des photos de jeunes qui couraient ensemble en forêt.
C’est quelque chose que j’avais très envie de faire, mais pas seule. J’ai rejoint un groupe, je me suis faite une bande de copains, je me sens plus en forme et j’ai perdu un peu de poids», sourit Lydia, 29 ans. L’amélioration du contexte sécuritaire, le manque d’événement culturel et le développement des réseaux sociaux ont aidé au succès de la course à pied ces trois dernières années, selon les différents animateurs de groupes. «Notre présence sur les réseaux sociaux est très forte.
A force de recevoir des sollicitations, de voir des photos, les gens font le premier pas. Ils se rendent compte que c’est une sortie entre copains, qu’ils sont capables de faire du sport. Ils s’améliorent et très vite cherchent à atteindre des objectifs : un 10 km, un semi-marathon…», analyse Amokrane Mariche, 34 ans, responsable marketing de la région Afrique du Nord pour Nike. Cette année, le Running club d’Alger a loué un mini-bus pour emmener un groupe de coureurs du vendredi assister à l’ultra-marathon de Biskra. Personne n’a participé à la course de 100 km, mais le groupe d’amis a passé un week-end à découvrir la région, a rencontré des coureurs, et a quand même couru 7 km : «Le but, c’était d’être inspiré», résume un participant.
Dépassement
Et pour atteindre ces objectifs, rien de mieux que de se confronter au chronomètre. L’une des premières courses ludiques a été organisée par Nike en 2013 : We run Algiers a réuni 5000 coureurs sur une course de 6 km dans le centre de la capitale. Une star pour donner pour le top départ, une course connectée aux réseaux sociaux, et un très grand succès. «Avant, toutes les courses étaient organisées par les Ligue d’athlétisme.
Nous avons dû expliquer longuement aux investisseurs privés et aux organismes publics que nous voulions organiser une course ludique», se souvient Amokrane Mariche. «Les courses à pied dans les villes existent dans le monde entier, ajoute Mohamed Atique, 46 ans, organisateur de le première édition de l’Algéroise, qui dit avoir voulu proposer un moment de convivialité aux Algéroises. Ma femme participe à La Parisienne chaque année et s’étonnait qu’une telle course n’existe pas à Alger». Amokrane Mariche renchérit : «L’Algérien est connecté avec le reste du monde, il y a un boom international du running, on ne peut pas y échapper».
Amusement
Comme dans le monde entier, les courses à thème font aussi leur apparition. En 2015, Halim Lekir, 24 ans à l’époque, lance sa 4e start-up : «Nous étions un groupe d’amis sportifs, nous avions envie d’aventure, mais il fallait qu’on crée nous-mêmes nos activités. Alors on a décidé d’en faire une entreprise». Quelques mois plus tard, il organise le Run Warrior, dont la deuxième édition se tient les 13 et 14 mai à Alger.
La première édition est programmée grâce aux réseaux sociaux : «Quand on a eu l’idée de la course, on l’a soumise à nos contacts sur Facebook. ça nous a servi d’étude de marché, parce qu’en une semaine, plus de 2000 personnes nous avait répondu en nous disant qu’elles étaient même prêtes à payer pour ce genre de course, raconte Halim Lekir. Il y a une vraie demande pour les activités qui mêlent le défi, la compétition avec le côté ludique».
L’année dernière, plusieurs entreprises ont même inscrit leurs employés au Run Warrior pour faire du «team building». La plupart des participants avaient entre 25 et 40 ans, 60% étaient des hommes et les coureurs sont venus de 17 wilayas, expliquent les organisateurs. Halim et ses collègues ont désormais de nouveaux objectifs : organiser un «Run zombie» et une activité de paintball qui recrée le décor du jeu en ligne «Counter strike», un jeu qui compte plus de 200 000 joueurs rien qu’à Alger. *Beratto Leïla / el watan/ vendredi 06 mai 2016
*Mostaganem : Trident Club propose des formations en plongée sous-marine
La plongée sous-marine qui était, il y a quelques années, un domaine réservé aux professionnels, s’ouvre désormais aux passionnés qui souhaitent découvrir la face cachée de la mer et apprécier ses secrets splendides.
Dans cette optique, des clubs spécialisés et agréés au niveau de la wilaya de Mostaganem proposent des entraînements et des formations. Trident club en est l’exemple. Ce club associatif compte parmi les premiers créés après que la fédération mostaganémoise a repris ses fonctions en 2012. Le secrétaire général et membre fondateur du club, Benaïcha Djahid, affirme que «la plongée est avant tout une passion, et que c’est l’amour de cette passion et le souhait de la transmettre» qui les a motivés, lui et ses collègues, à créer ce club et proposer des formations aux passionnés de la mer. «Plusieurs groupes sont ainsi formés, à raison de quatre stagiaires par groupe. La formation est assurée par un moniteur qui est assisté par deux plongeurs de troisième niveau», a-t-il ajouté.
Au cours de leurs premières plongées, les stagiaires sont souvent pris de peur, et les moniteurs, en parfaits professionnels, tentent de maîtriser la situation en les rassurant et en gagnant leur confiance. «Il s’agit là d’un loisir, un sport, qui ne manque pas de risques comme tout autre sport. La peur est un sentiment justifié», a affirmé M. Benaïcha, avant d’ajouter que «cette peur est vite surmontée une fois que le stagiaire s’adapte au matériel». «Nos activités ne s’arrêtent pas à former des plongeurs, on fait aussi de la randonnée aquatique et du sauvetage et secourisme en mer, comme, par ailleurs, on participe à la préservation et à la protection de l’environnement marin à travers l’installation de récifs artificiels et de nouveaux habitats pour les poissons».
Interrogé sur les obstacles qu’affronte ce club associatif, M. Benaïcha affirme : «Le premier obstacle qui handicape le déroulement de nos activités est l’absence de local par défaut de moyens», et de souligner que les réunions de ce club se font dans une cafétéria au bord de la mer : «Ce n’est pas professionnel de recevoir les gens qui veulent être formés dans une cafétéria.» Il a souligné néanmoins qu’une demande pour l’obtention d’un local a été formulée auprès des autorités concernées mais pour l’heure, de réponse. **A. S. Benzidane / el watan/ mardi 10 mai 2016
** une baleine retrouvée emprisonnée dans des filets de pêche au large de Petit Port, dans la wilaya de Mostaganem.
Lundi O9 mai 2016, une baleine de 8 mètres s’est retrouvée emprisonnée dans des filets de pêche au large de Petit Port, dans la commune de Sidi Lakhdar, wilaya de Mostaganem. Alors qu’un pêcheur remontait ses filets, il a senti que quelque chose de massif était pris dedans. En tirant peu à peu, il a vu émerger la queue d’un grand cétacé : une baleine. Selon nos informations, l’animal agonisait déjà lorsqu’il l’a découvert. Le pêcheur a alors décidé de la traîner jusqu’au port de pêche de Sidi Lakhdar. La baleine mesure environ 8 mètres et pèse plusieurs tonnes, apprend-on. Malheureusement, le cétacé n’a pas survécu et est mort peu après avoir été découvert, souligne-t-on. Pour l’heure, l’espèce de la baleine reste inconnue, de même que les causes de sa mort.*mercredi 11 mai 2016
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« Ports de pêche bleu » à Annaba
C’est hier que la campagne de nettoiement du port de pêche de «La Grenouillère» de la wilaya d’Annaba, a été lancée. Une activité qui s’inscrit dans le cadre de la quatrième édition de la manifestation nationale intitulée «Ports de pêche bleu», ciblant l’ensemble des régions côtières du pays. L’opération a été, notons-le, marquée par un concours de dessins et des espaces récréatifs qui ont été dédiés aux élèves de 3ème, 4ème et 5ème années de l’école An Nasr.
Dans le même contexte, la manifestation vise à faire connaître les ports de pêche et de les rapprocher des habitants et à sensibiliser les jeunes à investir dans ce secteur stratégique notamment. L’événement a été marqué par l’installation d’un des premiers modules, sur les cinq programmés d’un champ de récifs artificiels au large du cap de Garde. Soutenu par le programme FEM/SGP/Pnud, ce projet a dû attendre deux ans pour l’obtention des autorisations nécessaires quant à sa concrétisation. L’aboutissement de ce projet, quatrième du genre en Algérie, après celui de Boumerdès, Mostaganem et Oran où ces récifs artificiels ont été immergés. Ainsi, et sous la tutelle de Youcef Cherfa, wali d’Annaba, et grâce au soutien des ministères respectifs, des Ressources en eau et de l’Environnement, de l’Agriculture, du Développement rural et de la Pêche, en partenariat avec les directions de l’environnement, de la pêche, de la jeunesse et des sports d’ Annaba que ce projet a été porté à bon port, à l’occasion de l’édition «Portsbleus» 2016.
La portée de ce projet a, comme expliqué par un cadre de la direction de la pêche de la wilaya d’Annaba, un triple intérêt. Il y a d’une part un apport économique, de par la production de la biomasse. Et d’autre part une dimension écologique, de par la protection de la biodiversité. Entre les deux, il y a surtout le volet touristique. D’où ce projet vise en même temps à créer de nouveaux sites de plongée, notamment si l’on prétend à la création d’une industrie touristique. Ont pris part à cette opération d’immersion de ce premier module, le secrétaire général de la wilaya d’Annaba, M.Mezhoud, accompagné du directeur de la pêche et des produits halieutiques, en présence de responsables de la Marine nationale, des éléments de la Protection civile et les Scouts musulmans algériens.
Rappelons que la même opération organisée l’année écoulée a permis l’enlèvement du port de La «Grenouillère» de plus d’une tonnes de déchets solides et plastiques, et le nettoiement des plans d’eau de l’infrastructure portuaire d’Annaba.
Cette opération et tant d’autres annoncent des préparatifs pour la saison estivale qui sera à connotation religieuse du mois sacré et aux couleurs d’été. Deux raisons pour lesquelles le wali d’Annaba impose le forcing à tous les acteurs en charge de faire réussir l’été à Annaba, vaille que vaille. Une volonté de vouloir relever un challenge, aux yeux de ce responsable, très faisable, en présence d’une bonne volonté et d’intégrité surtout.*Par Wahida BAHRI - Lundi 09 Mai 2016 / L’Expression
Le réchauffement climatique en chiffres
*Les navires inondent la mer de quelque 1,8 milliard de kilos de produits toxiques, soit plus de 57 kilos de toxiques par seconde. Les 97,5% restant proviennent d’un scandale silencieux : ce sont les déballastages illégaux et volontaires.
Selon l’OMS, la pollution de l’air causerait 350.000 décès prématurés en Europe par an. Si cette pollution n’existait pas, les Européens vivraient en moyenne 8,6 mois de plus. 50% des décès causés par la pollution de l’air ont pour cause la circulation automobile selon une étude menée en Autriche, en Suisse et en France.
Plus de 300 millions de fleurs et plantes certifiées FairTrade ont été vendus dans le monde en 2009 selon le rapport annuel de la FLO. Soit une augmentation de 31% par rapport à 2007.
**Depuis 1980, notre planète a vécu 19 des 20 années les plus chaudes. Les années 2005 et 1998 ont battus tous les records, 2002 et 2003 suivent à la deuxième et troisième place.
**D’ici 2025, le monde aura besoin de 22% d’eau en plus pour subvenir à ses besoins. En attendant, 40% de l’eau consommée dans les maisons partent dans les toilettes.
**Une famille de quatre personnes qui ajoute un dispositif limitant le débit de son robinet de douche diminue sa consommation d’eau de 7.500 litres par an.
**Le chlore qui sert à blanchir le papier est un produit chimique polluant. Pollution que l’on retrouve ensuite dans l’eau et dans l’air. Nous en subissons donc directement les conséquences, ainsi que la faune et la flore.
**La moitié des forêts qui recouvraient 48% de la Terre à l’origine a disparu.
**Seulement 10% de l’énergie émise par une ampoule à incandescence sont utilisés pour produire de la lumière, le reste produit de la chaleur… pour rien.
**Les Américains ne représentent que 4% de la population mondiale, mais ils produisent 25% de CO2, c’est-à-dire plus que la Chine, l’Inde et le Japon réunis. Un bien triste record…
**La couche de glace polaire fond actuellement à la vitesse alarmante de 9% par décennie. L’épaisseur de l’Arctique a quasiment baissé de moitié depuis les années 60.
**source: 7sur7 –avril 2016
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37.000.000
Le nombre de personnes qui ont vu leur habitation détruite par des conflits politiques ou des catastrophes naturelles
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Catégories : femmes, loisirs-voyages, mer et soleil, sport, tourisme
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