L’Ile-de-France championne des couples infidèles
*spécialisé dans l’infidélité*..
.avec 8 millions de personnes infidèles
Du sexe garanti ou on vous rembourse: voila ce que propose le site internet Ashleymadison.com, spécialisé dans l’infidélité, à ses inscrits. Le slogan du site ne cache rien de ses intentions: « Life is short. Have an affair. » Soit « La vie est courte. Ayez une relation extraconjugale. » Fondé en 2001, il attire évidemment les critiques mais aussi de nombreux adeptes! 8 millions de personnes sont inscrites sur le site.Noel Biderman, son créateur, explique: « Si vous voulez que votre relation extraconjugale fonctionne, alors vous devez faire un effort. Si ça ne marche pas pour vous, malgré nos conseils, on vous rembourse l’argent investi. »Pour empêcher une découverte malencontreuse, les utilisateurs d’Ashleymadison.com communiquent dans l’anonymat le plus complet.
Précisons encore que, de manière assez étrange, Noel Biderman, marié depuis 8 ans, n’a jamais trompé sa femme. « Je serais dévasté si mon épouse l’était. »(7sur7-28.07.2011.
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* L’Ile-de-France championne des couples infidèles
*Si vous habitez l’Ile-de-France et que vous rêvez de former un couple fidèle avec votre moitié, un seul conseil : déménagez !
Selon une étude qui vient d’être publiée par Gleeden.com, le premier site Internet de rencontres extraconjugales lancé il y a près d’un an, la région francilienne est en effet celle qui compte le plus grand nombre de conjoints volages.
Pour arriver à ce résultat, le site Web a étudié la provenance géographique de ses 445783 membres à ce jour, des hommes et des femmes en couple ou mariés. Résultat, avec 142400 inscrits, ce sont les Franciliens et Franciliennes qui constituent le gros de la troupe des infidèles à la recherche de nouvelles relations secrètes sur Gleeden, devant la région Rhône-Alpes (35000), la Provence-Alpes-Côte d’Azur (28431) et le Nord-Pas-de-Calais (24300).
Un classement qui n’est finalement pas si surprenant puisque ce sont les régions les plus peuplées de l’Hexagone que l’on retrouve dans le peloton de tête. L’arrivée en 5e et en 6e position des Pays de la Loire et de l’Alsace est en revanche plus étonnante. Comptant près de 1 million d’habitants de moins que le Nord-Pas-de-Calais, les Pays de la Loire dénombrent en effet presque autant d’inscrits sur Gleeden (21200). De même, l’Alsace, malgré son 1,7 million d’habitants, semble bien active dans le domaine de l’incartade (12700 inscrits).
Quant aux 16 autres régions — dont l’Aquitaine, la Corse ou encore Midi-Pyrénées —, ses résidants sont, selon le classement de Gleeden, plus fidèles. Ou alors davantage « abonnés » aux schémas plus classiques — comme la relation extraconjugale au bureau — qu’à Internet…(Le Parisien-18.10.2010.)
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**Paris, capitale de l’adultère
*Infidélité : le Web, briseur de ménages
« Tout le plaisir de l’amour est dans le changement », déclarait l’insatiable Dom Juan à son valet Sganarelle dans la célèbre pièce de Molière. Cet éloge de l’infidélité écrit au XVIIe siècle n’a pas pris une ride. Les livres aux titres évocateurs font les choux gras des libraires : « Comment tromper son conjoint en toute impunité », « Bienheureuse infidélité », « L’art d’être infidèle »… Conséquence directe de cette banalisation, hommes et femmes affichent sans complexe leur soif d’écarts sexuels, largement facilitée par Internet. Le cinq à sept serait donc un besoin comme un autre ? C’est l’argument marketing de Gleeden, le premier site de rencontres extraconjugales lancé en décembre dernier à grand renfort médiatique. Flairant la bonne affaire, ses fondateurs n’ont pas hésité à briser un ultime tabou en utilisant l’adultère comme produit d’appel. Leur mission : permettre aux personnes mariées de ne pas mentir sur leur statut… quitte à renoncer aux esseulés qui rêvent de se faire passer la bague au doigt. Rien n’a été laissé au hasard pour que les infidélités se déroulent dans les meilleures conditions. Un bouton « Panic » permet même de basculer instantanément vers un autre site si son conjoint fait irruption. Et ça marche : Gleeden revendique aujourd’hui 225.000 inscrits, âgés principalement de 30 à 40 ans.
Pour assurer son succès, la start-up joue à fond la carte de la provocation et du cynisme. Elle vient de publier une carte de France des régions qui comptent le plus d’infidèles. Avec 142.400 membres qualifiés pudiquement « d’hyperactifs », l’Ile-de-France prend largement la tête de ce classement improbable. Les régions Rhône-Alpes et Provence-Alpes-Côte-d’Azur complètent le tiercé gagnant, avec respectivement 35.000 et 28.600 inscrits. « Je ne suis pas surpris par ces résultats, car l’Ile-de-France est sûrement la région qui compte le plus d’internautes. Les couples en crise à cause du Web représentent plus de la moitié de mes consultations. Le plus souvent, l’un a découvert que l’autre entretenait des correspondances torrides sur des réseaux sociaux comme Facebook. Ce phénomène qui concerne autant les hommes que les femmes est en pleine accélération », indique Robert Neuburger (*), psychiatre et thérapeute de couple. Internet, parfait briseur de ménages du XXIe siècle ? Pas si simple. La quête effrénée de l’adultère via la Toile serait avant tout le révélateur d’un malaise affectif. D’autant que de nombreux cyber-dragueurs ne passent pas à l’acte. « Le fait de rechercher des contacts du sexe opposé sur Internet prouve qu’il existe une insatisfaction au sein de la relation, explique Robert Neuburger. J’utilise cette démarche comme une porte d’entrée pour comprendre l’origine des problèmes, afin de dresser un bilan de couple. En parlant, certains vont exploser, d’autres vont se renouveler. » Raviver la flamme, voilà peut-être une vertu inattendue des sites de rencontres. (France-Soir.18.10.2010.)
(*) Auteur d’On arrête ?… On continue ?” Faire son bilan de couple aux Ed. Payot.
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* 48% des mères hollandaises sont infidèles
On parle souvent des pères qui, fatigués de leurs responsabilités familiales, vont voir ailleurs si l’herbe est plus verte ailleurs. Aujourd’hui, on apprend qu’une mère sur cinq, en Hollande en tout cas, prend également un amant. Selon un sondage réalisé par le magazine néerlandais Mama, 48% des mères infidèles affirment que le sexe est meilleur avec leur amant et 75% d’entre elles n’éprouvent aucun regret.
Les mères vont voir ailleurs pour cause de sexe trop monotone avec l’homme qui partage leurs nuits au quotidien. Elles confient que les relations sexuelles se suivent et se ressemblent. 60% des mamans néerlandaises s’envoient en l’air généralement dans la position du missionnaire tandis que 40% préfèrent la levrette. Le mot qu’elles utilisent le plus souvent pour décrire leur vie sexuelle? « Ennuyeuse »!
L’arrivée des enfants joue évidemment un rôle important dans cette baise de régime générale. 80% des couples font moins souvent l’amour et si sexe il y a, le volume est maintenu au plus bas (à 70%) de peur que les petits entendent.
53% des mères, enfin, sont attirées vers un autre homme que leur partenaire. (7sur7-07.07.2011.)
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* Infidélité: Tel père, tel fils!
Tel père, tel fils! Selon une nouvelle étude réalisée par une Université à Prague, un homme est plus susceptible de tromper son épouse si son père était infidèle par le passé. Les filles ne sont pas touchées de la manière par les tromperies de leur mère.
Selon Jan Havlicek, qui a dirigé l’étude, les garçons ont grandi en observant le monde autour d’eux, regardant ce qui était approprié ou non et ce qu’ils pouvaient en tirer. Leur père était un exemple évident de ce qu’il fallait faire en bien ou en mal.
Pour obtenir ces résultats, 86 couples ont été interrogés sur leurs relations, leurs attitudes envers le sexe opposé, leurs antécédents familiaux et leurs infidélités. Il en ressort que les hommes et les femmes sont à la recherche de choses différentes dans leurs relations. Ils utilisent leur attractivité de manières différentes: les hommes veulent de la variété sexuelle, les femmes cherchent le meilleur partenaire possible et un bon père pour leurs enfants.
La recherche tchèque soutient l’idée que les infidélités des hommes sont motivées par le sexe. Le fait qu’un homme soit satisfait et heureux dans sa relation principale n’a aucun effet sur une probable infidélité. Les hommes trompent parce qu’ils veulent du sexe et un plus grand nombre de partenaires sexuels, et non pas parce qu’ils en ont marre de leur épouse. Les femmes, elles, trompent parce qu’elles sont insatisfaites de certains aspects de leur relation.
Selon le directeur de l’étude, les femmes ont des aventures extra-conjugales pour trouver un nouveau partenaire. « Ca peut être préférable de rester dans votre relation parce que, dans certains cas, il vaut mieux avec quelqu’un d’imparfait à ses côtés que d’être seul. Surtout quand vous avez des enfants avec cette personne. Mais ça n’empêche pas de regarder autour de soi pour d’autres options. C’est ce que les femmes interrogées font, pour la plupart. » (7sur7- 27.06.2011.)
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*La IT prostituée, existe-t-elle?
** une « glamourisation » médiatique s’appuyant sur une réalité sociétale : celle d’une prostitution occasionnelle, festive et décomplexée ?
Gigola, avec Lou Doillon dans le rôle de l’affolante garçonne, a ouvert le festival Chéries-Chéris au Forum des images. Maison close a fait le buzz de la rentrée télé. Le héros du dernier Bret Easton Ellis s’entiche d’une escort girl et l’on a pu suivre dans Grazia cet été les aventures d’une attachante prostituée russe à Saint-Tropez. De quoi se demander si cette « glamourisation » médiatique s’appuie sur une réalité sociétale : celle d’une prostitution occasionnelle, festive et décomplexée ?
Un an après Pigalle, la nuit, qui jouait déjà sur l’image sulfureuse de la prostituée dans l’univers fantasmatique du téléspectateur, Canal+ a lancé le 4 octobre dernier sa série Maison close (2), au titre pour le moins explicite. Certes, ce n’est pas la première fois qu’une fiction télévisée a recours au personnage de la prostituée, mais le fait qu’on ne la présente ni dépressive, ni droguée, ni sous l’emprise de réseaux mafieux, est relativement nouveau.
Les filles de Maison close, toutes plus mignonnes les uns que les autres, évoluent dans un somptueux bordel du XIXe siècle qui pourrait aussi bien servir de décor à une série mode sexy chic. Dans son feuilleton de l’été, le magazine Grazia, sous la plume de Simon Liberati, a également exploité une image nouvelle de la prostituée, en racontant les aventures d’une jeune femme russe, escort girl dans la jet-set de Saint-Tropez. C’est également à Saint-Tropez que Zahia Dehar s’est consolée de l’affaire Ribéry, sous les flashs des paparazzis collés aux semelles de ses talons comme à celles d’une Paris Hilton, d’une Katy Perry… ou d’une Vanessa Hudgens, qui, pour se débarrasser une bonne fois pour toutes de l’image d’ado nunuche qui lui colle depuis High School Musical, jouera dans Sucker Punch (3) le rôle d’une prostituée ultra-sexy en latex dans un film fantastique. Cette mutation manifeste de l’image de la prostituée dans l’ entertainment traduit-elle une réalité ?
« Quitte à libertiner, autant rentabiliser »
Pour Loïc, 32 ans, ça ne fait aucun doute. Ce graphiste parisien au physique agréable et très à l’aise financièrement a régulièrement recours à des prostituées : « Les filles que je paye sont l’inverse de celles que l’on voit sur les trottoirs. Ce sont de jeunes nanas, saines, consentantes, qui choisissent leurs clients, et surtout qui aiment le sexe. C’est ça qui fait la différence. » Marion, 23 ans, escort occasionnelle « pour mettre du beurre dans les épinards », ne le démentit pas : « J’ai toujours aimé le sexe. Et puisque je ne me reconnais pas dans les schémas de couple, d’engagement et de fidélité, j’ai toujours eu beaucoup de partenaires. Un client n’est donc pour moi qu’un partenaire sexuel de plus… » Quant à Loïc, si on lui demande pourquoi il paye, il n’a aucun embarras à avouer : « J’ai de gros besoins sexuels et je travaille beaucoup ; avoir recours à une prostituée est pour moi le moyen le plus simple et rapide de rencontrer des filles. La première que j’ai payée, je l’ai draguée en club. Elle accompagnait un client que j’avais pris pour son amant. Rien dans son comportement ne montrait qu’elle se prostituait car elle s’éclatait vraiment ! »
Pour d’autres clients, c’est une façon de séparer vie de couple rangée et vie fantasmatique délurée. C’est une des conclusions de La Prostitution étudiante à l’heure des nouvelles technologies de communication, une étude d’Eva Clouet (éd. Max Milo), sociologue à l’université Toulouse II-Le Mirail. Interviewée dans la revue Prostitution et Société, elle déclarait en effet : « Ces hommes disent refuser d’avoir une maîtresse parce qu’elle pourrait mettre en péril leur mariage. Ils affirment qu’ils aiment leur femme, mais qu’ils ne peuvent pas leur demander certaines pratiques. »
Nathalie, 26 ans, qui comme Marion revendique son statut d’occasionnelle, confirme : « Je suis de plus en plus branchée par des mecs qui ne veulent pas aller seuls en club et n’ont pas de copine pour les accompagner. Mes clients me payent autant comme ticket d’entrée pour les soirées couples que parce que je leur plais. » Et quand elle ne vend pas ses services en club, Nathalie reçoit à domicile entre deux révisions pour son master en lettres modernes : « Je couche avec mes clients exactement comme mes copines couchent avec les plans d’un soir qu’elles ramassent sur les sites de rencontres. La seule différence, c’est que quand c’est nul, j’ai au moins la satisfaction de l’argent. Quitte à libertiner, autant rentabiliser. »
« Un plan raté fait les mêmes dégâts »
Après l’échangisme et l’infidélité, le tabou de la prostitution serait-il à son tour en train de se dissoudre dans le libertinage mainstream ? Dans l’imaginaire fantasmatique masculin peut-être, mais dans la réalité sociétale, rien n’est moins sûr. Selon le philosophe Ruwen Ogien, auteur du livre Le Corps et l’argent (éd. La Musardine), « la généralisation d’une forme décontractée de rapport à la sexualité peut parfaitement coexister avec sa désapprobation morale et sa répression légale. Pensez à l’usage des drogues douces : il est de plus en plus massif, mais reste toujours aussi massivement désapprouvé ! » Et de fait, pendant que Zahia fait la une des magazines people, la loi pour la sécurité intérieure de 2003 continue de réprimer brutalement le travail sexuel. À la grande colère du Syndicat du travail sexuel (Strass), qui, contre « le proxénétisme, l’esclavage, le trafic des êtres humains et l’exploitation sexuelle des enfants », prône « une prostitution autogérée et choisie ».
Une idée qui peine à convaincre étant donné que la prostitution reste majoritairement subie et gérée par des réseaux mafieux. Mais une idée qui n’en traduit pas moins une réalité alternative, selon Eva Clouet : « L’e-prostitution est bien plus complexe qu’une affaire de précarité économique. Tout(e) étudiant(e) en galère ne se prostitue pas. Et tout(e) prostitué(e) n’est pas forcément en galère financière. » Nathalie partage cet avis. « J’ai accepté de répondre à vos questions pour faire passer une idée : on peut être jeune, mignonne et se prostituer de temps en temps, sans pour autant être victime du système ou de je ne sais qui ou quoi. Je ne me vends qu’à des mecs que je trouve mignons. Les vieux, les gros, les moches, je les zappe directement. »
Marion voit les choses de la même façon : « J’ai commencé à me prostituer parce que le père de l’enfant que je gardais en baby-sitting me l’a proposé. Je le trouvais bel homme, il m’a proposé une forte somme d’argent, nous avons fait l’amour dans un hôtel luxueux, je n’y ai trouvé que des avantages. Je continue à faire ça une fois de temps en temps avec des hommes de même profil, et je trouve ça nettement moins traumatisant qu’un coup vite fait dans une bagnole avec un baiseur du samedi soir. » Nathalie tient à peu près le même discours : « Bien sûr, certaines fois, même avec un mec mignon, je m’ennuie. Il m’arrive aussi de déprimer, de me sentir seule, sale même, mais exactement comme dans une vie sexuelle normale ! Un plan raté, ça fait les mêmes dégâts, que l’on se fasse payer ou non. C’est quelque chose de très banal… »
« Un métier de service corporel »
Pourtant, c’est bien parce qu’elle n’est jamais vraiment banale que la « it pute » relève sans doute plus d’une mode médiatique passagère que d’un réel phénomène sociologique. Le milieu libertin, de plus en plus populaire, démocratique et socialement hétérogène, n’a rien à voir avec les cercles ultra-fermés de la jet-set tropézienne qui font rêver les lecteurs de la presse people. « Je ne crois pas que Grazia ou Canal+ soient subitement devenus des militants de la liberté de se prostituer ! poursuit Ruwen Ogien. Présenter les prostituées comme des personnes cupides, libidineuses, avides de vie facile dans la jet-set, est aussi traditionnel que les dépeindre comme des victimes absolues de la violence masculine. Les militants pour la liberté de se prostituer voudraient que l’on cesse de montrer les travailleuses du sexe, ou bien comme des victimes dépourvues du moindre libre-arbitre, ou bien comme des délinquantes qui portent délibérément atteinte aux “valeurs morales”. Il serait temps, d’après eux, de présenter les prostituées pour ce qu’elles sont : des personnes banales qui font un métier de service corporel aussi banal que beaucoup d’autres. On ne peut pas dire que les magazines people et les chaînes télévisées soient particulièrement tentés de les suivre dans cette voie ! » (Madame Figaro-16.11.2010.)
**********Les adultes sont chauds comme des baraques à frites !
*Quand Internet offre ses services à l’adultère
Entre les sites de rencontres de personnes mariées et les “love hotels”, l’infidélité est un marché porteur…en France et en Occident d’une manière gébérale…
L’amour est enfant de bohème qui ne s’est jamais aussi bien porté: Gleeden.com, site français leader de rencontres pour personnes mariées à la recherche d’aventures extra-conjugales, devrait franchir pour la Saint-Valentin le cap des 300.000 inscrits en France. Facilitée par les réseaux sociaux et une évolution des mentalités observée par les sociologues, l’adultère a le vent en poupe au point de susciter la création de services annexes comme des centrales de réservation de «chambres d’hôtel de jour» pour abriter les amants le temps d’un «5 à 7».
«La fidélité est une notion culturelle»
«L’infidélité a toujours existé et existera toujours. Nous nous contentons de répondre à un besoin social», justifie Teddy Truchot, cofondateur de Gleeden, prêt à conquérir l’Espagne, les Etats-Unis et l’Amérique Latine. «Sur les sites classiques de rencontres, un inscrit sur trois est déjà en couple. Chez nous, fini le camouflage du statut matrimonial! Nous offrons le luxe de la transparence», ajoute Truchot.
La cible? Des femmes et des hommes mariés ou en couple, vivant dans une relation ou souhaitant juste saupoudrer leur vie conjugale d’un brin de piment. Gleeden n’est pas le seul sur le marché: une dizaine de sites lui ont emboîté le pas dont air-adult.com et rencontre-adultere.fr, dans le même esprit: jouer les facilitateurs pour une infidélité de plus en plus banalisée et présentée par de nombreux magazines comme une soupape de sécurité au mariage qui, une fois sur deux, conduit de lui même au divorce.
Selon le sociologue Eric Donfu (Dialogues et Relations Sociales), les sites de rencontres connaissent un regain de fréquentation après la Saint-Valentin, souvent vécue «comme un test dans le couple». «La fidélité est une notion culturelle. L’infidélité peut permettre de surmonter des crises. Par ailleurs, la vie s’allonge et la libéralisation sexuelle attise les tentations, tout comme la notion d’épanouissement de la personne dans l’individalisme moderne, même si les valeurs de fidélité restent majoritaires», observe-t-il.
En 2009, un sondage de la Sofres avait déterminé que 18% des Français et 10% des Françaises se déclaraient «infidèles» (échantillon représentatif de 1.000 personnes, avril 2009). «C’est peut-être la fin d’un modèle culturel qui s’organisait autour d’une vie préécrite, la fin annoncée du triptyque “un partenaire, un travail, une maison pour la vie”», conclut Eric Donfu.
Les “love hotels” se développent
Le dernier avatar de l’infidélité assistée par Internet concerne le lieu même des ébats. Depuis toujours, l’hôtel est l’allié discret des amants. Thibaud d’Agrèves et David Lebée, aux commandes de l’hôtel Amour, un établissement branché parisien, ont lancé le premier site français de location de chambres pour quelques heures.
«Les demandes de la clientèle et l’observation des “love hotels” au Brésil, nous ont incité à créer dayuse-hotels.com. En permettant de réserver une chambre par Internet, nous avons ajouté une touche de discrétion pour une transgression douce, un moment de liberté saisi à contre-courant des emplois du temps», explique Thibaud d’Agrèves qui laisse la possibilité aux amants d’utiliser une fausse identité.
Situés à Paris, Lille, Marseille, Strasbourg, Bordeaux, Montpellier ou Toulouse, déjà une quarantaine d’hôtels de 3 à 5 étoiles ont rejoint cette centrale de réservations d’un genre nouveau pour «nomades amoureux qui cherchent un refuge à l’heure de leurs désirs».( AFP 12.02.2011.)
*****« l’infidélité, c’est super cool »
à l’heure du cinq à sept
Les adultes sont chauds comme des baraques à frites ! Si depuis la nuit des temps, le batifolage extraconjugal se porte à merveille, il n’a jamais été aussi facile de tromper son conjoint aujourd’hui, grâce à de nouveaux outils aussi astucieux que rentables pour leurs créateurs.
«Ce n’est pas nouveau, l’infidélité touche un couple sur deux. En revanche, l’image de l’adultère change. Lorsque Tony Parker trompe Eva Longoria, nous ne sommes plus offusqués, on trouve même cela marrant ! Nous sommes en train d’ôter l’hypocrisie qui se cache derrière cette pratique», lance Teddy Truchot, fondateur de Gleeden.com, le site de rencontres dédié aux personnes mariées, leader sur ce marché.
« Une preuve d’amour »
Lancée depuis plus d’un an en France, la plateforme cartonne. Près de 600 000 membres actifs s’adonnent aux joies de la drague illégitime avant de passer à l’acte, comme Agnès, 45 ans, dont une trentaine de vie maritale, et mère de deux ados: «Le sexe n’est pas forcément la première motivation. On va sur Gleenden.com pour casser la routine, se donner des frissons et ne pas rester engluée dans une vie de couple monotone, assure-t-elle. La différence avec Meetic, c’est que l’on n’est pas là pour se raconter des cracks. La loyauté physique ne tient plus la route. L’infidélité, c’est super cool. C’est la seule façon d’être équilibrée et de résister au divorce. Une preuve d’amour en somme !»
« Il existe une forte demande »
Si le discours peut choquer, il donne aussi des idées à des entrepreneurs qui n’ont pas froid aux yeux. Ancien de l’hôtel Amour, à Paris, Thibaud d’Agrèves vient de lancer Dayuse-hotels.com. Le concept est aussi simple qu’efficace: louer des chambres d’hôtels de luxe inoccupées la journée à des couples en quête de plaisirs discrets.
«Notre clientèle est composée de cols blancs et de working girls de 30 à 55 ans, qui souhaitent un cadre haut de gamme. L’idée est inspirée des love hotels brésiliens ou japonais. La différence, c’est que nous, on ne loue pas des chambres à l’heure, mais plutôt à la demi-journée», confie le cofondateur de cette centrale de réservation. «Il existe une forte demande, ajoute-t-il. Nous sommes en train de nous développer dans les grandes villes de France avant de nous attaquer au marché européen.» Rira bien qui trompera le dernier. (20Minutes-28.01.2011.)***
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Le nombre d’infidèles est en pleine croissance et cela est comme vous le dites, notamment du aux sites de rencontres extra conjugales comme Air Adult. Mais que faire ?