poissons et pêche.1
**La mer est généreuse…pas les hommes !
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*des prix démentiels - le poisson reste inabordable
De Zemouri à Dellys passant par Cap Djinet le poisson reste inabordable. Hors de prix, il nargue avec insolence le consommateur et s’affiche à des prix démentiels. A quelques mètres de la poissonnerie d’El Kerma, sur la RN24 des pêcheurs de petits métiers exposent des pièces de différentes espèces à une clientèle, d’emblée échaudée par leurs tarifs. Proposés entre 1400 et 2 800 DA le kilogramme, ces espèces trouvent preneur, les vendeurs profitent du fait que les acheteurs passagers viennent en famille » C’est un luxe aujourd’hui d’acheter un kilo de poisson » avoue un père de famille.
Le thon rouge reste le plus exposé ces dernières semaines après avoir frôlé la barre des 1400 DA au début, il est proposé sur le littoral à partir de 1000 DA parfois 800 DA le kilo pour des pièces pêchées depuis deux à trois jours. L’espadon reste le poisson le plus inaccessible au commun des clients lorsqu’ils ont envie de goûter à quelques tranches de ce poisson hors de prix.
Le chien de mer a grimpé ce weekend à 1 400 DA le kilogramme à Cap Djinet la vingtaine de vendeurs profitent là des sorties surtout des Algérois qui affluent vers le littoral jusqu’à Azzefoun. Un poisson qui fait l’unanimité par son prix attractif le Sar, très apprécié par »les goûteurs » est cédé à partir de 800 DA le kilo parfois le prix descend jusqu’à 600 DA en fin de journée. La raie vendue à l’unité se négocie entre 1200 et 1600 DA selon la taille de la pièce. Daurade (aquaculture) et Mérou sont proposés entre 1600 DA et 2000 DA.
Les cours du poisson sont demeurés quasiment les mêmes depuis l’apparition du coronavirus. Durant le mois sacré, le prix du kilogramme de la crevette s’est maintenu à un seuil de 2.800 DA, contre 4000 DA pour la royale. Découpés en tranches le thon au d’autres espèces sont vendus quasiment en petits morceaux. Depuis plusieurs années, cette tendance haussière des tarifs des produits de la mer a éliminé du menu quotidien de l’Algérien le poisson. Un septuagénaire se rappelle nostalgiquement le temps où quotidiennement »on consommait le poisson, la sardine c’était deux à trois kilos à chaque achat », ajoutant que » rouget, sépia, crevette, ornaient les étals de chaque marchand, et à partir de 11h on pouvait acheter en tas pas au kilo » » c’était le temps de la passoire pas du sachet » clos t il amèrement son intervention.
A l’opposé de ces poissons destinés aux « riches », comme d’aucuns le considèrent, le petit poisson bleu n’est pas en reste avec un prix ne descendant plus au-dessous des 500 DA le kilogramme. Souvent, la sardine grimpe à 600 DA voir 700DA, le kilo, prix » jugés » à la portée de la bourse du consommateur, même si les conditions de conservation « restent douteuses », voire même sont « inappropriées » relève t on du coté de la DCP. Avec ses 03 ports de pêche (Zemmouri – Cap djinet et Dellys), et un littoral de 100km le secteur de la pêche dispose d’une population de 6975 marins inscrits. La production de sa flottille de pêche estimée à 607 embarcations dégage une production halieutique de 5400 t/an avec 96% de production des poissons bleus. Le rendement de la pêche est de plus en plus en dessous des espérances. Pis encore, il ne fait plus nourrir les marins pêcheurs et plonge dans la crise les patrons de pêche. Cette situation a fini par se répercuter sur les prix.*Par Wahab./ bourse-dz.com/ dimanche 14 juin 2020
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* le thon rouge envahit nos côtes
* ce gros poisson migrateur emprunte un couloir marin à partir de Gibraltar et des îles Baléares avant de rejoindre les côtes libyennes pour pondaison et repartir vers un long voyage vers l’Atlantique en passant près des côtes algériennes
Depuis une semaine les artisans pécheurs et autres propriétaires de petits métiers occupent l’espace marin entre Boudouaou El Bahri à l’ouest et Dellys à l’extrême Est soit un littoral de 100 km le but traquer le thon rouge , ce gros poisson migrateur, qui emprunte un couloir marin à partir de Gibraltar et des îles Baléares avant de rejoindre les côtes libyennes pour pondaison et repartir vers un long voyage vers l’Atlantique.
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26 thoniers algériens en haute mer
la campagne de pêche 2021 lancée le 26 mai
Publié le 28 mai 2021
26 thoniers algériens se sont déplacés jeudi, à partir des ports d’Annaba et d’Alger, vers les eaux internationales situées entre le nord de la Lybie, la Tunisie et le sud de Malte pour participer à la pêche au thon rouge vivant. Annaba participe avec un seul thonier, en l’occurrence le Mostefa Ben Boulaid.
Le quota accordé à l’Algérie pour cette année est de 1 650 tonnes de thon rouge vivant. Un quota en deçà de l’attente nationale pour 2021, estimée à 2 000 tonnes et, selon des estimations officielles du secteur de la pêche, à 2 500 tonnes pour 2025. Pour cette nouvelle campagne ouverte jeudi dernier, selon un communiqué diffusé par le ministère de la Pêche et des Ressources halieutiques, l’ensemble des directions de wilaya ont été instruites par leur tutelle à l’effet de gérer sur place la nouvelle campagne nationale de pêche au thon rouge.
Ainsi, contrairement à la dernière campagne, les permis de pêche au thon rouge ont été délivrés au niveau des wilayas après des inspections techniques minutieuses concernant les équipements de pêche, lesquels devraient se conformer aux exigences des normes internationales édictées par la Commission internationale pour la préservation des thonidés de l’Atlantique (ICCAT).
Aussi, pour parer à tous les inconvénients, le ministère de la Pêche et des ressources halieutiques a organisé, durant le mois d’avril dernier, un rassemblement avec les armateurs de navires thoniers afin de les sensibiliser sur les préparatifs techniques avant la sortie en grande mer. Pour rappel, en 2020, l’Algérie s’est vu accorder par l’ICCAT la même quantité de thon à pêcher que celle de cette année, soit 1 650 tonnes sur une réserve de 36 000 tonnes de thon rouge à pêcher.
Cette quantité a été totalement pêchée par 23 thoniers algériens, avec un retard de dix jours. Il a fallu solliciter l’autorisation de l’ICCAT pour obtenir la permission de continuer la pêche du thon car la réglementation est de rigueur dans ce type d’activité. La pêche de thon est une pratique nouvelle en Algérie qui entre dans le programme du secteur de la pêche pour une durée de cinq ans (2020/2025), lequel programme viserait le renforcement de l’apprentissage, l’amélioration et le cumul d’expérience avant que l’Algérie ne développe la pêche en haute mer.
Des pratiques que les armateurs de thoniers nationaux commencent à développer avec sérieux. Il convient de signaler que des élèves stagiaires participent à cette campagne de pêche de thon rouge en vue d’une formation aux techniques thonières. Notons que toutes les mesures sanitaires contre la Covid-19 ont été prises par le personnel des 26 navires de pêche, lequel sera, une fois de plus, contrôlé dès son retour. Pour rappel, la flottille nationale thonière était composée de 4 thoniers en 2013 pour s’étendre en 2017 à 14 thoniers. En 2020, la flottille a atteint 23 navires pour se fixer en 2021 à 26 navires thoniers.
Par ailleurs, la valeur marchande du thon rouge pêché, pareillement à 2020, est estimée à 14 millions d’euros. La vente s’effectue dans le cadre d’une opération commerciale chapeautée par les armateurs des thoniers. *Par Nabil Chaoui – Le jeune Indépendant - 28 mai 2021
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Pêche au thon rouge: un quota de 1.650 tonnes pour l’Algérie au titre de l’année 2020
« L’Algérie s’est vue accordée un quota de pêche de 1.650 tonnes de thon rouge, au titre de l’année 2020 sur une réserve totale de 36.000 tonnes autorisée à la pêche par la Commission internationale pour la conservation des thonidés de l’Atlantique (CICTA) », c’est ce qu’a annoncé le directeur du développement de la Pêche au niveau du département ministériel de la pêche et des Produits halieutiques, M. Kadour Omar.
Du reste, le directeur du développement de la Pêche a indiqué «Qu’en application du droit international en la matière, nous avons informé les pêcheurs de thon à l’effet de déposer leurs dossiers et de se préparer à la participation à cette campagne», tout en précisant la relevant par les services concernés de 25 dossiers.
Néanmoins, seuls 23 dossiers ont été retenus, après étude de la conformité du cahier des charges. Les dossiers des armateurs et équipementiers de ces navires ont été reçus au niveau des directions de la Pêche de wilayas, où le quota a été reparti en toute « équité » et « transparence », en prenant compte du tonnage des thoniers et du niveau de leur équipement.
Le coup d’envoi de la campagne de pêche du thon rouge pour l’année 2020 sera donné le 22 mai courant à partir des ports d’Annaba et d’Alger en direction de la zone internationale de la pêche au thon rouge comprise entre la Tunisie, les îles de Malte et la Sicile, en vue de se positionner sur les sites de pêche avant le lancement officiel de la campagne, soit le 25 mai.
L’Algérie, œuvre à revoir à la hausse de son quota actuel qui est de 1.650 tonnes à 2.000 tonnes en 2021 et 2.500 tonnes en 2025, a ajouté M. Kadour.*Par Rabah Kahouadji - bourse-dz.com/ 13 mai 2020 -
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Une prise de 50 tonnes de petits pélagiques ….mais les prix restent élevés !
Un pic de production de poisson bleu a été enregistré jeudi à Oran, a indiqué le directeur de la pêche et des ressources halieutiques de la wilaya d’Oran, Mohamed Bengrina. «Une prise totale de 50 tonnes de petits pélagiques a été réalisée, soit un record pour cette année», a précisé le même responsable. Toutefois, malgré la forte disponibilité du produit dans les halles à marée et la baisse des cours qu’elle a induite aux enchères, l’effet sur les prix au détail est resté peu perceptible en fin de semaine, en ce sens que le kilo de sardine -le produit référence- n’est pas descendu, comme il fallait s’y attendre logiquement, au-dessous de sa fourchette d’avant : 200-250 DA. Ce qui a inspiré à ce vieux mareyeur, abordé à l’entrée de la pêcherie d’Oran, un jeu de mots : «Ce pic (de production) aurait dû tomber à pic pour adoucir les prix à une poignée de jours de Ramadhan, mais le marché de poisson a ses raisons que la raison ne connaît pas».
«Nous avons enregistré 50 tonnes de poisson bleu aux quais de débarquement. C’est une belle capture; c’est, en tout cas, assez pour la demande locale. Mais cette formidable quantité était-elle perceptible dans nos marchés urbains ? Chez nous, le marché de poisson renvoie fatalement à cette image de la chose qui manque toujours, dont il n’y a pas assez pour tout le monde. Aux prix hors de portée et à l’ambulant aussi, quelques casiers à moitié remplis, dans un coin du marché, sur le trottoir, dans une charrette Il est temps de mettre en place un marché de gros et un réseau de distribution»,remarque le responsable local du secteur de la pêche.
Par espèce, la production réalisée jeudi se composait, notamment, de 15 tonnes de sardine et de quantités presque égales de bogue et sorel, plus d’autres variétés comme l’allache, l’anchois et le maquereau. Cette récolte abondante a entraîné une nette baisse des cours aux marchés à la criée d’Oran et d’Arzew, où la sardine a été cédée dans une fourchette de 60 à 120 DA le kilo, en gros, selon le calibre et l’heure de vente, soit un prix moyen de 90 DA le kilo. La bogue, quant à elle, ce poisson beaucoup moins désiré que la sardine et qui vit en bancs sur les petits fonds côtiers en saison chaude et plus profond, jusqu’à une centaine de mètres, en automne et en hiver, a fait en moyenne 90 DA le kilo aux halles à marée. L’allache a été vendue jusqu’à 47 DA le kilo en gros, les anchois à 250 DA. Mais entre les halles centrales à poisson et les étals, les prix se sont envolés et ont plus que doublé pour certaines espèces, dont la sardine qui faisait entre 200 et 250 DA dans les marchés de détail. Et là, c’est une preuve de plus, on ne peut plus clair, que le dernier maillon de la chaîne, les marchands du détail en l’occurrence, est sinon l’un des principaux facteurs de la cherté excessive des produits de mer, une cherté qui tire sa matière première de la spéculation et de la surenchère, elles-mêmes le fait d’une absence d’un circuit de commerce réglementaire pour le poisson. C’est d’ailleurs sur la base de ce constat que le premier responsable du secteur de la pêche de la wilaya d’Oran a suggéré aux instances concernées la réalisation d’une poissonnerie dans le complexe des produits frais d’El-Kerma, lequel chantier est actuellement en bonne voie. S’étendant sur une assiette de près de 4.000 m², le lot du complexe des produits frais, le plus en retrait par rapport à la route, le futur marché de gros de poisson et fruits de mer prévoit des pavillons pour la vente du poisson de mer frais, d’autres pour le poisson d’aquaculture provenant de viviers de pisciculture implantés sur place, des présentoirs de congelé, notamment, d’après le plan de masse réalisé par le bureau d’architecture.
Des services annexes, comme des chambres froides, une petite fabrique de glace, une unité d’emballage et une petite conserverie de poissons, sont également projetés.
Pour M. Bengrina, «les performances que la wilaya d’Oran enregistre, depuis deux mois, dans la production des poissons bleus sont le fruit des mesures entreprises pour organiser la pêche dans la wilaya, ainsi que le respect de la période du repos biologique qui s’étale du 1er mai au 31 août».Il y a quelques semaines, le kilo de sardine a atteint les 500 dinars, voire 550 dinars dans certains marchés. Cette situation trouvait son interprétation, de l’avis des experts, dans la faiblesse de l’offre. A cela s’ajoutait aussi un fait climatique important qui ne favorisait pas la disponibilité: il s’agissait de la vague de froid. La sardine et le poisson bleu en général suivent les courants chauds. Le mauvais temps n´explique pas à lui seul cette envolée des prix.
D´autres facteurs sont à prendre en compte, notamment le circuit de distribution et la mauvaise volonté des pêcheurs locaux à s´aventurer au large. L’autre problème cité en relation directe avec la rareté de la sardine sur les marchés oranais concerne l’inconscience et l’implacable avidité de certains pêcheurs qui ne reculent devant rien pour lui arracher plus qu’elle ne peut donner. Elle va de l’infraction à la réglementation, à savoir la pêche en dehors de la saison ou de la zone autorisée, à l’utilisation d’engins de pêche destructeurs (filets à cordes, filets à double poche et dynamite). Ces pratiques interdites détruisent les récifs de coraux et les herbiers sous-marins qui constituent des espaces où vivent et se reproduisent les différentes variétés de poissons. (Quotidien d’Oran-14.07.2012.)
*Fermeture de la pêche à l’espadon, du 1er octobre au 30 novembre 2015
Selon un communiqué de la direction de la pêche et des ressources halieutiques de la wilaya, il a été décidé la fermeture de la pêche à l’espadon, du 1er octobre au 30 novembre et ce, conformément à la loi fixant et organisant cette pêche dans les eaux sous juridiction nationale.Cette interdiction, la deuxième après celle survenue au cours de la période allant du 15 février au 15 mars 2015, répond au respect de la période de repos biologique de cette espèce de poisson noble afin de lui permettre de se reproduire. Elle a pour but aussi de protéger les œufs et de faire respecter la taille marchande de l’animal capturé. L’objectif
étant la protection et la préservation de nos ressources halieutiques, la direction de la pêche met en garde «les armateurs contre le non-respect de cette décision qui exposera les contrevenants à de lourdes sanctions financières et pénales». La surexploitation des ressources halieutiques nationales risque de détruire cette richesse nationale dont jouit le littoral algérien. à travers les différentes campagnes de sensibilisation menées par le secteur, les armateurs et patrons de pêche semblent respecter ces dispositions qui vont permettre à cette espèce de se régénérer. L’espadon est un poisson ovipare, il atteint sa maturité sexuelle entre 5 et 6 ans. Sa reproduction s’effectue sur une période allant des mois de mars à juillet. Notons que l’Algérie a adhéré à la commission internationale de conservation du thon (ICCAT), relative à la protection des grands migrateurs halieutiques.*letempsdz./ mercredi 07/10/2015
**l’espadon, c’est le poisson le plus rapide
110 km/h
Appelé aussi « voilier cosmopolite », c’est le poisson le plus rapide au monde. Son nom provient de la nageoire en forme de voile sur son dos, qu’il replie lorsqu’il nage en profondeur pour diminuer sa résistance à l’eau. C’est un poisson pélagique, ce qui signifie qu’il nage loin au large des côtes, plutôt en eaux peu profondes. Il peut couvrir de grandes distances, mais son endurance est relative. Son rostre en forme de lame d’épée, qui lui confère son nom scientifique, lui permet de stabiliser sa position lors de la chasse, et d’achever sa proie. C’est un poisson très convoité dans la pêche sportive du fait de sa puissance. L’espadon voilier, habituellement solitaire, se rassemble à cette période en groupes de plusieurs dizaines d’individus pour y chasser en compagnie d’autres prédateurs (dauphins, oiseaux, etc.) les bancs de sardines, qui se protègent en formant d’impressionants « baitballs ». *diverses sources Internet
Poids : 100 à 400 kg |
Taille : 3 m |
Vitesse : 109 km/h |
Nom scientifique : Xiphias gladius |
Classe : poisson osseux |
Habitat : Eaux tropicales et subtropicales |
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Le thon pêché est indisponible sur le marché algérien
«243 tonnes ont été pêchées. Où sont passées ces quantités ? A qui ont-elles été vendues ? Qui sont les acteurs du réseau ? Pourquoi le citoyen algérien ne profite pas de ce produit ?
***La campagne de pêche au thon prend fin ce jour du 24 juin 2014. Elle avait commencé en mai dernier.
Officiellement, huit navires battant pavillon algérien en ont pêché «243 tonnes», selon les chiffres avancés par le ministère de la Pêche et des Ressources halieutiques, lors d’une conférence de presse animée le 18 juin à Alger. Cependant, la Fédération des marins pêcheurs (FMP) s’interroge sur la destinée des prises. Hocine Bellout, président de la FMP et porte-parole de l’Union générale des commerçants et artisans algériens (UGCCA), a indiqué hier à El Watan que «les quantités de thon pêchées ne sont pas disponibles sur le marché national».
La FMP pose diverses questions. «Il subsiste plusieurs zones d’ombre», martèle Hocine Bellout. Et de poursuivre : «Où sont passées ces quantités ? A qui ont-elles été vendues ? Qui sont les acteurs du réseau ? Pourquoi le citoyen algérien ne profite pas de ce produit ? Le ministère doit répondre à l’opinion nationale.»Sur un autre point, M. Bellout affirme que «seuls quatre navires ont pris part à la campagne 2014 et non pas huit».
Pour rappel, le chef de cabinet du ministère de la Pêche, Kamel Negheli, avait affirmé, au cours de la conférence de presse, que «le thon capturé sera exporté vers le Japon, après un passage par des fermes d’engraissement en Europe». Il avait précisé que «les prises rapportent à l’Algérie un million d’euros, et les opérateurs ayant participé à la campagne de pêche verseront des redevances de 6,5 millions de dinars».
Le quota initial de l’Algérie est estimé à 650 tonnes. Pour atteindre ce chiffre, la Commission internationale pour la conservation des thonidés de l’Atlantique (Cicta) se réfère aux critères logistiques de chaque pays membre.*Bsikri Mehdi-El Watan-24.06.2014
****D’autres articles-cliquer ici: poissons et pêche.2
Pêche au thon:
Quatre navires mobilisés pour le quota de l’Algérie qui s’élève à 243 tonnes
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*Le grand scandale du thon rouge
des centaines de tonnes de cette espèce étaient, depuis de nombreuses années, virtuellement échangées en haute mer par certains thoniers algériens
les 4 500 bateaux de pêche du pays suffisent-ils à satisfaire la demande locale.
la non pêche du quota de 1 100 tonnes de thon allouées pour l’année 2010 à l’Algérie par la Commission internationale pour la conservation du thon (ICCAT).
Nombre d’observateurs doutent de la capacité de la flottille de pêche algérienne à satisfaire la demande locale
Interdiction d’exporter la sardine
Etat des lieux
Le secteur de la Pêche a bénéficié d’un programme de soutien d’un montant de 26 mds DZD (251,2 M€).
L’objectif visé était de passer d’une consommation moyenne de 4 à 8 kg par an et par habitant.
Pour cela, il fallait développer les capacités de pêche de la flottille algérienne.
Des bateaux, dont 15 thoniers, furent ainsi commandés auprès des chantiers navals turcs à des prix compris entre 50 et 80 M DZD l’unité ( 483 000€ à 772,8 M€).
L’accroissement du nombre de navires a permis de ramener la moyenne d’âge des bateaux de pêche algériens de 20 à 12 ans.
Le problème est que nombre de ces embarcations n’ont pas été construits selon les normes. Victimes de malfaçons, ils sont restés bloqués à quai.
C’est ce qui expliquerait à la fois la contre-performance en matière de pêche du thon et la décision de suspension d’acquisition de nouveaux bateaux financés, à hauteur de 60% par l’Etat, la Banque agricole de développement rural (BADR) octroyant des prêts bancaires de 30% alors que les armateurs n’auraient à fournir, de leur côté, que 10% du montant du bateau.
Le ministre a donc annoncé que « les sociétés mixtes pour l’exploitation du poisson dans les eaux algériennes seront interdites à l’avenir, car à l’origine de trafics ».Interdiction d’exporter la sardine
Une série d’espèces de poissons est désormais interdite d’exportation afin de privilégier la consommation locale de ce produit devenu inaccessible à la majorité des petites bourses.
C’est notamment le cas de la sardine qui était considéré autrefois, en Algérie, comme le «plat du pauvre».
A propos de l’aquaculture, le ministre a déclaré que cette filière représente, selon l’Organisation des nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), 50% de la production mondiale de poissons pour un montant de 78 mds $ (55,9 mds€) par an. Les pouvoirs publics devraient donc travailler, selon le ministre, à rattraper le retard de l’Algérie dans ce domaine par un programme spécial de développement.
Différentes zones de pêche pourraient ainsi voir le jour. Chacune d’entre elles « bénéficiera, selon le ministre, de 10 concessions d’exploitation à raison de 300 kg par concession, soit une quantité totale de 6 tonnes à extraire par an. Mais un seul secteur sera seulement ouvert pendant cinq ans alors que les autres seront au repos tour à tour pendant 20 ans, et ce, afin de préserver les écosystèmes».
médias + algerie-focus - 15 octobre 2010
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*L’anguille européenne disparaît, l’esturgeon se fait rare, le saumon sauvage est devenu un luxe:
tous sont victimes de la surpêche
*2012, la fin du tarama? La surpêche épuise le stock de poissons
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*capture d’un requin-pèlerin à Ghazaouet – 3 juin 2021
*vidéo; *capture d’un requin-pélerin dans les eaux de Ghazaouet en Algérie
***Le requin pèlerin est un poisson cartilagineux qui se distingue des autres requins par sa grande taille fusiforme. Les coloris de son épiderme varient du noir au gris-brun, voire au bleu-gris sur la partie supérieure. Ils s’éclaircissent sur les flancs pour devenir blanchâtres sur le ventre. Le premier aileron dorsal est situé un peu en avant de la moitié du corps et se dresse à plus d’un mètre. Il adopte une forme de triangle équilatéral. Le second, placé entre le premier et la nageoire caudale ne présente que le quart de la taille du principal. La caudale mesure entre un cinquième et un quart de la longueur totale de l’animal.
Elle est en forme de croissant et le lobe supérieure est plus grand que le lobe inférieur. La nageoire anale est petite et placée en arrière de la seconde dorsale. Les pectorales sont larges et prennent naissance immédiatement derrière la cinquième fente branchiale. La tête est courte par rapport au reste du corps et le museau court est prolongé par un appendice semblable à une trompe. Les yeux situés latéralement et derrière la bouche sont petits et ne possèdent pas de membrane nictitante. Le poisson possède cinq fentes branchiales dont la plus grande est placée vers l’avant. La bouche est très grande et occupe presque toute la largeur de la tête.
**Habitat du requin pèlerin
Le requin pèlerin occupe les secteurs maritimes où se concentre le plancton dont il se nourrit, c’est-à-dire dans les eaux tempérées et froides des deux hémisphères, en dessous des cercles polaires arctique et antarctique. Il ne fréquente pas les eaux équatoriales et n’est pas présent non plus dans l’océan Indien.
**Comportement du requin pèlerin
À l’instar du requin-baleine, et malgré sa taille imposante, le requin pèlerin est un poisson indolent et inoffensif. Il a l’habitude, au plus chaud de la journée, de se reposer à la surface soit en ne laissant dépasser que l’aileron dorsal, soit en se couchant sur le flanc comme le poisson-lune. De cette particularité, est né son surnom de requin-flâneur. Bien que solitaire, il a également des mœurs grégaires lors des périodes de reproduction où on peut rencontrer des groupes de plusieurs dizaines d’individus de tailles différentes, ou lors des migrations. Lors de ces voyages il a été établi qu’il se déplaçait jusqu’à 1.000 mètres de profondeur.
Il est très sélectif sur la nourriture et semble être en mesure de mémoriser les déplacements du zooplancton au cours des saisons pour se nourrir de ses espèces préférées. Il est régulièrement accompagné de poissons commensaux nettoyeurs ou parasites : rémoras, lamproies… et il a souvent été observé sauter hors de l’eau pour tenter de s’en défaire. Mais la dépense d’énergie est colossale pour un résultat quasi nul.
**Reproduction du requin pèlerin
Le requin pèlerin est ovovivipare. La femelle donne naissance tous les quatre ans, a des jeunes formés mesurant de 1,50 à 2,00 mètres après une gestation très longue située entre 2,6 et 3,5 années. Il s’agit de la gestation la plus longue du règne animal. Le requin pèlerin n’est pas très productif et les jeunes sont très peu nombreux. Il est d’ailleurs difficile de les observer car ils doivent rester en eaux profondes jusqu’à ce qu’ils aient atteints une taille raisonnable, les mettant à l’abri des prédateurs les plus courants. Ils atteignent leur maturité sexuelle au bout de douze à seize ans pour les mâles et de seize à vingt ans pour les femelles.
**Régime alimentaire du requin pèlerin
Le poisson se nourrit presque exclusivement de zooplancton. En été, il nage dans des eaux entre 11 et 14 °C, et traverse les bancs de plancton la bouche grande ouverte. Il évacue l’eau par les fentes branchiales qui régénèrent l’oxygène du sang, et se nourrit des myriades de minuscules animaux qu’il a capturés. Mais il lui arrive également d’ingérer des poissons tels que des harengs, sardines, maquereaux et anchois, mais aussi des crevettes pélagiques.
**requin pèlerin, espèce menacée et protégée
Le requin est chassé depuis longtemps à proximité des côtes pour son foie, sa chair et sa peau qui fournit un cuir résistant. De nos jours, cette pêche a cessé sauf en Chine et au Japon où le requin est recherché pour ses ailerons et ses nageoires qui, fraîches, sont revendues près de 1.000 $ le kilo, ou son foie qui aurait des vertus aphrodisiaques pour les Japonais… En raison de sa croissance lente, de sa longue période de gestation et des pertes subies durant le siècle passé, le requin pèlerin est classé comme vulnérable par l’UICN. *source: Futura. science
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*La fête de la sardine à Dellys
Le 20 juillet, une fête de la sardine, dédiée aux loisirs de la mer et du port, et surtout à la consommation de sardines, devait être organisée à Dellys, dans la wilaya de Boumerdès.
Cette fête donna également lieu à des expositions, des jeux nautiques, un concours de pêche sous-marine, une démonstration de planche à voile, un concours de ravaudage de filets, des sorties en mer et une soirée artistique. Une fête organisée dans le cadre du projet euroméditerranéen Montada, financé par l’UE au titre du programme Euromed Héritage IV. Dans le même cadre, une série d’activités pour mettre en valeur le patrimoine culturel de la ville de Dellys a été lancée depuis lundi dernier, et s’étalera sur un mois, selon l’agence italienne Ansamed. «La maison traditionnelle» et «La mer» sont les thèmes qui serviront de fil conducteur. Ces activités de réhabilitation sont programmées à partir des propositions des habitants, au sein du forum local de la ville.
Une balade le long du littoral est prévue pour demain, dont l’objectif est de sensibiliser les jeunes de la ville sur la pollution du littoral marin et de leur proposer des conseils de bonnes pratiques. Il est également prévu, durant ce mois, une formation de guides de la mer dans le but de constituer une équipe compétente et qualifiée pouvant encadrer des activités pédagogiques de découverte des richesses du patrimoine marin de Dellys. Dans ce cadre, est programmée du 10 au 15 juillet, une exposition de photos de la ville, ancienne et nouvelle qui seront exposées pour permettre aux visiteurs de juger de l’état de dégradation de la Casbah. Ils seront invités à émettre leurs commentaires et remarques et des propositions sur des actions à mener pour la réhabilitation de la vieille ville. (El Watan-24.06.2011.)
*Un thon vendu près de 300.000 euros à Tokyo…
Un thon rouge découpé au marché aux poissons de Jersey city (USA) pour alimenter les restaurants de New York, le 12 mars 2010
******Un thon rouge qui vaut de l’or
La diminution des stocks de thon rouge n’inquiète pas tout le monde. Elle fait même le bonheur des revendeurs qui voient le prix des poissons augmenter. Ce mercredi 05.01.2011, un nouveau record a été atteint: 32,49 millions de yens, soit environ 298.000 euros pour un thon rouge de 342 kilos. Ce spécimen, vendu aux enchères sur le plus grand marché aux poissons du monde à Tokyo, a été pêché au large d’Hokkaido, au Japon, et sera partagé par les deux acquéreurs, restaurateurs à Hong-Kong et au Japon.
32 euros le sushi
Les médias japonais ont calculé qu’à ce prix, un seul sushi ou sashimi extrait de ce thon coûterait environ 3.450 yens, soit presque 32 euros. Les Japonais accusent les Chinois, de plus en plus friands de thon rouge, de faire grimper les prix. Le Japon reste néanmoins le plus gros consommateur de thon rouge: le pays consomme environ 80% des poissons pêchés dans le monde.
Espèce menacée par la surpêche, le thon rouge de Méditerranée est régulièrement la source de heurts entre pêcheurs et ONG écologistes. Lors de la dernière réunion de la Cicta (Commission internationale pour la conservation des thonidés de l’Atlantique) en novembre à Paris, les quotas de pêche ont été très légèrement abaissés en Méditerranée. (20Minutes-05.01.2011.)
* La malédiction du mérou
Dans la magie des eaux claires de la grande bleue, il y a toute une faune qui interpelle les vacanciers. Les plaisanciers sur hors bords, narguant un rivage plein à craquer s’adonnent à une folle randonnée nautique. Tout le monde trouve son compte dans ce havre aquatique. Les bronzeurs trempés dans l’ambre solaire s’exposent au zénith pour un look exotique.
Le teint se tient toujours à la beauté des îles. Dans ce décor féerique s’estompent les ennuis, les malentendus et le stress. Une thérapie de plein air à la portée de tous. On devient tous égaux devant ce très vaste palan d’eau. Les chapiteaux dressés le long des côtes ouvertes aux baignades font que les plages sont de plus en plus prisées par les vacanciers. Les professionnels de la pêche sous marine qui manquent tant à cette image d’Epinal reviennent cette semaine. Après tant d’années de plomb sur la pratique illicite de cette pêche subaquatique, nous revoilà gagnés par l’euphorie des grands jours. Cette année, le contrôle sur le permis de pêche et l’usage de l’harpon en zone de baignade reste vigoureux. C’est vers des sinueux chemins de crique entre Tipaza et Cherchell qu’abondent le mérou et le loup de mer. Rien ne vaut un plongeon pour aller taquiner la grosse pièce des fonds. Dans un mystérieux fonds d’eau de Jules Vernes, on pense à la pieuvre aux tentacules géants. C’est dans ce rêve d’enfants que naquit le plaisir d’avoir flirté avec les profondeurs et ses habitants subaquatiques. Une magnifique leçon de choses apprises au bout d’une fouine accrochant un brochet. Les pêcheurs en herbe arrivent toujours à coincer un bébé poulpe au détour d’un petit rocher.
Histoire de vanter sa première prise. Dans ce magnifique melting-pot. Il y a les vrais braconniers, ceux qui font dans la singularité pour aller empester les caches de mérou à coups de pesticides. La colère de Zeus les poursuivra jusqu’à la mort. Un peu comme le capitaine Achab et la baleine blanche. Ils auront tout tenté pour saborder la faune marine. La mer se venge chaque année pour arracher aux mauvais pêcheurs le prix de leur forfait. (Horizons-12.07.2010.)
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*Le Japon crée un poisson rouge transparent…
Sur cette photo fournie par l’université Mie, le poisson transparent né du croisement de deux mutants à la peau très pâle.
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*Grandes marées : ce que vous pouvez pêcher
Que peut-on ramasser à la pêche à pied ? Des coques, des étrilles et bien d’autres coquillages et crustacés. À condition de respecter des règles et que le dinophysis, algue toxique, ne vienne pas en interdire la pratique. Sans doute faites-vous partie des 1,8 million de vacanciers qui aiment pêcher coques, bigorneaux, palourdes et autres coquillages, en courbant le dos, les pieds dans l’eau, chapeau sur la tête… À l’heure des grandes marées fort fréquentées sur les côtes normandes, bretonnes et atlantiques, il est bon de rappeler quelques principes de base alors que 83 % des pêcheurs avouent ignorer la réglementation.
Dans l’Ouest, ombres au tableau, trois sites sont interdits de pêche actuellement. La faute au dinophysis, algue microscopique et toxique, qui s’est invitée en Basse-Normandie, sur toute la Côte fleurie, entre Ouistreham et Honfleur. Elle sévit également dans le Finistère, en baie de Concarneau, de Beg-Meil à la pointe de Trévignon et en Loire-Atlantique, de La Baule à Pornichet…
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* 7ème édition du Salon international de pêche et de l’aquaculture (SIPA 2017) à Oran
La 7ème édition du Salon international de pêche et de l’aquaculture (SIPA 2017) s’est ouvert jeudi au Centre des conventions d’Oran avec la participation de 120 exposants nationaux et étrangers.
Ce salon verra la participation de 77 exposants nationaux et 35 exposants étrangers ainsi que 10 organisations internationales et une dizaine d’institutions publiques. Il se veut une manifestation économique destinée principalement aux professionnels mais également ouverte au grand public, indique le président du comité national d’organisation, Brahim Rodane.
La manifestation réunit, entre autres, des opérateurs du secteur de la pêche et de l’aquaculture, des producteurs d’alevins et d’aliments pour poissons d’élevage, des entreprises spécialisées dans l’emballage et conditionnement du poisson, des pêcheurs et des fournisseurs d’équipements.
Le salon vise les professionnels du secteur, mais surtout les investisseurs dans le domaine de la pêche et de l’aquaculture, souligne, pour sa part, le directeur général de la pêche et de l’aquaculture Tahar Hammouche.
Etant un créneau nouveau en Algérie, le développement de l’aquaculture constitue l’une des priorités de la tutelle, qui vise, à travers l’augmentation de la production du poisson d’élevage, la couverture des besoins nationaux en matière de consommation de poisson, soutient-il.
Un espace de dégustation de poisson d’élevage sera aménagé en marge du salon pour faire connaître les différentes espèces issues de l’élevage et promouvoir leur consommation, indique M. Rodane.
Cet espace proposera aux visiteurs des espèces issues de l’aquaculture marine comme la dorade et le loup de mer, et d’autre de la pisciculture d’eau douce, comme la carpe et le poisson chat, précise M. Rodane, notant que le poisson d’élevage d’eau douce est très peu connu en Algérie et cet espace représente une occasion pour le découvrir.
Des conférences, des ateliers et des forums sont programmés en marge de cet évènement sur diverses thématiques touchant au développement de la pêche et de l’aquaculture, les zones d’activités aquacoles, la stratégie du secteur, la sécurité maritime et la formation, notamment.
Par ailleurs, parallèlement au salon se tiendra la 4ème conférence biennale des parties de l’Accord sur la conservation des cétacés de la Mer noire, de la Méditerranée et de la Zone atlantique adjacente (ACCOBAMS).*bourse-dz.com/ 9 novembre 2017
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