Festival du film arabe à Oran
* Oran.. le 26 juin 2008 -Le 2ème Festival international du film arabe a été ouvert jeudi soir, 26 juin 2008, au Théatre régional Abdelkader Alloula d’Oran, dans une ambiance de liesses, en présence d’une foule nombreuse et enthousiaste qui s’est amassée sur la place du 1er novembre 1954, pour suivre le défilé des stars (près de 150 artistes invités de plusieurs pays) venus fouler le tapis rouge et monter les marches du bel édifice du théatre oranais, devant les objectifs des caméras et des photographes, et au rythme du karkabou, du baroud et de la fantasia. Un écran géant a été installé sur la place du 1er novembre pour permettre aux citoyens de suivre en plein air, les projections programmées au cours de cette manifestation culturelle. La cérémonie d’ouverture transmise en direct sur les trois chaines de télévision algérienne, a été marquée par une somptueuse chorégraphie targuie, exécutée magnifiquement par le ballet national de danse, fortement applaudi par les invités. Un vibrant hommage a été rendu au défunt et regretté Mustapha El Akkad, le réalisateur du célèbre film « Errissala ».. au chahid Ali Maàchi, artiste algérien assassiné le 8 juin 1958 à Tiaret par les sbires du colonialisme français, au chahid Ahmed Zabana, le premier martyre guillotiné pendant la guerre de libération nationale. Une pensée particulière a été adressée au cinéaste égyptien Youssef Chahine, actuellement malade, dans le coma, à la suite d’une hémorragie cérébrale. La cérémonie s’est poursuivie avec la présentation des membres du jury, pour les films courts-métrages, présidé par le réalisateur tunisien Abdellatif Ben Ammar, épaulé par le réalisateur libanais George M.Nasser , l’Algérienne Fatma-Zohra Zammoum, et pour les films long-métrages, présidé par l’artiste et comédien syrien Dourid Laham, en compagnie de l’actrice égyptienne, Ilham Chahine, de l’Algérienne Bahia Rachdi, de Claudia Marachabian du Liban, Mohamed Maftah du Maroc, Messaoud Amrallah Al Ali des Emitats arabes et Erfane Rachid d’Irak. Une projection rétrospective du cinéma algérien a été présentée par la suite, des séquences de films « La Bataille d’Alger », « Hassane Terro », Le vent des Aurès, Les Années de braises, Cheikh Bouamama, Nahla, Omar Guetlatou, Les vacances de l’inspecteur Tahar, Bab El Oued City, Le clandestin et autres.. Au cours de la soirée, quatre personnalités du cinéma arabe ont été honorés, il s’agit de la grande actrice Mouna Ouassef (qui a joué le role de Hind dans « Errissala ») elle a déclaré notamment avoir attrapé le virus de l’héroine et du courage des Algériens, en citant Djamila Bouhired et en récitant une partie de l’hymne national avec beaucoup d’émotion. Le second hommage est revenu à l’Egyptien Mahmoud Abdelaziz, celui qui a incarné le role principal dans « Raàfat El Haggan ». Puis ce fut le tour au réalisateur algérien Ahmed Rachdi qui est en train de terminer le montage de son nouveau film « Ben Boulaid ». Enfin, un dernier hommage a été rendu à titre posthume, au réalisateur du film « Errissala », Mustapha El Akkad, en présence de sa soeur Leila El Akkad qui a remercié l’Algérie pour cette initiative. La soirée a été cloturée par une danse féminine « tindi », originaire de l’Ahaggar dans le sud algérien, danse exécutée brillamment par le ballet de l’Office national de la culture et de l’information. En parallèle des projections de films dans différentes salles de la ville d’Oran, des conférences-débats sont organisées pendant le festival qui sera cloturé par la remise des prix , le 3 juillet prochain. -(montage photos..L’Echo d’Oran)
échos du festival
* L’acteur algérien Sid Ali Kouirat s’est plié aimablement à des séances photos avec les journalistes et le publis présent dans le cadre du festival international du film arabe. Interrogé sur cette manifestation culturelle, il a déclaré.. » C’est merveilleux ». Notons que l’Ahaggar d’or sera décerné à Sid Ali Kouirat qui a marqué par son talent l’histoire du cinéma algérien.
* Le ministre de l’Information et de la Communication, Abderrachid Boukerzaza a déclaré à Oran que le festival va donner un autre souffle au cinéma algérien.
* Avec son humour habituel, le comédien syrien Doreid Laham, en parlant d’El Akkad, a dit que celui-ci aimait beaucoup ses amis, les fètes de mariage et autres convivialités.. il acceptait toutes les invitations de ses proches et ses amis. et d’ajouter.. » pour la cérémonie du mariage de mon fils, j’ai envoyé pour la forme, une carte d’invitation à El Akkad qui était à Los Angeles, alors que le mariage allait avoir lieu à Damas. Au fond de moi, j’étais sùr qu’il n’allait pas venir, surtout qu’entre les deux villes, il y a 17 heures de vol. La veille du mariage, il m’appelle pour me dire qu’il était arrivé. je lui dit: où? Il me répond: ici à Damas pour assister au mariage de ton fils. Alors je lui ai dit, en plaisantant..qu’il va me causer un problème.. parce que je n’ai pas prévu de place pour lui et je ne sais pas où le mettre, car j’étais sùr qu’il n’allait pas venir.
hòtel Shératon
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