Les sirènes d’Hawaii
*Elles envoûtent le Pacifique
Lundi 16 décembre 2013, Kariel et Hannah, qui se sont connues sur Internet, nagent pour la première fois ensemble, au milieu des poissons-papillons, dans les eaux qui bordent l’île d’Oahu à Hawaii.
Hannah et Kariel vivent leur rêve dans le monde du silence et ressuscitent le mythe de la femme-poisson.
Hannah Fraser plonge au fond de la baie. Sa longue chevelure suit les ondulations de son corps. Ses jambes sont enserrées dans une nageoire bleue et dorée. Des milliers d’écailles scintillent. Elle est rejointe par son amie Kariel, dotée d’une queue verte et argentée. Main dans la main, elles dansent dans l’océan tout en remontant vers la surface. Une fois à l’air libre, Hannah s’exclame : «C’était bon d’être chez soi !» L’océan Pacifique est son royaume au large de Honolulu, à Hawaii.
Depuis l’enfance, Hannah et Kariel rêvaient d’être sirènes. «Je passais ma vie à en dessiner dans les cahiers et sur les murs», se souvient Hannah qui a découvert sa passion à 9 ans avec «Splash», le film de Ron Howard où Daryl Hannah joue le rôle d’une créature mi-femme, mi-poisson. Hannah vit alors dans une ambiance new age. Son père, Andy Fraser, est le bassiste du groupe britannique de rock Free. Sa mère, australienne, est artiste, psy et prof de yoga et de méditation. Hannah a grandi avec elle à Los Angeles puis à Melbourne, en Australie. «Un jour, raconte Hannah, un agent de casting m’a parlé d’une marque de prêt-à-porter qui voulait photographier des jeunes filles sous la mer. Je n’étais pas la plus jolie, mais j’étais la plus agile dans l’eau. J’ai été sélectionnée. Quand j’ai vu les photos, je me suis dit que je serais tellement plus belle si j’avais une nageoire de sirène! Alors j’en ai confectionné une.»
Aujourd’hui, elle enchaîne les séances photos, réalise des films et apparaît dans des clips vidéo, notamment pour Pascal Obispo. Hannah se considère aussi comme une « ambassadrice des océans ». Elle a eu un rôle dans « La baie de la honte », de Louis Psihoyos, Oscar du meilleur documentaire 2010, qui dénonce la chasse au dauphin à Taiji, au Japon. En février 2013, elle a contribué à inscrire la raie manta sur la liste des espèces en voie de disparition. «J’ai tourné un court-métrage où, habillée en sirène, j’évoluais dans l’eau avec une raie manta. Sur le Net, le buzz a été énorme. Les délégués étaient si émus que même ceux qui venaient de pays où l’on tue cet animal ont voté en faveur de son inscription sur la liste. C’est une de mes fiertés.»
*Quand des requins tournent autour d’Hannah, elle se laisse porter par le courant comme si de rien n’était
Quand des requins tournent autour d’elle, Hannah se laisse porter par les courants. Si l’un d’eux fonce sur elle, elle hurle. Le son passe très bien dans l’eau. Les squales, peu habitués à entendre une voix humaine, battent en retraite. La seule blessure que Hannah a reçue lui a laissé une cicatrice à la main gauche. Elle n’a pas vu un requin-baleine s’approcher derrière elle. En se retournant, elle a heurté sa lèvre. «J’ai eu l’impression qu’on me passait du papier de verre sur la main, sourit-elle. Je n’avais plus de peau. Mais c’était de ma faute. Surprise, j’ai mal réagi.» Hannah se souvient aussi de sa rencontre avec une maman baleine qui chantait avec son bébé. «Sa voix était si puissante qu’elle résonnait au fond de mes entrailles. Celle du baleineau évoquait le son d’une trompette. En sortant de la mer, je pleurais d’émotion.»
Hannah a également joué avec George, une des plus vieilles tortues mâles du monde qui s’est éteinte l’an dernier, dans les Galapagos, à 152 ans. «On s’est retrouvées à 2 centimètres l’une de l’autre, nez contre nez. C’était magique. La connexion avec la nature, c’est ça : se sentir en symbiose avec des êtres qui vivent dans un univers si différent du nôtre.» Parfois, ça tourne à la farce, avec les phoques notamment, qui adorent mordiller sa nageoire. Chaque animal a son caractère. Recevoir les vibrations du « sonar » d’un dauphin procure des sensations uniques. «C’est comme un tremblement de terre qui soulève votre squelette, dit Hannah. Après coup, j’avais l’impression d’avoir fumé un joint très puissant.»
Hannah a fait des émules. Kariel est devenue sirène sur le tard, en 2009, quand elle est venue s’installer à Hawaii avec son mari. Elle a troqué son vrai prénom, Kari, pour Kariel, en hommage à Ariel, la petite sirène de Disney. Elle fait des shows dans la piscine du Marriott de Ko Olina, près de Honolulu. Et Brooke, sa fille, a déjà sa nageoire en plastique. Elle a 2 ans et demi. Une nouvelle petite sirène est née.*parismatch.com-24 décembre 2013
**Un Salon de la plongée dédié aux femmes
**L’année des sirènes
**14e Salon de la plongée-
Du 13 au 16 janvier 2012, Parc des expositions de la Porte de Versailles, Paris.
Le 14e Salon de la plongée* est pour la première fois dédié aux femmes. Toujours plus nombreuses à pratiquer ce sport-loisirs, elles privilégient la découverte et l’évasion plutôt que l’exploit pur. Voici le quarté gagnant de leurs spots turquoise favoris. Et si vous vous jetiez à l’eau?
1 – La mer Rouge…Mais en voilier
En tête des destinations sous-marines préférées des femmes, la mer Rouge souffre aujourd’hui d’une réputation d’«usine à plongée». La beauté exceptionnelle de ses fonds, révélée en 1956 par Cousteau dans son film «Le monde du silence», justifie cet engouement. Mais la fréquentation intensive de ses récifs les plus accessibles depuis la côte égyptienne met en péril le milieu marin.
Le bon plan: opter pour une croisière-plongée privée sur un voilier confortable, qui permet d’atteindre des sites isolés et préservés, comme l’équipe de Cousteau les découvrit dans les années 50. Et surtout, de minimiser l’impact sur l’environnement.
Avec Dive No Stress. Croisière «voile au vent» sur un ketch à privatiser (8 passagers maximum). De 1500 A 2000 euros la semaine, port-port (sans l’aérien). Prochains départs: à partir de fin mars. Rens.: www.divenostress.com
2/ Les Maldives…En version chic
L’archipel de l’océan Indien et ses 1200 îles paradisiaques concentrent les plus beaux sites de plongée de la planète. La diversité de sa faune et de sa flore, parfois à portée de palmes de votre villa, classe la destination «hors compétition». Le top du top, certes, à condition de bien choisir son île-hôtel, en privilégiant les séjours «tout inclus», toujours favorable côté budget.
Le bon plan: Constance Moofushi Resort, un 4-étoiles rénové en 2010, entouré d’une spectaculaire barrière de corail, qui compte plus de 30 sites de plongée.
Avec Tourinter. 9 jours-7 nuits en formule tout inclus au départ de Paris, hébergement en Beach Villa. A partir de 3545 euros. Rens.: 0825 161 501.
*3/ Les Caraïbes…Comme un Robinson
La Dominique, entre Martinique et Guadeloupe, c’est la nouvelle destination tendance des Caraïbes, désormais accessible grâce à l’ouverture d’un vol depuis Saint-Martin. Dans les eaux de cette île anglophone, on observe les cachalots, de novembre à mars, et sur terre, la nature préservée offre de beaux itinéraires de randonnées entre volcan, lacs et forêts.
Le bon plan: le Tamarind Tree, charmant 2-étoiles, avec vue mer, situé à quelques minutes d’un centre Padi.
Avec Ultramarina. 9 jours-7 nuits à partir de 1482 euros, plongées incluses. Rens.: www.ultramarina.com
4/ Le Pacifique…Sous le charme de la Polynésie
C’est à Rangiroa, dans l’archipel des Tuamotu, qu’est née la plongée en Polynésie. Pas étonnant, car le 2nd plus grand lagon du monde est un véritable aquarium naturel, qui se vide et se remplit, via deux passes, au rythme des marées. Les plongeurs certifiés peuvent y observer raies mantas, requins marteaux, tortues et dauphins. Quant aux adeptes du PMT (palmes, masque, tuba), ils pourront explorer le lagon bleu et ses poissons tropicaux.*parismatch.- le 04 janvier 2012
Le bon plan: un combiné Tahiti-Raiatea-Rangiroa.
Avec AMV. 15 jours-12 nuits à partir de 3999 euros. Rens.: www.amv-voyages.fr et 05 62 47 41 10.
*www.salon-de-la-plongee.com
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Les sirènes
**L’origine des sirènes
L’origine des sirènes n’est pas réellement connue. Selon la mythologie, elle était des filles des fleuves, dont certaines aurait rejoint la mer, d’où les différentes espèces de sirènes (voir plus bas). Chez les romains, les sirènes seraient à l’origine des femmes, comme tout le monde qui auraient été les compagnes de Perséphone. Elles auraient laissé Hadès emmener cette dernière. Pour punir ces femmes, les dieux leurs auraient donnés ce corps de mi-femme, mi-poissons Une autre version dit également qu’Aphrodite leurs affubles des pattes et ailes parce qu’elles auraient refusés d’offrit leurs virginités à un dieu ou un mortel. Ce qui explique qu’une forme différente existe pour les sirènes.
Symbolisme
Les sirènes symbolisent la tentation et le désir. Elles peuvent aussi symboliser la vertu et la justice. On dit aussi qu’elles sont immortel, que l’âge n’existe pas pour elles.
Localisation géographique
Dès l’antiquité, les hommes voulaient savoir où vivaient ces créatures. Certain disaient à l’ouest de la Sicile sur l’île Anthemusa (près du Cap Péloros). Strabon quand à lui pensa à Neapolis. D’autre encore, au rocher à triple pointe séparant le Glofe de Cumes du golfe de Posidonie.
Les sirènes dans l’histoire
Les Naïades Dans les légendes grecques, les sirènes ne sont pas représentées sous la forme de mi-femme, mi-poisson, mais elles sont pourvues d’ailes et de griffes, comme des aigles. Elles sont appelles les naïades. C’est créature de la nuit ont beaucoup de chose en commun avec les Stryges et les Succubes. Homère un grand poète grec conta les aventures d’Ulysse dans l’œuvre « l‘Iliade et l’Odyssée » Lors de son voyage de retour, Ulysse du passer par l’antre des naïades Elles vivaient sur des rochers escarpés entre l’île de Capri et la côte italienne. Elles attiraient et charmaient les marins par la douceur de leur voix, qui faisait tout oublier et les navires se brisaient sur les récifs. A l’approche des récifs, Ulysse ordonna à ses hommes des se mettre de la cire dans les oreilles et de ramer quoi qu’il arrive. Ils leur demandèrent de l’attacher sur le mat pour pouvoir entendre leurs chants sans se laisser prendre par la folie des les rejoindre. Ulysse fut pris de folie, mais comme il leurs en avaient donné l’ordre, ils continuaient à ramer quoi qu’il arrive. Une fois des récifs passés, l’enchantement fut levé.
Océanides et les tritons. Les Océanides, pour leur part, était des nymphes de la mer et des eaux, filles d’Okeanos (dieux de l’océan) et de Téthys. Les tritons quand à eux, sont les poux des Océanides, fils de Poséidon et d’Amphitrite. D’après les dire d’Hésiode, elles sont environ trois milles. Contrairement aux sirènes des mers, les sirènes des océans sont bienveillantes pour les marins, surveillent la terre et les abîmes marins. Radieuse enfant des déesses, elles peuvent prévenir des dangers, récifs, côtes déchiquetées ou tempêtes. Sachant distraire les marin par leur grâce et quelquefois leur montrent l’emplacement de trésors. Les marins savent que si on donne un coup de rame à une sirène (même involontairement), on sait qu’il va y avoir une tempête.
Les ondines, sirènes des fleuves et lacs. Les ondines sont des nymphes. A l’inverse des sirènes, les ondines ne fréquentent pas les mers ou océans, mais les eaux courantes, rivières et lacs. A l’origine, l’histoire des Ondines est une légende alsacienne. La légende raconte l’histoire de la première Ondine. A sa naissance, toutes les fées du voisinage se sont réunies autour du berceau de la petite Ondines et lui offert des qualités nombreuses. La fée, sa marraine lui offre notamment une constance exceptionnelle. Un jour, elle fut enlevée par un jeune seigneur qui réussit à se faire aimer d’elle au point qu’elle refusa de le quitter pour aller voir sa mère malade. Pour punition, sa marraine la condamna à toujours aimer le seigneur quoi qu’il fasse. Celui-ci, fatigué d’elle, fit semblant de la croire infidèle. Il dit qu’il ne la croirait que si elle allait remplir un vase énorme à la source du Niddeck. Après trois jours de marches en portant ce poids énorme, Ondine épuisée tombe dans l’eau en remplissant son vase. La fée, sa marraine arrive à son secours et pour lui éviter de continuer à souffrir à cause du châtelain, la transforma en nymphe protectrice des eaux du Niddeck. Depuis, les jours d’orage, on la voit apparaître dans les vapeurs des eaux de la cascade.
Les selkies
Les Selkies sont des femmes phoques évoluent dans les mers des îles Shetland. Pour plonger au fond de l’océan, elles sont revêtues d’une peau de phoque qu’elles ôtent, lorsqu’elles se trouvent sur terre. Elles apparaissent alors sous formes de très belles femmes qui passaient la nuit à danser à la lumière de la lune. Mais, elles doivent prendre garde à ne pas égarer leur peau de phoques, car elles sont alors incapables de retournes dans leur élément naturel. Parfois, elles quittent leur apparence de phoques qu’une seule fois dans l’année, généralement durant la nuit de la saint jean, nuit magique où tous les enchantement sont permis et toutes les métamorphoses possibles.
Les Néréides. Tout comme les Océanides et les sirènes des mers, elles ont des voix merveilleuses dont elles font usages pour le seul plaisir de leur père Nérée, (l’un des dieux de la mer) ; et non pour provoqué la mort des marins dont elles sont d’ailleurs les plus protectrices. Elles prennent l’apparence de jeunes filles sensuelles aux cheveux ornés de perles, montée sur des dauphins ou des chevaux marins. Les clinquantes filles, toutes plus belles que joyeuses que la terre n’ai porté. D’après certain texte, on prétend que les sirènes de toutes espèces peuvent être les descendantes des Néréides.
Les sirènes dans les films et livres
Les sirènes fascinent toujours et encore aujourd’hui. On ne décompte plus le nombreux d’histoires et de films où on utilise une sirène. Parfois prédatrice, parfois femme d’une grande gentillesse, comme dans la petite sirène, où Ariel sauve un être humain étant amoureuse de ce dernier ou encore à son opposé, dans Pirate des caraïbes 4 où les sirènes dévorent les hommes. Les sirènes continueront de fasciner un grand nombre de personne qui leur donneront principalement l’apparence d’une femme à queux de poisson.
Mais que sont les sirènes ?
On ne découvrir que bien plus tard que les sirènes si souvent vu par les marins étaient en réalité une espèce de dauphin au corps long et gracieux qui ressemblent à une femme de loin : les marsouins. Leurs cris correspondent avec les descriptions écrient par les marins, ce qui laisse tout penser que ce sont eux les créatures fantastiques qui fascinent tant le monde.
Malgré tout, les sirènes n’existerait-il pas vraiment ?*romances.site50.net
*Mythologie-Ulysse et les Sirènes
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*Les Etats-Unis démentent l’existence des sirènes
Après avoir diffusé un programme sur les sirènes que certains téléspectateurs peu attentifs avaient pris pour un documentaire, le National Ocean Service (une branche du département du commerce) a été obligé de publier sur son site un message rappelant que les sirènes, « ces légendaires créatures, mi-humaines mi-poissons, présentes dans la culture maritime depuis des temps immémoriaux », n’existent tout simplement pas.
Citant L’Odyssée, d’Homère, ou des légendes d’aborigènes d’Australie – des sources publiques, car « nous n’avons pas de programme de recherche sur les sirènes » – les responsables du National Ocean Service ont expliqué que le programme Mermaids : The Body Found, diffusé sur la chaîne Animal Planet, n’était en aucun cas un documentaire.
La croyance dans les sirènes serait apparue dès le commencement de notre espèce. Des figures de femmes magiques apparaissent dans des peintures rupestres datant du paléolithique, il y a à peu près 30 000 ans, quand les hommes modernes ont commencé à naviguer sur les mers. En plus des sirènes, des créatures à moitié humaines appelées « chimères » sont également présentes dans la mythologie, tout comme les centaures, les satyres et les minotaures, pour ne citer qu’eux. Mais les sirènes sont-elles réelles ? Aucune preuve de l’existence d’humanoïde aquatique n’a été découverte.
Ce démenti surprenant intervient quelques mois après qu’une autre agence fédérale américaine, les Centres fédéraux de contrôle et de prévention des maladies (CDC), ont fait savoir publiquement qu’il n’y avait aucune preuve qu’une épidémie de zombies avait lieu aux Etats-Unis. Les observateurs se demandent désormais : à quand un démenti sur l’existence des vampires ?**/bigbrowser.blog.lemonde.fr/2012/07/04
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