Dauphins et baleines
*90 dauphins pilotes s’échouent sur une plage au sud de la Nouvelle-Zélande
Une nonantaine de globicéphales, communément appelés « dauphins pilotes », a été retrouvée échouée lundi sur une plage de Farewell Spit, sur la pointe nord de la partie sud de la Nouvelle-Zélande, a rapporté un media local.
Un appel aux bénévoles a été lancé dans la région, afin d’aider le plus rapidement possible un maximum de ces mammifères marins à retrouver la mer, selon le journal local Neslon Mail.
D’après le journal, c’est déjà la troisième fois que ce phénomène se produit. Plutôt dans le mois de janvier, 18 globicéphales avaient été secourus, tandis que 25 avaient été rejetés sur le rivage.
Farewell Spit est une réserve naturelle, formée essentiellement de sable. A la fin du printemps, des dizaines de milliers d’oiseaux migrateurs s’y donnent rendez-vous. (belga-23.01.2012.)
**Trente-trois des nonante-neuf baleines-pilotes qui se sont échouées lundi sur une place de Nouvelle-Zélande, ont dû être euthanasiées jeudi, a indiqué le journal New Zealand Herald. Selon les responsables locaux pour la protection de l’environnement, les globicéphales ont clairement montré des signes de faiblesse et de stress. Beaucoup ont également perdu du sang. « Nous ne pensons pas que nous aurions pu faire plus », a indiqué l’un des responsables.
Les trente-trois mammifères faisaient partie du groupe de nonante-neuf qui s’est échoué lundi sur une plage de Farewell Spit, sur la pointe nord de la partie sud de la Nouvelle-Zélande. De ceux-là, 82 sont décédés. Les 17 autres ont pu atteindre la mer eux-mêmes lundi.C’est déjà la troisième fois que ce phénomène se produit. Plutôt dans le mois de janvier, 18 globicéphales avaient été secourus, tandis que 25 avaient été rejetés sur le rivage. (belga-26.01.2012.)
**********Près de 200 baleines-pilotes se sont échouées ce vendredi 13 février 2015 sur une plage de la presqu’île de Farewell au nord de l’Ile du sud de la Nouvelle-Zélande.
*Vidéo: baleines-pilotes échouées vendredi 13 février 2015
*Plus de 100 baleines-pilotes échouées sur une plage de Nouvelle-Zélande sont décédées, ont indiqué samedi les services environnementaux, qui craignent pour la survie de 90 de leurs congénères. Près de 200 baleines se sont échouées vendredi sur la plage de la presqu’île de Farewell, dans le nord de l’Ile du Sud de la Nouvelle-Zélande.
Profitant de la marée haute, des dizaines de secouristes ont tenté vendredi soir de les remettre à l’eau. Mais, a rapporté le porte-parole du service de la protection de l’environnement Andrew Lamason, les mammifères marins ont repris la direction du rivage pendant la nuit et se sont échoués à nouveau.
« La mort de 103 (baleines) est confirmée et nous essayons de maintenir les autres en vie », a-t-il dit à l’AFP. « Environ 150 volontaires prennent soin d’elles autant que possible », notamment en les aspergeant d’eau, a-t-il expliqué.
« Mais nous nous préparons à une issue assez mauvaise, chaque fois qu’elles s’ensablent à nouveau, leur santé se détériore de façon spectaculaire », a-t-il poursuivi. Il a ajouté qu’une nouvelle tentative de remise à l’eau était prévue samedi soir, et que l’euthanasie serait envisagée en cas d’échec.
La plage de Farewell est régulièrement le théâtre d’échouages de globicéphales, ou baleines-pilotes. Huit au moins se sont produits au cours des dix dernières années, dont deux en seulement une semaine en janvier dernier, mais celui de vendredi est l’un des plus importants.
Les baleines-pilotes, qui peuvent mesurer jusqu’à six mètres de long, sont l’espèce de baleines la plus répandue dans les eaux néo-zélandaises. Il n’existe pas d’explication scientifique certaine de ce comportement, mais des spécialistes suggèrent que des baleines en bonne santé s’échouent en venant au secours de membres de leur groupe qui sont malades et désorientés. *14/02/15 -Source: Belga
**********************************
*Dauphins morts à Fukushima.
Leurs poumons étaient irradiés
Les scientifiques japonais affirment n’avoir jamais rien vu de pareil après avoir autopsié un groupe de dauphins morts retrouvés échoués sur une plage non loin du site de la catastrophe de 2011 à Fukushima.
De nombreux dauphins ont été découverts échoués sur les côtes ces derniers temps. Le musée national des sciences a donc décidé d’enquêter. Trente chercheurs ont ainsi autopsié les 17 animaux retrouvés. Les poumons de ces dauphins étaient blancs, ce qui, d’après les scientifiques, est une indication du manque de sang acheminé vers les organes dû à un empoisonnement par radiation.
D’après Yuko Tajima, qui dirige les recherches, « les poumons de la majorité d’entre eux étaient blancs pour cause d’ischémie, une maladie vasculaire qui diminue l’apport sanguin vers un organe. Non traitée, elle peut mener à la mort ». Il ajoute qu’il a été démontré que les radiations ionisantes à petites doses et sous certaines conditions sont considérées comme étant un des mécanismes de base des maladies ischémiques.
Les risques de cancer provoqués par les effets des radiations ont été révélés après l’accident de Tchernobyl, et récemment, on a découvert que le risque de maladie ischémique lié aux radiations serait statistiquement plus grand que le nombre de cancers. En 1990, le ministère de la santé biélorusse avait déjà dévoilé dans un rapport l’aggravation du nombre de personnes affectées par ces maladies: « Le nombre d’adultes atteints par les maladies ischémiques cardiaques est de 2 à 4 fois plus élevé en comparaison avec les années précédentes ».
On peut donc s’attendre à ce type de constatations dans la région de Fukushima dans les années à venir.*7sur7–7/05/2015
*********************************
**Soixante-quatre dauphins retrouvés morts sur la côte aquitaine (en France)
Soixante-quatre carcasses de dauphins, pour la plupart morts après une capture accidentelle dans un engin de pêche, se sont échouées sur les côtes aquitaines depuis une semaine, a-t-on appris jeudi auprès de l’Observatoire Pelagis de l’Université de la Rochelle.
Deux tiers des animaux examinés par le Réseau National Echouage sont des dauphins communs, un tiers des marsouins et leur mort semble remonter à 10 à 20 jours, a expliqué à l’AFP Willy Dabin de l’Observatoire PELAGIS. Ils ont été poussés sur les côtes par le vent d’ouest. Selon M. Dabin, pour qui le phénomène « n’est pas pour le moment d’une forte intensité « , il n’est pas étonnant que ces espèces se soient retrouvées dans les engins de pêche industriels, qui, remontant du golfe de Gascogne vers le Nord, recherchent actuellement des bars, poissons qui mangent la même chose que les dauphins.
Le principal problème semble posé par la technique du « chalut pélagique en boeuf », où le filet est tracté par deux bateaux avançant parallèlement, saisissant tout ce qui nage sur 90 mètres de large et 75 mètres de haut. « Pour autant, nous ne disons pas haro sur les pêcheurs« , observe le scientifique, qui note que les captures accidentelles sont un problème « aussi pour les pêcheurs, éthiquement et techniquement », car les gros animaux provoquent des destructions de filets ou d’engins et les pêcheurs doivent manipuler des carcasses de 100 à 150 kg.
« Il faut les aider à améliorer leurs outils et bien connaître dans quelles conditions se font les captures accidentelles, pour les limiter », ajoute-t-il, déplorant que pour l’instant « les tentatives de modifications ou d’ajout technologique sur les engins (n’aient) pas donné lieu à des évolutions probantes » en raison notamment de la difficulté ou de la dangerosité pour les pêcheurs de les mettre en oeuvre. De plus, la coopération avec les professionnels reste « globalement moyenne » et il est en particulier « problématique » d’essayer de faire embarquer des observateurs, ajoute le scientifique, les pêcheurs craignant qu’on « n’essaie de les empêcher de travailler ».
« Nous cherchons seulement à nous rapprocher d’eux afin de comprendre ces phénomènes et de trouver ensemble des solutions adaptées », a-t-il conclu. (afp-26.01.2012.)
*Au moins 85 dauphins s’échouent sur une plage américaine, laissant les experts perplexes
Au moins 85 dauphins se sont échoués depuis le 12 janvier au Cap Cod (nord-est des Etats-Unis), un nombre beaucoup plus élevé qu’à l’habitude qui laisse les experts perplexes, a-t-on appris mardi auprès du Fonds international pour la protection des animaux (IFAW).« Quatre-vingt-cinq dauphins se sont échoués depuis le 12 janvier et ce nombre pourrait monter à 101, car 16 dauphins sont dans des endroits difficiles d’accès et nous n’avons pas encore pu confirmer leur situation », a précisé à l’AFP un porte-parole, A.J. Cady.
Des 85 dauphins retrouvés dans la baie, principalement près des localités de Wellfleet et Eastham, seulement 21 ont survécu et ont pu retrouver le large, avec l’aide des équipes de l’IFAW, a-t-il ajouté.
« Personne ne sait vraiment pourquoi ils se sont échoués », a-t-il ajouté.
Le Cap Cod est un secteur traditionnellement compliqué pour les dauphins, une sorte de « labyrinthe » dont ils ont parfois du mal à sortir, s’échouant sur ses plages avec la marée montante.
Mais, a-t-il ajouté, « ce nombre est très inhabituel. En général, sur un an, nous intervenons auprès de 120 dauphins, un nombre que nous avons presque atteint » en deux semaines.
Il a ajouté que les experts avancaient à ce stade plusieurs théories: les dauphins pourraient s’être tout simplement perdus, ou ils auraient suivi un banc de poissons et se seraient fait piéger.
Certains avancent aussi un lien avec les oscillations de l’Atlantique nord ou la température de l’eau, d’autres avec des maladies.
A ce stade, a-t-il ajouté, il faudra attendre le résultat des examens en cours pour en savoir plus.(belga-24.01.2012.)
***************************
*La météo libère des bélugas prisonniers des glaces
Une centaine de baleines bélugas qui s’étaient retrouvées prisonnières des glaces en Tchoukotka (Extrême-orient russe) mi-décembre ont pu rejoindre la mer ouverte grâce à une tempête qui a brisé la banquise, a indiqué vendredi à l’AFP l’agence du Transport fluvial et maritime. « Des vents forts ont provoqué la formation d’une large fissure dans la glace ce qui a permis aux bélougas de rejoindre la mer ouverte », a expliqué une porte-parole de cette agence, précisant que les autorités locales avaient indiqué fin décembre que l’envoi d’un brise-glace sur les lieux pour sauver les baleines « n’était plus nécessaire ».
Mi-décembre 2011, les autorités de Tchoukotka avaient demandé au gouvernement russe d’envoyer un remorqueur brise-glace pour libérer ces baleines qui risquaient de mourir de faim et d’épuisement.
Ce navire n’avait pas pu s’approcher de la zone où se trouvaient ces baleines à cause de la houle et de vents trop forts en mer de Béring (face à l’Alaska) mais ces mauvaises conditions météorologiques ont finalement permis aux bélougas de se sauver.
La baleine béluga ou bélouga est un cétacé protégé vivant dans les mers froides de l’Extrême Orient russe, ainsi qu’en mer Blanche et en mer de Barents, des dépendances de l’océan Arctique, au nord-ouest de la Russie.
L’espace vital de ces mammifères, qui peuvent mesurer jusqu’à six mètres et peser deux tonnes, est menacé par l’industrie pétrolière, le réchauffement climatique et la chasse, selon les ONG de défense des animaux.
Des baleines sont régulièrement prisonnières des glaces dans l’Arctique, mais rarement en tel nombre. (belga-13.01.2012.)
*************************
* Dauphins et baleines digèrent mal les déchets en plastique
Les déchets en plastique de plus en plus nombreux à la surface des océans représentent une menace mortelle pour les baleines et les dauphins, insuffisamment étudiée par la science, selon une étude soumise aux travaux de la Commission baleinière qui s’ouvre lundi à Jersey.
En 2008, 134 types de filets différents avaient été retrouvés dans les estomacs de deux cachalots échoués sur la côte californienne et probablement décédés d’occlusion. En 1999, à Biscarosse (Landes), une baleine à bec de Cuvier s’était échouée avec 33 kg de plastique dans le corps…
Sacs en plastique, filets de pêche, bouchons de bouteilles, pailles pour boire : les cétacés, comme les tortues ou les oiseaux, digèrent bien mal ces déchets de plus en plus nombreux, rappelle une étude soumise au comité scientifique de la Commission baleinière internationale (CBI) en vue de la réunion annuelle de Jersey (îles anglo-normandes).
Un danger supplémentaire
« La menace des débris marins en plastique pour nombre d’animaux marins est établie depuis longtemps, mais la menace pour les baleines et les dauphins est moins claire », estime l’auteur, Mark Simmonds, responsable scientifique de la Société pour la conservation des dauphins et des baleines (WDCS), une ONG britannique.
« Il est cependant établi que ces débris peuvent faire du mal à ces animaux à la fois par ingestion et par enchevêtrement », ajoute-t-il après avoir rassemblé toutes les données, parcellaires, témoignant de cette menace mortelle.
« Dans beaucoup de régions, les carcasses de baleines échouées ne sont pas enregistrées ou examinées, et dans les régions où elles sont enregistrées, la recherche des plastiques présents dans les intestins est rare », confirme Chris Parsons, biologiste à l’Université George Mason de Fairfax (Etats-Unis).
Processus d’alimentation
Le Programme des nations unies pour l’environnement (PNUE) avait souligné en février, dans son rapport 2011, comment les millions de déchets en plastique menacent les océans d’asphyxie en raison d’une utilisation toujours plus importante du plastique et de taux de recyclage encore faibles.
Ces débris sont particulièrement concentrés autour des routes de navigation, des régions de pêche et des zones de convergence océaniques, formées par les courants et les vents où les cétacés trouvent une nourriture abondante.
« L’effet le plus évident est d’interférer avec le processus d’alimentation », souligne-t-il. Les baleines à bec et les cachalots semblent particulièrement vulnérables, peut-être parce qu’ils capturent leurs proies par succion.
Une menace grandissante
La présence des déchets en plastique, notamment les micro-débris (inférieurs à 5 mm), dans les voies digestives a un autre effet néfaste: elle semble faciliter le transfert dans le corps des polluants associés à ces plastiques, comme les PCB (polychlorobiphényles).
« Nous n’en savons pas assez au sujet des débris marins pour pouvoir comparer cette menace aux autres menaces », et notamment les plus importantes que sont les prises accidentelles ou le changement climatique, regrette Mark Simmonds.
« Mais comme ces débris continuent à croître, cela va sûrement jouer un rôle de plus en plus grand », estime-t-il, souhaitant que le sujet soit « pris au sérieux » par la Commission baleinière, l’instance internationale où sont débattues les questions de chasse et de protection des baleines.
La WDCS plaide notamment pour que la CBI souscrive à l’ »Engagement d’Honolulu », un appel international lancé en mars à Hawaï pour inciter gouvernements, associations, industries et citoyens à agir pour réduire les déchets marins. (afp)-10.07.2011.
*************************
* Une quinzaine de baleines mortes échouées en Ecosse
Une quinzaine de baleines pilotes sont mortes après s’être échouées dans l’extrême nord-ouest de l’Ecosse près du Cap Wrath, ont annoncé samedi matin des secouristes. Ces mammifères appelés également globicéphales faisaient partie d’un banc d’une soixantaine de baleines qui avaient pénétré dans un bras de mer, le Kyle of Durness.Environ trente cinq d’entre elles, à la marée descendante, se sont retrouvées échouées sur le sable, une vingtaine ont pu être secourues, mais les quinze autres sont mortes, a précisé l’organisme chargé de secourir les animaux marins le long du littoral britannique. Mark Simmonds, chef de la Société de protection des baleines et des dauphins, a déclaré que cet étroit bras de mer avait été un « piège » pour les baleines.« Un étroit bras de mer parsemé de nombreux bancs de sable a pu perturber leur système d’écholocation », a-t-il expliqué. « Quelque chose plus loin en mer peut avoir effrayé tout le groupe de globicéphales, ils ont alors paniqué, devant une situation inhabituelle et ils ont été incapables de retrouver le large. » « L’échouage d’un ou d’eux de ces animaux a peut-être provoqué chez eux la panique, les autres membres du groupe ont alors essayé de leur venir en aide et se sont retrouvés, à leur tour, eux-mêmes en difficulté », a expliqué Mark Simmonds. (belga/mb-23.07.2011.)
**************************
* La commission baleinière en quête de transparence
La commission baleinière internationale (CBI), minée par des soupçons de corruption et paralysée par l’opposition entre pays protecteurs des cétacés et pays chasseurs, va devoir aborder la question de sa transparence à sa 63e réunion plénière qui débute lundi à Jersey.
La Grande-Bretagne, où se trouve le siège de la vénérable institution créée en 1946 pour ménager l’avenir de la chasse à la baleine, arrive à la réunion avec des propositions pour la rendre plus « efficace » en l’alignant sur les pratiques des autres instances internationales.
La dernière réunion de la CBI, en juin 2010 à Agadir (Maroc), s’était soldée par l’échec des discussions pour assouplir le moratoire sur la chasse à la baleine, en vigueur depuis 1986, avec deux blocs campés sur leurs positions.
Corruption
Elle avait surtout été marquée par les accusations de corruption visant le Japon, soupçonné de payer pour sécuriser le vote de ses alliés à la Commission, dont les 89 pays membres se répartissent assez équitablement dans chaque camp.
Le Sunday Times avait rapporté que des représentants africains et des Caraïbes avaient admis avoir voté en faveur de la chasse à la baleine en échange de promesses d’aides au développement, d’argent ou de cadeaux. Malgré les démentis japonais, plusieurs acteurs en avaient tiré la conclusion de la nécessité de réformer le fonctionnement de la CBI à l’issue d’une année de « pause », décrétée après la réunion au Maroc.
Virement bancaire
« La commission baleinière internationale est l’instance clé responsable de la chasse et de la conservation des baleines. C’est vital qu’elle restaure sa crédibilité », plaide Patrick Ramage, directeur du programme international sur les baleines au Fonds international pour la protection des animaux (Ifaw).
La proposition déposée par le Royaume Uni vise à ce que chaque pays membre règle désormais sa cotisation par un virement depuis un compte bancaire national pour mettre fin aux paiements par chèque ou en liquide. Une façon de ne plus permettre à un pays chasseur de payer discrètement la cotisation de ses alliés, décryptent plusieurs observateurs.
La Grande-Bretagne propose aussi d’accorder plus de place aux ONG et d’accélérer la diffusion des décisions et des compte-rendus de réunions, souvent publiés de longs mois après la fin des discussions. Même modestes, ces propositions britanniques n’ont pas obtenu un soutien global européen, le Danemark, en raison de ses liens avec le Groenland où la baleine est chassée, s’étant opposé à une position commune.
Et le Japon?
La grande inconnue de cette réunion tient à l’attitude du Japon, cible préférée des anti-chasse en raison de sa chasse à la baleine dite « scientifique », quatre mois après le séisme et le tsunami. « Ils vont sans doute adopter un profil bas, du fait qu’ils ont eu moins de temps pour se préparer et qu’une partie de leur flotte a été endommagée », estime Alexandre de Lichtervelde, commissaire belge auprès de la CBI.
« On peut se demander si le Japon va bénéficier d’un mouvement de sympathie plus général », pense Rémi Parmentier, du groupe de consultants Varda. « Le Japon a jusqu’à présent maintenu une minorité de blocage en subventionnant des pays pour qu’ils l’appuient. Mais maintenant que le pays est en reconstruction, il sera aussi intéressant de voir si cela va continuer et quels pays vont être présents », ajoute ce spécialiste des négociations.
Une trêve n’est toutefois nullement dans les intentions de la plus virulente des organisations anti-chasse, Sea Shepherd. L’ONG du Canadien Paul Watson, qui a pris l’habitude de pourchasser les baleiniers japonais dans l’Antarctique, a déjà annoncé son intention d’y retourner l’hiver prochain si la chasse reprend. (afp)-11.07.2011.
**************************
Une baleine offre un spectacle à ses sauveteurs
La nature offre à ceux qui l’apprécient et en prennent soin, des spectacles d’une extraordinaire beauté. Des petits moments de bonheur à l’état pur.
C’est ce qu’ont vécu Michael Bach, militant et co-fondateur de l’organisme Great Whale Conservancy (qui lutte pour la conservation des baleines), et sa famille alors qu’ils passaient une journée en mer dans le Golfe de Californie.
Lors de leur promenade, ils ont découvert une jeune baleine à bosse en difficulté. Celle-ci, prisonnière d’un filet de pêche, se voyait incapable de nager et avait beaucoup de mal à remonter à la surface pour respirer. Une situation synonyme de condamnation pour l’animal.
La petite troupe a alors décidé de tenter de libérer l’animal en découpant le filet. Un exercice compliqué mais qui a fini par payer au bout d’un long effort.
Ravie de sa liberté retrouvée, la baleine a offert un spectacle exceptionnel à ses sauveurs. Comme quoi, un petit geste peut tout changer! (ca) -13.07.2011.
********************
Thanks for expressing your ideas in this article. The other element is that each time a problem comes up with a personal computer motherboard, persons should not take the risk with repairing this themselves for if it is not done properly it can lead to irreparable damage to the whole laptop. It’s usually safe to approach your dealer of the laptop with the repair of that motherboard. They will have technicians who’ve an expertise in dealing with notebook motherboard difficulties and can have the right prognosis and conduct repairs.
How did you make this blog look this great. Electronic mail me should you obtain the likelihood and share your wisdom. Id be thankful.
return man 2
sensationnelle post, merci bien.