écolos
* …année écolo ..
Tout le monde est concerné par le sauvetage de la planète ? Certes ! Mais pas facile d’embrasser la cause verte au quotidien… Pour passer naturellement de l’”égologie” à l’écologie citoyenne, quelques bonnes résolutions chipées aux puristes, à recycler à volonté. C’est bio, le progrès ! ..
Se bouger pour la planète, son avenir, le nôtre et celui de nos enfants, c’est une bonne cause … Mais face à l’ampleur de la tâche, les bras nous en tombent un peu. Comme le constate Monica Fossati, experte en développement durable et rédactrice en chef du magazine Ekwo, « vouloir agir en ce domaine, c’est comme s’attaquer à une pelote de laine : on tire un fil et le reste vient avec ! » Les contradictions sont nombreuses, la paranoïa guette : ce tee-shirt en coton immaculé est écolo correct, mais si on doit le laver à 90°C avec un blanchissant, où est le bénéfice environnemental ? Face à la complexité des solutions, certains versent dans ce que Monica Fossati appelle l’« égologie » : on mange bio, on s’achète de la cosméto verte…, en fait, on se contente de se protéger des risques éventuels. Le monde en danger ? On s’y intéresse beaucoup..En face, des gens plus radicaux parlent décroissance, simplicité volontaire, slow life, et adoptent des modes de vie qui, s’ils doivent être ceux de demain, ne font pas spécialement rêver ! Les mamans fondamentalistes bio qui lavent leurs couches au savon et allaitent leurs bébés jusqu’à plus soif semblent parfois faire reculer très loin la cause des femmes. Il y a ici ou là, on le sent bien, de bonnes habitudes à prendre chez ces militants. Alors, parmi les recettes ci-dessous, faites donc votre marché – bio, s’entend ! – et recyclez tout ce que les écolos convaincus ont à vous offrir. Ce sera un bon début ! .Les consomm’acteurs (conscious consumers) en sont persuadés : s’ils n’achètent plus un produit qu’ils jugent dangereux pour la planète et/ou pour eux, il disparaîtra ! S’ils en plébiscitent un autre, il s’imposera. Le hic. Faire ses courses relève de l’examen de conscience. Ce smoothie au guarana en fiole plastique colle-t-il à mes valeurs environnementales et sociales ? S’il faut prendre des congés pour faire le plein à l’hyper et trépigner devant les céréales transgéniques, ça ne va pas être possible…Ce qu’on peut faire. On essaie de limiter les dégâts avec des principes simples. On est vigilant sur les emballages et on freine sur les si mignons packagings nomades ou individuels : yaourts, compotes, biscuits et autres mini-portions à maxi-déchets. On résiste à la surenchère ménagère – sprays dopés et lingettes antigras, antitache, anticalcaire… – pour se cantonner au minimum, choisi de préférence dans les lignes vertes. Et pour aller plus vite, on se constitue au fur et à mesure une liste de produits industriels acceptables selon nos critères pollution-santé. En s’autorisant une entorse : hum ! des bébés chorizo à micro-onder. Une quand même !
La décroissante qui se cherche….
Les « décroissants » vivent avec la douloureuse conviction que les 20 % d’humains dans les pays développés consomment et donc pillent 125 % des possibilités de la planète… C’est déjà trop et ça ne peut que s’aggraver si on continue tous à y aller gaiement. Donc, ceinture et vive le – développement – durable ! Le hic. Évidemment, les décroissants purs et durs sont austères. Pas question de changer le canapé du salon qui a un peu vécu ou de s’acheter un pull mauve quand le gris est encore très bien ! Et encore, ils sont très au-delà de ces petits sacrifices futiles. Ils en sont plutôt à recycler l’huile de friture pour leur moteur Diesel, s’ils ne peuvent pas éradiquer la voiture de leur vie. Bref, une vie d’ascète. Ce qu’on peut faire. Sans renoncer au sel de la vie, mesurer à quel point on est atteinte du syndrome « Je consomme, donc je suis », particulièrement accru quand on travaille comme une folle et que l’on accumule les craquages compensatoires pour soi, ses enfants, son mari, sa maison. Le bon déclic ? Noter pendant une semaine tout ce qu’on a acheté sans y penser (hors l’alimentation, l’hygiène et la santé, bien sûr) avec son prix. Édifiant ! Les décroissants en phase de désintoxication pratiquent même le « moratoire des achats pendant un mois » : il s’agit cette fois de lister et de chiffrer tout ce qu’on aurait pu acquérir si l’on s’était laissé aller… A la place de l’idée: « travailler moins pour gagner moins », c’est vivre mieux et pas stressé ! L’idée étant de sortir de la « rat race » (course des rats), cette quête vaine d’un bonheur marchand et préfabriqué.. Le hic. Humer son pot de basilic sur le balcon le matin au lieu de faire des abdos ? Bouquiner et ne pas pianoter compulsivement sur son portable ? Préférer le reflet du soleil sur un étang au halo des écrans ? C’est très bien. Mais quand on est vivement encouragée toute la journée ou la semaine à être productive, voire speed, au bureau, ce n’est pas toujours facile de passer en mode contemplatif. Ce qu’on peut faire. Continuer à faire carrière sans culpabiliser, mais admettre que les bons moments familiaux ou amicaux ne s’achètent pas toujours clés en main, même si l’on est pressée ! La virée chez Eurodisney, c’est bien, mais parfois moins sympa que le match entre voisins qui s’est monté au parc ce dimanche. Et le brunch de copains parents-enfants à la maison un peu foutraque mais joyeux est souvent plus cool que le déjeuner coincé au resto branché malgré ses clowns et ses maquilleuses ! Gnangnan ? Peut-être… Et alors ?
La locavore à mi-temps….Les « locavores » se font un devoir de ne consommer que fruits, légumes, viandes et poissons produits à moins de 160 kilomètres de chez eux. Quoi qu’on pense du sens de ce seuil fatidique, l’idée est d’apprendre à consommer local. Pour limiter le coût carbone et mieux contrôler notre alimentation : quand on sait où et comment les choses se font, on garde la maîtrise de son assiette.
Le hic. L’hiver, quand il n’y a plus que des pommes – même oubliées -, des choux, des raves diverses – so chic mais bon ! – et des patates pourtant violettes, comme on regrette ces temps innocents où acheter une mangue venue d’un pays lointain était perçu comme un progrès ! Ce qu’on peut faire. Adopter le réflexe d’acheter de saison. Et le plus proche possible quand il y a de la concurrence …Mais on s’autorisera une « exception Marco Polo » perso (c’est le nom que donnent les vrais « locavores » aux achats exotiques difficiles à contourner : thé, café ou riz thaï) une fois par semaine…( source : le Figaro).
****Les éco-résistants, qui sont-ils?
SEMAINE DU DEVELOPPEMENT DURABLE -….. Ils refusent de consommer bio, équitable, éthique, et vont à l’encontre de la «consom’action»: portraits d’éco-résistants...
Ils ne mettront jamais les pieds dans un magasin bio, se fichent de l’impact de leurs achats sur l’environnement et ne veulent pas réduire leur consommation d’électricité ou d’eau. Face à la montée de la consommation responsable, thème de la Semaine du développement durable, ils résistent, encore et toujours, à la vague verte qui déferle dans les grandes surfaces. Qui sont ces éco-résistants? Le site consoglobe.com a dressé une typologie de ces rebelles.
Portrait robot de l’éco-résistant: un homme de plus de 50 ans, souvent peu diplômé, habitant dans une petite ville et à faibles revenus. Plutôt climato-sceptique, il ne veut pas changer ses habitudes de consommation pour des raisons écologiques. «L’écologie était très à la mode en 2007, notamment avec le pacte de Nicolas Hulot, analyse Jean-Marie Boucher, fondateur de consoGlobe. Mais à partir de 2008, on a commencé à voir apparaître des messages négatifs sur la consommation responsable: arrêtez de nous bassiner avec ça et de nous faire la morale.»
2008, une année marquée par le début de la crise économique, qui n’a pas été sans impact sur les bonnes intentions des consommateurs. «La crise a indéniablement marqué les comportements, reconnaît Jean-Marie Boucher. La consommation non marchande, troc, don ou prêt, s’est accélérée, parallèlement à une baisse du pouvoir d’achat qui a nui au bio, considéré comme trop cher.»
Paranos, trop intellos ou extrêmistes
Parmi les éco-résistants, plusieurs profils se dessinent. Le plus courant est l’éco-résistant des Trente glorieuses, qui a grandi dans le boom de la société de consommation et n’image pas vivre autrement qu’avec sa voiture diesel et sa maison individuelle chauffée à l’électricité. Autre grande catégorie, les éco-résistants économiques: eux disent ne pas avoir les moyens financiers d’acheter responsable et refusent de payer plus cher un produit bio ou équitable. Moins fréquents, les «paranos» pensent que les discours sur les bienfaits du bio ou les réglementations sur les lampes fluocompactes sont des manipulations pour nous faire payer plus cher ou nous obliger à acheter de nouveaux équipements. Moins suspicieux d’un complot, les «agnostiques» doutent de la réelle efficacité des produits présentés comme respectant l’environnement. Quant aux «trop intellos», ils estiment que ce n’est pas leur petite action individuelle qui pourra sauver la planète, comme les «extrémistes» qui préfèrent ne pas consommer, ou moins consommer, plutôt que de rentrer dans le jeu des fabricants de produits «verts».
«Personne ne consomme écolo à 100%, même les plus engagés, nuance Jean-Marie Boucher. La consommation responsable concernerait deux tiers des Français de manière régulière selon les études, mais entre les paroles et les actes il y a un écart.» Pour gagner le dernier tiers de consommateurs rétifs, Jean-Marie Boucher compte sur «la dilution du vert dans la consommation normale»: si les industriels mettent sur le marché des produits écolos, sans en faire leur principal argument de vente, les éco-résistants finiront peut-être par acheter responsable sans le savoir. (20Minutes-04.04.2012.)
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*Conférence à Blida le 7 juin 2014 sur l’environnement et le développement durable
L’association internationale estudiantine (AIESEC), une organisation indépendante organisera le 7 juin prochain une conférence pour débattre des questions liées à l’environnement et au développement durable.
Des chercheurs, artistes, ingénieurs, leaders… de renommée prendront part au débat. « Au-delà des paroles » telle est la devise de la rencontre qui tournera autour de six axes : « allant de l’éducation environnementale à la politique écologique, en passant par l’art, l’architecture, l’entreprenariat ou encore le rôle des médias dans le soutien de l’écologie ».
La conférence sera organisée à Blida, plus exactement à Chréa, à l’hôtel « Le Cèdres ». Un formulaire sera mis en ligne pour permettre aux personnes intéressées de s’inscrire pour participer à la conférence.*El Watan-25.05.2014
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**Sommet Rio+20: du 4 au 6 juin 2012
Le Brésil veut faire du développement durable un modèle pour le monde
Le Brésil souhaite que le sommet Rio+20 des Nations unies contribue à imposer le développement durable comme modèle mondial de développement, a déclaré mardi un des responsables brésiliens de cette conférence qui aura lieu fin juin à Rio de Janeiro. «Nous sommes à une époque où les crises se multiplient, crise politique, crise climatique (…) Rio+20 sera l’occasion d’examiner ces crises provoquées par le modèle actuel de développement», a souligné l’ambassadeur Luiz Alberto Figueiredo à la presse étrangère à Rio. Selon lui, «ce sommet sera un succès s’il adopte des objectifs clairs» de développement durable pour les vingt prochaines années qui permettent un équilibre entre croissance économique, éradication de la pauvreté et protection de l’environnement.
Faire comprendre l’économie verte
Contrairement au précédent sommet en 1992 à Rio qui avait «consacré le développement durable avec l’adoption de diverses conventions comme celle de la biodiversité ou du climat, Rio+20 ne prétend pas faire des lois: ce sera un débat fort sur la manière dont nous voulons nous développer, sur l’avenir que nous voulons», a-t-il expliqué. Interrogé sur le manque de sanctions en cas de non respect par les pays des objectifs fixés, Luiz Alberto Figueiredo a répondu que «quand on fixe des objectifs de développement pour le millénaire (…), on ne pense pas en terme de sanctions». «Rio+20 jettera des ponts entre les différentes perceptions et positions sur l’économie verte. Certains pays redoutent par exemple que cette économie verte puisse être utilisée comme barrière commerciale», a-t-il dit.
Répondant aux 39 organisations de la société civile qui ont affirmé que le Brésil avait fait «marche arrière» en matière de protection de l’environnement avec le gouvernement de Dilma Rousseff, l’ambassadeur les a qualifiées d’«infondées». «Le Brésil arrive avec des résultats impeccables: c’est un des pays dont l’économie a progressé, qui a pratiqué l’inclusion sociale et qui a réduit comme jamais ses taux de déboisement», a-t-il assuré. (20Minutes avec AFP-04.04.2012.)
**cliquer ici: En route vers Rio – Sommet de la Terre 2012 des Nations Unies
*La Conférence des Nations Unies sur le développement durable (CNUDD) se tiendra au Brésil du 4 au 6 juin 2012 et marquera le 20e anniversaire de la Conférence des Nations Unies de 1992 sur l’environnement et le développement (CNUED) à Rio de Janeiro ainsi que le 10e anniversaire du Sommet mondial de 2002 sur le développement durable (SMDD) à Johannesbourg….
***Sommet Rio+20: Un rendez-vous à ne pas rater pour l’avenir de la planète
Vingt ans après le premier sommet de la Terre et dix ans après le discours de Jacques Chirac à Johannesburg alarmant sur le fait que «la maison brûle, mais nous regardons ailleurs», le sommet des Nations unies en juin prochain sera une nouvelle occasion d’alerter les décideurs du monde entier sur la nécessité d’agir pour l’environnement. Mardi en France, le Conseil économique, social et environnemental (Cese) a voté un avis qui servira de feuille de route aux représentants français à Rio: selon le Cese, Rio+20 est un rendez-vous à ne pas manquer.
Le Brésil veut faire du développement durable sa vitrine
«Rio+20 sera un grand sommet», assure Françoise Vilain, rapporteure de l’avis voté au Cese. «Je crois que ce sera historique du point de vue du nombre de chefs d’Etats qui seront présents, dont François Hollande, et de la participation de la société civile: on attend 50.000 personnes». Le «Sommet des peuples», qui se tiendra en marge des conférences officielles, sera l’occasion pour les associations de se faire entendre: «Entre les négociations des diplomates et des chefs d’Etat, on aura des «sandwichs days» pendant lesquels les associations présenteront leurs propositions. Nous avons proposé qu’elles puissent amender les textes des négociations et que le système onusien prenne mieux en compte leur participation».
Le Cese espère aussi que Rio marque un tournant dans l’éradication de la pauvreté et la raréfaction des ressources naturelles. «Il faut réfléchir à une nouvelle économie, à d’autres modes de consommation et de production», pense Françoise Vilain. Le Brésil, pays hôte du sommet, pourrait jouer un rôle important dans la réussite des débats sur «l’économie verte»: «Le Brésil, pays émergent, veut rayonner dans le monde et faire du développement durable une vitrine», estime Françoise Vilain.
Vers une Organisation mondiale de l’environnement?
La France défendra également l’idée d’une Organisation mondiale de l’environnement (OME): «Il fautrRevoir le système de gouvernance du développement durable, juge la rapporteure. Une OME incluse dans le système onusien avec un pouvoir de coordination, d’expertise scientifique, et si possible de sanctions pour les pays qui ne suivent pas leurs engagements, serait utile. J’espère que Rio+20 donnera des calendriers d’action pour aller dans le sens d’un développement plus équitable», conclut-elle. (20Minutes-23.05.2012.)
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**La Terre est «sous pression», alertent des scientifiques
Notre planète est «sous pression» et risque de ne plus pouvoir assurer le bien-être de la civilisation si rien n’est fait pour y remédier, ont averti jeudi des scientifiques de renom à l’issue d’une conférence à Londres pour préparer le sommet de Rio+20 en juin. Raréfaction de l’eau, pollution, extinction massive d’espèces vivantes, crise alimentaire… Dans leur déclaration intitulée L’état de la planète et publiée à l’issue de quatre jours de discussions, ces experts soulignent que la Terre et ses habitants sont désormais confrontés à des défis sans précédent. «La poursuite du fonctionnement de la Terre, en tant que système qui a contribué au bien-être de la civilisation humaine au cours des derniers siècles, est en jeu», résume les scientifiques. «Ces menaces risquent d’intensifier les crises économiques, écologiques et sociales et peuvent créer une situation d’urgence humanitaire à l’échelle de la planète tout entière», assurent-ils.
Les quelque 3.000 spécialistes de l’environnement, économistes, dirigeants d’entreprise et politiques s’étaient réunis à Londres à l’approche de la conférence sur le développement durable organisée du 20 au 22 juin à Rio par l’ONU 20 après le Sommet de la Terre de 1992. Ils ont notamment appelé ce Rio+20 à une réforme drastique de la gouvernance des questions environnementales pour répondre plus rapidement et de manière plus globale à tous ces défis. Les signataires demandent aussi la création d’indicateurs de bien-être différents du sacro-saint PIB (produit intérieur brut), prenant notamment en compte l’environnement, la santé et des facteurs sociaux. Dans un message enregistré, le secrétaire général des Nations unies, Ban Ki-moon, s’est réjoui de cette déclaration qui, selon lui, «ne pouvait pas mieux tomber». (AFP-29.03.2012.)
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*Près de 9 Français sur 10 veulent changer leur mode de consommation
De bonnes intentions à leur mise en application, il y a parfois un pas qui est difficile à franchir. Si près de neuf Français sur dix (88%) estiment que la crise économique devrait être l’occasion de changer de mode de vie et de consommation, seul un sur trois est prêt à redémarrer de zéro, selon le baromètre 2012 de la consommation responsable du cabinet conseil Ethicity.
Volonté de changement modéré
Selon cette enquête annuelle, publiée lundi à l’ouverture de la Semaine du développement durable (1er au 7 avril), la volonté de changement reste modérée pour plus de la moitié des Français (57%) qui ne souhaitent pas changer les fondements du système de la société actuelle mais juste en revoir certains aspects. Pour 33% la crise a toutefois montré que ce système n’est plus viable et qu’il faudrait repartir de zéro. Seuls 8% pensent qu’il faut préserver nos modes de vie actuels. «Les gens prennent conscience qu’il faut se serrer la ceinture, mais il y a quand même une volonté de vivre mieux», explique le directeur associé d’Ethicity, Gilles Degroote. Cette volonté se traduit par des gestes quotidiens, selon les chiffres, pour gaspiller moins et consommer de manière plus responsable.
Les préoccupations prioritaires des consommateurs restent le bien-être de la famille, la santé et le coût de la vie, quoique en légère baisse par rapport à 2011. En revanche le besoin d’être heureux, cité en quatrième position, a gagné 6 points. La perception de l’impact social positif de la façon de consommer a augmenté de 9 points par rapport au baromètre de 2011, l’impact économique a gagné 12 points et l’impact environnemental 5 points.
Les Français préférent les entreprises locales
Aussi l’information sur les produits comme le lieu de fabrication et les composants prennent une importance accrue. 85% des personnes interrogées ont indiqué privilégier les entreprises ayant préservé une implantation locale et 76% ont regretté la faiblesse des informations sur les conditions de fabrication des produits. «En comparant l’enquête aux sondages politiques de la campagne électorale, ce message de volonté de changement montre que les gens prennent conscience que cela ne viendra pas des politiques, mais biens des individus et des entreprises», selon Gilles Degroote. Dans le détail, les Français semblent avoir amorcé le changement avec 79% qui affirment trier systématiquement leurs déchets, 47% qui veillent à réduire leur consommation d’énergie et 45% celle d’eau, et 49% qui évitent les produits trop emballés. En revanche seuls 28% pensent à diminuer leur consommation de papier.
L’enquête a été menée par voie postale auprès d’un panel représentatif de 4.055 personnes âgées de 15 à 74 ans entre le 20 février et le 16 mars 2012 par Kantar Média et TNS Sofres. (20Minutes avec AFP-02.04.2012.)
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