Les précautions à prendre en cas de grand froid

Les enfants, les personnes âgées et les malades chroniques sont plus vulnérables au froid.
Les enfants, les personnes âgées et les malades chroniques sont plus vulnérables au froid. 

FOCUS – Face aux importantes chutes de température, plusieurs réflexes sont bons à adopter pour protéger les personnes les plus fragiles de son entourage.

Les précautions à prendre en cas de grand froid coeur- Les risques :

Sont considérés comme particulièrement vulnérables au froid les sans-abri, les nourrissons, les personnes âgées et les malades souffrant de pathologies chroniques cardiovasculaires et respiratoires ou de diabète.

Le grand froid demande des efforts supplémentaires à l’organisme, notamment au coeur, qui bat plus vite pour éviter que le corps ne se refroidisse. Il est donc recommandé de limiter les efforts, surtout pour les personnes âgées et les malades chroniques.

Le froid favorise les crises d’asthme, les angines de poitrine et le développement d’infections broncho-pulmonaires.

Il peut aussi provoquer des hypothermies – quand la température corporelle descend en-dessous de 35°C – et des gelures : exposées au froid, les extrémitées du corps peuvent devenir d’abord rouges et douloureuses, puis grises et indolores. Dans les cas les plus extrêmes, cela peut conduire à l’amputation.

Les enfants et les personnes âgées ne signalant pas toujours quand elles ont froid, aussi faut-il redoubler de vigilance les concernant.

Conseils à l’extérieur :

- Limiter les sorties si vous faites partie des personnes à risque, notamment le soir où il fait encore plus froid.

- Si vous devez vous déplacer, habillez-vous chaudement, en couvrant bien les parties du corps qui perdent de la chaleur : la tête, le cou, les mains et les pieds. Mettez plusieurs couches de vêtements, et terminez par un manteau coupe-vent et imperméable.

- Choisissez des chaussures qui adhèrent bien au sol, pour éviter les chutes sur un sol glissant. Ne restez pas trop longtemps immobile.

- Nourrissez-vous convenablement. Limitez votre consommation d’alcool, qui ne réchauffe pas contrairement aux idées reçues.

- Eviter les longs trajets en voiture. Si c’est impossible, munissez-vous d’eau, de nourriture, de couvertures, d’un téléphone chargé et renseignez-vous sur la météo avant de partir.

- Si vous devez emmener un enfant, ne le placez pas dans un porte-bébé, portez le dans vos bras ou choisissez une poussette pour que le bébé puisse remuer ses membres et se réchauffer.

• Conseils à la maison pour éviter les risques d’intoxication au monoxyde de carbone et d’incendie :

- S’assurer du bon fonctionnement et entretiens des ventilations et des appareils de chauffage.

- Ne pas faire surchauffer les poêles ou les chauffages d’appoint.

- N’obstruez pas les bouches d’aération et aérez quotidiennement votre domicile.

- Fermez les pièces inutilisées.

- Maintenez la température à environ 19°C.

- Installez les groupes électrogènes à l’extérieur des bâtiments.

(Le Figaro-01.12.2010.)

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**surveillez bien votre chaudière

Avec l’arrivée précoce de l’hiver, il est nécessaire de s’assurer du bon fonctionnement de sa chaudière, source potentielle de monoxyde de carbone. Ce gaz est responsable chaque année de 5.000 intoxications…en France.

Rester au chaud chez soi par ce grand froid, quoi de plus naturel? Et la tentation d’augmenter de quelques degrés la  température intérieure est grande. Mais attention. Les chaudières mal entretenues sont chaque année responsables de 5.000 intoxications au monoxyde de carbone (CO) en France, qui conduisent à une centaine de morts.

Le CO «est un gaz incolore, inodore, et mortel» rappelle l’Ademe. «Il est d’autant plus dangereux que sa présence passe inaperçue. Il provient de la combustion incomplète du charbon, du pétrole, du bois, du gaz naturel, du butane ou du propane, et aussi de la fumée de tabac. Sa présence dans un logement peut provenir d’un chauffe-eau non raccordé à un conduit d’évacuation des gaz brûlés ou d’appareils de chauffage en mauvais état ou mal entretenus.»

L’entretien annuel de sa chaudière, qu’elle soit individuelle ou collective, et quelque soit son mode de combustion, est obligatoire. Or un ménage sur deux ne le fait pas. «L’hiver, on a de plus tendance à calfeutrer les maisons, or il faut aérer le logement et surtout ne pas boucher les grilles de ventilation situées généralement dans les murs ou sur les fenêtres» explique Pierre Challut, président de Savelys, une entreprise d’entretien de chaudières.

Le monoxyde de carbone se substitue à l’oxygène transporté par le sang. Après une heure passée dans une atmosphère contenant 0,02% de CO, on commence à souffrir de maux de tête, puis surviennent vertiges, vision floue, fatigue, nausées, rappelle l’Ademe. Il faut alors très vite ouvrir les fenêtres, quitter la pièce et prévenir les secours.

Des chaudières mal entretenues sont de plus source de déperdition d’énergie. C’est pourquoi l’Ademe préconise de «réduire au maximum les besoins de chauffage du logement en veillant à la qualité d’isolation thermique du bâtiment et à son exposition.» (20Minutes-01.12.2010.)

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**La grippe s’installe très doucement

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«La grippe s’installe discrètement» en France métropolitaine, prévient le réseau des Grog (groupes régionaux d’observation de la grippe), mercredi dans son bulletin hebdomadaire. Le réseau invite ainsi les personnes à risque à ne «plus attendre pour se faire vacciner».

«Depuis la reprise de la surveillance, plus de 800 prélèvements Grog ont été analysés au laboratoire. Seulement 30 d’entre eux étaient positifs pour la grippe», indique le réseau. «Plus d’un tiers de ces cas ont été confirmés au cours des 15 derniers jours», précise-t-il. Les prélèvements ont permis de confirmer la présence de virus grippaux A(H3N2), A(H1N1) et B.

L’activité grippale reste néanmoins «faible», selon le réseau Sentinelles de l’Inserm. L’incidence des cas de syndromes grippaux vus par les médecins généralistes la semaine dernière en métropole a été estimée à 41 cas pour 100 000 habitants, nettement en-dessous du seuil épidémique (155 cas pour 100 000 habitants). -Ouest France-01.12.2010.

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*Se protéger du froid, c’est bon pour le coeur

Le cœur et les poumonsne sont pas les seuls organes cibles du froid. Les petits vaisseaux des mains, très sensibles, nécessitent aussi une protection. (Crédits photo: Thierry Zoccolan/AFP)
Le cœur et les poumonsne sont pas les seuls organes cibles du froid. Les petits vaisseaux des mains, très sensibles, nécessitent aussi une protection. 

La plupart des problèmes de santé dus aux frimas peuvent être prévenus.

coeur- Le froid a un impact sur la santé et notamment sur le risque cardiaque relativement mal connu. S’en protéger l’hiver, c’est aussi éviter de s’exposer à un certain nombre de complications. «On peut mourir de froid au sens propre, si l’on se retrouve dans des conditions extrêmes (sans abri, dans une avalanche, etc.). Mais comme marcher dans le froid est l’équivalent d’un effort violent pour le cœur, le risque d’infarctus augmente lorsque le thermomètre affiche des températures négatives. C’est encore pire lorsque le vent et l’humidité s’en mêlent, car ils décuplent les méfaits du froid. Et au-delà de 1500 mètres d’altitude, en montagne, la raréfaction de l’oxygène accroît les difficultés chez les cardiaques et les insuffisants respiratoires», met en garde le Dr Christophe Prudhomme, médecin urgentiste (Samu 93). Enfin, si par temps froid et sec, les asthmatiques risquent de faire une crise car leurs bronches se rétrécissent, c’est le risque infectieux qui l’emporte lorsqu’un temps froid humide -propice à la propagation des virus- se prolonge…

Le risque des engelures

Le cœur et les poumons ne sont pas les seuls organes cibles du froid. Nos petits vaisseaux peuvent aussi en être victimes. «C’est particulièrement vrai pour les 12% de Français qui souffrent d’une maladie de Raynaud (75% de femmes). Leurs capillaires de certains doigts se spasment aux changements brutaux de température. Donc, en passant d’un habitat douillet à l’extérieur, de blancs, ils deviennent violets par vasodilatation réflexe», remarque le Dr Jean-Pierre Laroche, président du Collège national professionnel de médecine vasculaire.

Neuf fois sur dix, il s’agit de la forme bénigne de la maladie (un trouble chronique de la circulation du sang dans les extrémités) et une meilleure protection des mains contre le froid, voire la prescription de médicaments vasodilatateurs, suffit à la corriger. «Mais une fois sur dix, notamment lorsque l’apparition des signes est tardive -après 40 ans-, il peut s’agir d’une affection chronique comme la sclérodermie, c’est-à-dire une maladie généralisée révélée à cette occasion, d’où l’importance de consulter.»

Autre risque: les engelures. Elles se produisent par temps froid et humide, surtout chez les femmes minces avec une maladie de Raynaud. Elles siègent au niveau des extrémités. «Sur le moment, on ne se rend compte de rien, mais de retour au chaud, douleur, brûlure, boursouflure, picotements et démangeaisons apparaissent. C’est très impressionnant, d’autant que les oreilles ou le nez peuvent également être atteints, tout comme les mains ou les pieds. Mais cela finit toujours par régresser complètement en quelques semaines», rassure le Dr Laroche.

Ce n’est pas le cas des gelures où la circulation est totalement bloquée, d’où une atteinte parfois profonde et irréversible des tissus. Cet accident, heureusement rarissime, frappe surtout les malheureux alpinistes ou skieurs coincés dans la neige pendant de longues heures…

La bonne nouvelle, c’est que la plupart de ces problèmes de santé peuvent être prévenus. Pour cela, nous ferions bien de prendre exemple sur les Russes ou les Canadiens, habitués aux hivers rigoureux. «Là-bas, il ne viendrait à l’idée de personne d’affronter le froid sans une bonne paire de chaussures avec des semelles épaisses (donc isolantes), deux paires de chaussettes, deux paires de gants (en soie et en laine), un chapeau couvrant parfaitement les oreilles et une écharpe autour du cou. Il faut donc verrouiller toutes les portes d’entrée du froid, c’est le seul moyen d’éviter la déperdition thermique. Mais en France, avec nos préoccupations avant tout esthétiques, nous avons vraiment tout faux», insiste le Dr Laroche.

Autre erreur fréquente à éviter: boire de l’alcool en se disant que cela va nous réchauffer. «L’alcool diminue la vigilance et empêche de ressentir les prémices du froid et donc de se défendre. En cas d’endormissement à l’extérieur, l’issue peut être fatale», prévient le Dr Prudhomme. Rester au domicile en attendant des jours meilleurs est bien sûr la solution la plus sage, notamment pour les personnes fragiles. Cependant, même chez soi, le froid peut avoir des effets pervers indirects.

Déjà, plus il fait froid dehors et moins on a le réflexe d’aérer. La concentration en germes augmente donc dans les foyers. Comme un air trop chaud dessèche les muqueuses respiratoires qui n’arrivent plus à se défendre, le risque infectieux devient maximal.

«Pour bien faire, il faut régulièrement s’hydrater et aérer, martèle le Dr Prudhomme. Ouvrir les fenêtres, ne pas boucher les aérations, bien faire entretenir sa chaudière et investir dans un détecteur de fumée et de monoxyde de carbone (20 à 30 €), c’est enfin très important pour ne pas être victime, comme 5000 Français, d’une intoxication à ce gaz. Inodore et incolore, il est produit par une chaudière défectueuse et tue encore chaque année environ 90 personnes.» Des décès tous évitables. (Le Figaro-20.12.2010.) 

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Les bienfaits du froid

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Engoncés dans nos manteaux, prêts à dégainer bonnets et écharpes, nous fuyons le froid. Or, ses vertus sont multiples quand on sait comment l’accueillir.

 Le froid nous veut du bien », assure Solenn, qui affronte les basses températures uniquement vêtue d’un léger blouson de toile. Difficile à croire pour ceux qui ont traversé l’enfance bercés par les « Couvre-toi, tu vas tomber malade ». Comme si le froid représentait un risque à ne jamais prendre. À force de l’avoir entendu de nos parents et de l’avoir répété à nos enfants – « les éloignant de leur ressenti instinctif », déplore Anne-Marie Filliozat, psychanalyste,psychosomaticienne et auteure, avec Gérard Guasch d’Aide-toi, ton corps t’aidera (Albin Michel, 2006) –, cette mise en garde a fini par nous convaincre de notre incapacité à nous adapter aux variations de température. Et d’ajouter : « Les mots, les croyances, la représentation mentale agissent sur le corps. Cela fait de nous des frileux au sens global du terme. » Il suffit de s’observer en hiver : cou enfoncé, tête baissée, corps contracté… Une posture qui amplifie la sensation de froid.

« Le froid provoque une vasoconstriction – le diamètre des vaisseaux diminue – suivie d’un effet réactionnel de vasodilatation – les vaisseaux se dilatent – avec une augmentation du débit sanguin. Résultats : la microcirculation est stimulée, les cellules sont correctement nourries et drainées, ce qui permet aux organes d’être bien alimentés, explique le docteur Philippe Blanchemaison, angiologue et phlébologue, adepte de la nage en hiver. En agissant sur la circulation, le froid prévient, par exemple, l’apparition de varices et freine la chute des cheveux. » Il libère aussi des endorphines – d’où une diminution de la douleur, du stress, et un sentiment euphorique – et augmente les lymphocytes, cellules de l’immunité. « Il a été démontré qu’une exposition répétée au froid stimule nos défenses, améliore la qualité du sommeil et de l’humeur », confirme Christophe Hausswirth, chercheur à l’Institut national du sport, de l’expertise et de la performance (Insep). La thérapie par le froid, ou cryothérapie, intéresse de plus en plus la médecine. La dernière variante est la cryothérapie corps entier (CCE). Cette technique, consistant à exposer un patient à des températures comprises entre – 110 °C et – 140 °C pendant trois minutes, permet de soulager les douleurs corporelles, en agissant comme un stimulateur psychique. Le froid peut être notre allié, si nous le décidons. « Ce prérequis est essentiel pour préparer notre organisme à réagir positivement », précise Anne-Marie Filliozat, qui conseille d’opérer progressivement, la modification chaud-froid trop brutale pouvant provoquer un stress majeur. Une inquiétude que tempère Philippe Blanchemaison : « Le corps a suffisamment de garde-fous. » Stimulateur du métabolisme, le froid régénère le corps et l’esprit.

Trois méthodes pour en faire notre allié

La nage en eau froide

Brooklyn, Biarritz, Saint-Malo… Traditionnellement, sur ces bords de mer, des hommes et des femmes nagent en eau froide, sans combinaison. Cette pratique permet au corps de générer sa propre énergie calorifique pour éliminer les éléments perturbateurs : mauvaises graisses et mauvaise humeur. C’est un sentiment de puissance énergétique extraordinaire. L’eau pénètre par tous les pores de la peau et provoque un lavage complet des sinus. Elle purifie. « L’immersion dans l’eau froide, c’est un peu comme les fonts baptismaux de l’âme », résume Patrick, un adepte marseillais.

En pratique : imaginer la chaude mer des Caraïbes, rentrer dans l’eau en soufflant lentement et nager en suivant le rythme de l’ondulation des vagues. Le froid est saisissant mais, petit à petit, la thermorégulation agit, le corps s’habitue. À la sortie de l’eau, il est important de laisser le corps trembler. Ce réflexe normal, incontrôlable, fait affluer le sang aux extrémités grâce aux contractions musculaires. Une étape indispensable, car sous l’action du froid, l’organisme se défend en centralisant la chaleur autour des organes nobles (cœur, cerveau). Tous les adeptes le disent : la pratique de la nage en eau froide crée une dépendance. L’expérimenter rend accro au défi , au dépassement de soi, au bien-être et à l’harmonie intérieure qui en résultent.

Le bain dérivatif

Cette technique permet de faire baisser la température interne du corps. Elle est connue depuis des milliers d’années en Chine, pratiquée depuis toujours en Nouvelle-Guinée. Elle est mentionnée dans le Coran et la Torah (ablutions plusieurs fois par jour). En pratique : le bain dérivatif consiste à refroidir tous les jours le périnée à l’aide d’une compresse froide et non humide, au moins deux heures par jour. Le reste du corps est couvert. « Le choc thermique entraîne des contractions du système fascias-intestins (les fascias sont les tissus qui enveloppent les muscles et les organes), qui peut ainsi vibrer, faire travailler les graisses chargées de déchets et les expulser par les voies naturelles », explique France Guillain, auteure du Bain dérivatif ou D-Coolinway (Éditions du Rocher, 2009), qui pratique cette discipline depuis vingt-cinq ans. Tout en aidant au nettoyage interne, le bain dérivatif dynamise l’ensemble des fonctions de l’organisme et, associé à une alimentation saine, facilite le remodelage du corps. « Il favorise la perte de volume, mais pas nécessairement celle du poids », précise-t-elle.

Le yoga toumo

Le toumo, qui consiste à supporter le froid en majorant sa chaleur interne, se pratique depuis des siècles dans les monastères tibétains. S’initier à ce yoga du froid exige de dépasser ses peurs les plus profondes, d’être déterminé et, surtout, préparé. Le grand spécialiste européen de cette discipline est Maurice Daubard, yogi toumo depuis 1956, connu notamment pour être resté en position du lotus pendant une heure dix, par – 20 °C, dans le cadre d’un exercice scientifique en Laponie. Il avait 77 ans ! Cet Auvergnat, qui aime repousser ses limites, a prouvé plus d’une fois la force du mental sur le corps. « En maîtrisant sa thermorégulation, on devient maître de sa vie », souligne-t-il. Son enseignement d’inspiration tibétaine est rigoureusement encadré.

En pratique : des techniques basées sur la relaxation, la respiration et la visualisation d’un soleil rouge rayonnant au niveau du plexus solaire permettent d’irradier toutes les parties du corps jusqu’aux extrémités refroidies : la circulation sanguine s’améliore et provoque le réchauffement. Cette méditation, basée sur des exercices de Maurice Daubard, peut être pratiquée notamment lors de stages d’hiver en montagne* : yoga immobile, nage en eau froide et footing pieds nus. Le tout en maillot de bain ! Cet octogénaire est la preuve vivante que le froid conserve. Pour lui, la finalité du toumo est « l’exaltation qu’il procure ». *Psychologie.com- février 2012.

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3 réponses à “Les précautions à prendre en cas de grand froid”

  1. 6 12 2012
    Claire TUR (21:47:11) :

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