Les 10 plus prestigieux hôtels du monde
1. LE RITZ
La réputation du Ritz de Londres n’est plus à faire. Ouvert en 1906 place Piccadilly, il n’a cessé depuis d’accueillir les grands de ce monde. Sa décoration de style Louis XVI lui donne un petit air provincial français. Les personnalités londoniennes y prennent toujours le thé.
2. LE SAVOY
Depuis son ouverture en 1889, cet hôtel londonien a vu défiler dans ses couloirs le peintre Monet, la danseuse Pavlova et le premier ministre Churchill. Plusieurs de ses chambres ont conservé la décoration d’origine, de même que l’American Bar qui possède toujours son chic typique des années 20.
3. LE GEORGE V
À quelques pas du musée du Louvre, des boutiques de designers et des Champs-Élysées, cet hôtel du 8e arrondissement parisien au style classique opulent représente ce que la France a de plus chic. Débarquer au légendaire George V, c’est montrer qu’on est quelqu’un et qu’on a les moyens.
4. LE BURJ AL ARAB
Haut de 321 mètres et dessiné pour ressembler à une voile gonflée par le vent, cet hôtel de Dubaï, aux Émirats arabes unis, offre un luxe incroyable et un service impeccable. On vient même vous chercher à l’aéroport en Rolls-Royce. C’est le seul hôtel au monde à revendiquer 7 étoiles.
5. LE TAJ LAKE PALACE
Installé au beau milieu d’un lac du Rajasthan, ce palace de marbre blanc a été construit en 1740. Ancienne résidence de campagne d’un prince indien, il a conservé son opulence. Ses suites meublées à l’ancienne, ses terrasses et son spa en ont fait un paradis romantique où se retrouvent les amoureux qui en ont les moyens.
6. LE BEVERLY HILLS HOTEL
Le plus connu des hôtels de Beverly Hills, popularisé en 1920 par Mary Pickford et Douglas Fairbanks. Certaines des plus grandes stars d’Hollywood habitent l’hôtel en permanence, beaucoup d’autres s’y sont installées pour un temps. C’est l’endroit où être vu sur Sunset Boulevard.
7. LE NEW YORK PENINSULA
L’hôtel Peninsula de New York est reconnu comme l’un des meilleurs au monde par sa clientèle de gens d’affaires. Au coeur de Manhattan, l’établissement offre style et service. Sa terrasse sur le toit embrasse une vue magnifique.
8. LE PALACE HÔTEL GSTAAD
Davantage le rendez-vous des têtes couronnées que celui du jet-set hollywoodien, cet hôtel ne brille pas par son luxe, mais plutôt par sa clientèle discrète venu skier dans les Alpes suisses. On y tient des expositions de bijoux Chopard et Cartier de même que des encans de Ferrari.
9. LE GRITTI PALACE
Un palazzo intime, fréquenté par les riches et célèbres. Construit en 1525, le Gritti Palace a été la résidence du doge de Venise, bien avant d’être le pied-à-terre d’Ernest Hemingway. Situé sur le Grand Canal, l’hôtel offre des suites de grand luxe, dont celle du doge, une splendeur dans le plus pur style vénitien.
10. LA VILLA D’ESTE
Acclamé maintes fois comme l’un des meilleurs hôtels de villégiature en Europe, la Villa d’Este est aménagée dans une résidence princière du XVIe siècle, sur les rives du lac de Côme, en Lombardie. Ses jardins datant de la Renaissance sont magnifiques.(La Presse)
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Paris: les nouveaux palaces ne font pas d’ombre aux anciens
L’hôtellerie haut de gamme parisienne s’apprête à accueillir le Mandrin Oriental, qui ouvre ses portes mardi.
Quelques mois après leur ouverture, le Shangri-La et le Royal Monceau n’ont pas atteint leur rythme de croisière. Leurs concurrents établis réussissent à défendre leurs positions.
Pas facile pour un hôtel de luxe de s’imposer à Paris. Alors que le Mandarin Oriental ouvre ses portes mardi, le Royal Monceau (Raffles Paris) et le Shangri-La, inaugurés respectivement en octobre et en décembre dernier, sont encore loin d’afficher les performances des palaces établis de la capitale, tels le Plaza Athénée ou le Bristol. Rien de particulièrement étonnant à celà. «Un hôtel a besoin de deux ou trois ans pour s’inscrire durablement dans son marché, explique Gabriel Matar, directeur France chez Jones Lang LaSalle Hotels. Ils n’arrivent pas dans un marché vide de concurrents.»
Le Royal Monceau et le Shangri-La contribuent certes à stimuler la demande, qui devrait progresser de 6 à 7% cette année. «Mais ils ne prennent actuellement des parts de marché qu’aux hôtels les moins bien positionnés, poursuit Gabriel Matar. Les leaders du haut de gamme, tels que le Bristol, le Plaza Athénée et le George V, n’ont pas été affectés. Leur taux d’occupation s’améliore même depuis janvier, et dépasse 75%.» François Delahaye, patron du groupe Dorchester (Meurice et Plaza Athénée), le confirme: «On n’a jamais autant bien marché. On prend même des parts de marché. Ceux qui perdent du terrain sont ceux qui n’ont pas investi.»
Le Royal Monceau et le Shangri-La reconnaissent volontiers qu’ils n’ont pas encore atteint leur rythme de croisière. Le Royal Monceau n’a toujours pas ouvert 35 chambres, sur les 149 prévues. Son spa et sa piscine seront opérationnels courant juillet. Le Shangri-La annonce pour sa part l’inauguration d’un nouveau restaurant chinois le 8 septembre, sa troisième table, mais son spa et sa piscine ne seront prêts que début 2012.
Changement de direction au Royal Monceau
«Le bilan des six premiers mois d’ouverture est très positif», affirme Alain Borgers, directeur général du Shangri-La. L’hôtel a attiré son lot de célébrités. Isabelle Adjani et Jean Reno y sont descendus. Un des fils du roi Fahd y est venu en famille, occupant une bonne partie de l’hôtel pendant quinze jours. «Comme nous l’espérions, nous sommes dans le top 3 des hôtels les plus chers de Paris, avec un prix moyen supérieur à 900 euros, se félicite Alain Borgers. Nous gagnons chaque mois dix points de taux d’occupation». Ce taux devrait avoisiner 75% en juin, l’objectif étant d’atteindre une moyenne de 80% au cours des douze prochains mois. «Grâce au Salon du Bourget, nous affichions complets la semaine dernière, poursuit Alain Borgers. La suite impériale, qui coûte 18.000 euros la nuit, est occupée tout le mois de juillet». Le Shangri-La, premier établissement en Europe de la chaîne asiatique qui en compte 72 dans le monde, situé dans un immeuble inscrit aux Bâtiments de France, a d’abord attiré des Français, des Parisiens surtout au début. Ils ont représenté jusqu’à 40% des clients de l’hôtel les premières semaines. «Les Asiatiques représentent 12% de notre clientèle, précise Alain Borgers. Ce taux pourrait monter jusqu’à 20%.»
Au Royal Monceau aussi, les Français ont été les premiers à venir découvrir l’hôtel. Ils représentent encore 30% environ de la clientèle, devant les Américains et la clientèle du Moyen-Orient. Mais la situation est plus tendue. Le directeur général, Sylvain Ercoli, vient de quitter son poste. Son remplacement est imminent, mais il n’a toujours pas été annoncé. «Les deux premiers mois ont été difficiles. Mais nous avons un plan à trois ans, précise Diana Banks, vice-présidente ventes et marketing chez Raffles. Nous visons toujours un taux d’occupation de 50% d’ici à la fin de l’année, avec des prix qui débutent à 780 euros la nuit.» (Le Figaro-27.06.2011.)
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