Des lèvres pour la fête
**Des lèvres attirantes pour les fêtes: comment faire?
Vous n’avez jamais osé ou vous ne savez pas comment faire? La période des fêtes est le moment idéal pour oser la bouche rouge vif.
C’est la tendance incontournable de la fin d’année. Elle donne immédiatement un look sexy et féminin à l’extrême. Les hommes ne pourront pas détourner leur regard de vos lèvres si attirantes et vous prendrez de l’assurance. On le rappelle, si on s’autorise un rouge vif sur les lèvres, on y va mollo sur les yeux.
Le web regorge de vidéos de bloggeuses inventives et pédagogues et de maquilleurs pros. Nous avons sélectionné les trois plus chouettes pour vous. Vous n’avez plus qu’à suivre leurs conseils.
Retrouvez également les rouges à lèvres et les gloss du moment ici.
1. On hydrate
JolieMinute rappelle, à raison, que les lèvres doivent être bien hydratées. Un rouge vif qui pèle à cause des petites peaux irritées, c’est vilain. On met l’accent sur ses lèvres parce qu’elles sont jolies et douces, pas gercées et abîmées. Donc on hydrate, on hydrate, on hydrate: il n’y a pas de secret…
2. On prépare
On pose ensuite une touche de son fond de teint habituel sur les lèvres. Il permettra une meilleure tenue de la couleur.
vidéo: JolieMinute : La bouche rouge
3. On crayonne
On dessine ensuite le contour des lèvres avec un crayon de la même teinte que le rouge choisi. Ca va éviter à la couleur de filer. La lèvre supérieure d’abord, celle d’en-dessous ensuite. On hachure enfin l’intérieur des lèvres avec ce même crayon. Vient ensuite le rouge à lèvres proprement dit.
4. On pose la couleur (au pinceau, c’est mieux)
Jessica Rabiant, maquilleuse chez Sisley et interrogée par le Elle français, conseille d’utiliser un pinceau pour appliquer les couleurs intenses. Ca permet de bien dessiner le contour, puisqu’on doit repasser délicatement sur le crayon. Le geste est plus précis qu’avec un bâton. On insiste sur le centre des lèvres et on met moins de couleur sur les extrémités.
5. On enlève le surplus
On enlève le surplus de couleur avec un mouchoir en papier. Chez Bourjois (voir vidéo ci-dessous), on zappe l’étape crayon mais pas celle du mouchoir. On peut poudrer légèrement ensuite pour une meilleure tenue. Vous voilà prête à sourire à la nouvelle année! *7s7–06.12.2012.
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5 minutes pour se faire une bouche néon
Avec leur couleur pop, les bouches des tops models ont attiré tous les regards lors des défilés printemps-été 2013. Agrume, carmin, framboise… Il ne nous reste plus qu’à choisir la teinte idéale pour booster notre look. Anne Guilmard, make up artist chez Bourjois livre ses astuces pour adopter les lèvres néon sans fausse note.
*Pourquoi adopter les lèvres néon ?
Après la vague » lie de vin » qui a habillé nos lèvres cet hiver, le printemps laisse place à des teintes plus vives. On opte pour un orange survitaminé chez Missoni, un vermeil pétillant chez Jean Paul Gaultier ou un rose électrique chez Giles, le tout porté sur un teint nude. Mais avant de piocher dans la large gamme des couleurs néon, il est essentiel de bien définir la teinte qui nous conviendra le mieux. Anne Guilmard, make up artist chez Bourjoisnous explique :
« Si le style vestimentaire est important dans le choix de la teinte, il est primordiale de choisir une couleur qui conviendra à la forme de notre bouche. Si nos lèvres sont fines, il faut miser sur des teintes plus claires et brillantes, afin de donner du volume. Pour les plus pulpeuses, on éradique l’effet de brillance pour un aspect velours ou mat. Ce genre de lèvres peut donc miser sur des couleurs très fortes. Si les filles aux lèvres fines veulent également tester ce genre de teinte, elles devront choisir un lipstick à la texture velours en accentuant le volume des lèvres avec un crayon et un gloss. »
Première étape des lèvres néon : la base
» Pour soigner les gerçures, on applique un baume hydratant sur les lèvres le soir au coucher et avant chaque application du rouge à lèvres. Il existe aussi des lipsticks qui possèdent une formule hydratante. Un rouge à lèvres déposé sur une bouche abîmée n’est vraiment pas esthétique. »
Deuxième étape des lèvres néon : le rouge à lèvres
» On commence par la lèvre supérieure en appliquant la matière du coin externe de la bouche jusqu’au coeur. Même technique pour l’autre côté ainsi que sur la lèvre inférieure. Pour un fini parfait, on pense à marquer des temps de pause lorsque l’on change de côté. Il est déconseillé d’appliquer son rouge à lèvre d’un seul trait. J’aime cette méthode car en partant du bas vers le haut, on obtiendra une bouche plus arrondie. Pour un rouge à lèvres carmin, on dépose la matière au pinceau pour plus de précision. On peut aussi déposer la texture au raisin ou directement au doigt, pour un effet bouche mordue ».
Troisième étape des lèvres néon : le surplus
« Après l’application, on dépose un mouchoir entre notre lèvres et on pince. Cette technique sert à atténuer la première couche et à retirer les petites imperfections réalisées durant l’application. »
Quatrième étape des lèvres néon : la fixation
« Pour que notre rouge tienne toute la journée, on reprend un autre mouchoir sur lequel on vient saupoudrer un peu de poudre. On le place entre nos lèvres, on pince, puis on rajoute une couche de rouge à lèvres pour apporter de l’intensité à la couleur. La poudre va venir fixer la matière et apporter à nos lèvres un effet velours. » **grazia.fr-22 mars 2013
Shopping beauté : le rouge à lèvres hydratant de Mavala
Outre sa couleur lumineuse, le rouge à lèvres Mavala est enrichi en beurre de karité et aloe vera pour une hydratation maximale.
Rouge à lèvres, 577 Cherry Blossom, Mavala, 14,65 €
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*Se faire belle, à quoi ça sert ?
Le temps d’une fête ou tous les jours, version sexy ou version nature, il y a dans cette quête d’un soi transcendé, des désirs plus ou moins avouables et plus ou moins conscients. Petit voyage sous les paillettes et les fards.
« J’ai mis de l’or dans mes cheveux / Un peu plus de noir sur mes yeux… », chantait Dalida dans Il venait d’avoir 18 ans, une de ces chansons populaires qui recèlent toujours une pépite de vérité brute. Nous en avons toutes fait l’expérience, pour une soirée en famille, entre amis ou avec son amoureux, se faire belle, c’est surtout adopter la règle du « un peu plus ». Un peu plus de temps devant son miroir, un peu plus de maquillage, un peu plus de peau dévoilée, un peu plus d’audace ou d’exigence… Un peu plus que l’ordinaire, en tout cas.
Se faire belle, c’est aussi, pour certaines, une éthique et une esthétique à vivre au quotidien. Jamais de visage nu ni de look négligé, l’apparence doit être chaque jour à son zénith… Donner à voir le meilleur de soi, le temps d’une soirée ou tous les jours, n’est pas anodin. Les arguments désinvoltes masquent la plupart du temps une réalité complexe. Faites-en l’expérience, posez la question autour de vous : « Pour toi, à quoi ça sert de t’apprêter ? » Et si l’on vous répond : « Ça sert à me plaire ! » ne croyez votre interlocutrice qu’à moitié. « En vérité, on ne le fait jamais pour soi, c’est une illusion et une idée reçue, affirme Isabel Korolitski, psychanalyste. Quand on se fait belle, ou beau d’ailleurs, c’est toujours pour l’autre, pour le rencontrer. Dans la réalité ou le fantasme. Au moment où l’on se maquille et où l’on s’habille, même si on ne va voir personne, on le fait à partir de critères esthétiques définis par l’autre. Cet autre qui peut être sa mère, son homme, une amie, ou encore la mode du moment… »
Conquérir et se protéger
Dans le désir de donner à voir le meilleur de soi, que ce soit le plus sexy, le plus élégant, le plus féminin ou le plus enfantin, l’autre est donc toujours présent. Un autre dont on veut capter le regard pour se sentir exister de manière plus intense. « C’est une forme de recherche de reconnaissance », précise Isabel Korolitski. Sonia, 33 ans, vit avec Mathieu depuis quatre ans, elle en est très amoureuse et lui est fidèle. « Mais quand je vais à une fête avec lui, je veux que l’on me voie, je veux que Mathieu voie les hommes me regarder, qu’il lise le désir dans leur regard. Quand je mets mes talons et ma robe fourreau noire, je me pense invincible, je sens l’énergie qui monte en moi quand je me prépare, c’est comme si je buvais un alcool fort, une excitation qui me fait tourner la tête. Ça me met dans un état second, un état très sexuel. »
Faire converger les regards vers soi, incarner une femme que l’on ne s’autorise à être que le temps d’une fête, cela rappelle la vocation première du carnaval, de la mascarade, dont est issu le mot « maquillage ». Pour J.-D. Nasio, psychanalyste, « c’est effectivement être dans un désir de conquête de l’autre, de l’homme. Ce désir d’être la reine de celui que l’on aime, mais aussi la reine de la soirée, est le propre de la féminité. C’est prouver que l’on sait se montrer et se cacher en même temps : “Je te montre que je veux ton désir, mais je ne te dis pas que je te désire”, ce double message qui est l’essence même de la séduction féminine. »
Mais si prendre grand soin de son apparence traduit le désir d’être désirée, cela peut aussi signifier : tenez-vous loin de moi, n’entrez pas dans mon intimité. « Se faire belle permet d’aider à mettre une distance entre soi et les autres quand on veut mettre ses propres émotions à distance, confirme Isabel Korolitski. Ce peut être aussi une façon de mettre un masque. » Aude, 41 ans, dirige un service juridique – « un milieu d’hommes » – dans une grande société. « Me faire jolie tous les matins m’aide à me sentir à la fois féminine et forte, dans la mesure où mon apparence “parfaite” ne montre que ce que je veux dire de moi. Derrière mon image impeccable, il y a parfois une personne qui n’est pas toujours au mieux de sa forme, mais ça, ça ne regarde que moi, c’est archiprivé ! »
Se faire du bien et s’affirmer
Lorsque l’opération « se faire belle » est une réussite, nous ressentons un bien-être physique qui « contamine » très vite le moral. « Quand mon copain m’a quittée l’année dernière, seuls mes proches ont vu que ça n’allait pas, confie Marion, 34 ans. Sinon, je mettais mes jolies robes, mes ballerines, comme si de rien n’était. Dans un premier temps, c’était par orgueil, et puis je me suis rendu compte que cette légèreté que j’affichais, je la ressentais de plus en plus ! »
Jamais un mascara ne fera office de baguette magique, mais se faire belle quand le quotidien est pesant peut réveiller la vitalité. « Il y a des moments de vie où investir une partie de son énergie à embellir son apparence peut vraiment changer la perception de la réalité, explique Isabel Korolitski. Cela permet d’avancer “malgré”, et, chemin faisant, on se rend compte que la vie est là et notre désir aussi. Les vêtements et le maquillage nous permettent également, malgré les soucis, la tristesse, de ne pas peser sur les autres. C’est une forme de respect de soi et de souci de son entourage. » Après chacune de ses séances de chimiothérapie, Annabelle, 45 ans, s’achetait un nouveau vêtement. « Un truc sublime que je mettais le lendemain. C’était mon défi à la maladie. Je me disais : “Je mourrai peut-être, mais je mourrai en beauté !” C’était ça ma dignité. Mon fils m’a dit plus tard que lorsqu’il me voyait me mettre mon rouge à lèvres, il avait l’impression que rien ne pourrait m’arriver ! »
C’est en se faisant belle un soir que la vie de Samira, 32 ans, a changé. « Il y a quatre ans, j’étais la petite souris grise, pas de maquillage, les cheveux tirés, look banal. Il faut dire que je travaille à la Sécu, ce n’est pas spécialement “mode” comme milieu ! Et puis il y a eu une fête dans notre service, un pot de départ, et là, je ne sais pas pourquoi, j’ai mis le paquet. Je me suis maquillée à l’orientale, les yeux très noirs, j’ai mis des boucles d’oreilles marocaines en argent, très longues, et j’ai lâché mes cheveux. Les collègues ne me reconnaissaient pas, j’ai eu plein de compliments, je me sentais belle comme jamais. J’ai aussi vu la tête d’un chef dont on m’avait dit qu’il était raciste, il devait me trouver “trop arabe” à son goût ! C’est ce soir-là que j’ai compris que si je ne me faisais pas belle, c’est que je n’avais pas encore eu le courage d’assumer d’être une Française d’origine marocaine. Maintenant, je me maquille et m’apprête tous les jours, c’est comme ça que je m’affirme et que je me sens enfin moi. »
Se faire belle, à quoi ça sert ? C’est une question sans fond, appelant mille réponses, qui changent suivant l’histoire, l’héritage ou l’humeur de chacun. Ninon, 36 ans, féministe revendiquée, a répondu d’un jet : « Ça sert à aliéner les femmes, c’est de l’esclavage ! » Et puis, le lendemain, elle a soutenu la position contraire. « En fait, ça peut servir à exactement l’inverse : à jouer avec sa féminité. Et quand il y a du jeu, il y a forcément de la liberté ! » Et si c’était le mot de la fin ?
Je ne me fais jamais belle, pourquoi ?
Il y a celles qui se font un plaisir, quotidien ou occasionnel, de sublimer leur apparence. Et celles qu’il faudrait payer pour se prêter à ces petits jeux narcissiques. Plusieurs raisons peuvent, selon la psychanalyste Isabel Korolitski, expliquer ce refus.
Un héritage maternel marqué par la dévalorisation du féminin et du sexuel. Vêtements seyants et maquillage sont assimilés à des « pièges à hommes », et constituent donc une insulte à l’intelligence et à la dignité de la femme. Un désir d’être aimée pour ce que l’on est, comme l’est l’enfant par sa mère. Etre aimée « au naturel » est vécu comme étant une preuve d’amour, un amour vrai. Un besoin de dire que l’on n’appartient qu’à soi. Les femmes qui, dans leur enfance, ont été traitées comme des petites poupées par leurs mères, souvent elles-mêmes hyperféminines et soignées, rejettent fréquemment les codes et rites de la séduction féminine.*source: psychologies.com-Décembre 2007
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LA BEAUTE D’UNE FEMME……
Pour avoir des lèvres attirantes,
Prononcez des paroles de bonté…
Pour avoir de beaux yeux,
Regardez ce que les gens ont de beau en eux…
Pour rester mince,
Partagez vos repas avec ceux qui ont faim…
Pour avoir de beaux cheveux,
Faites qu’un enfant y passe sa main chaque jour…
Pour avoir un beau maintien,
Marchez en sachant que vous n’êtes jamais seule…
Vous le faites pour les choses,
Mais les gens en ont eux aussi besoin :
Réparez les, bichonnez-les,
Redonnez leur la vie,
Sauvez les; ne les jetez jamais…
La beauté d’une femme n’est pas dans les vêtements qu’elle porte,
Son visage ou sa façon d’arranger ses cheveux…
La beauté d’une femme doit être vue au fond de ses yeux,
Car c’est la porte de son coeur, l’endroit ou réside l’amour…
La beauté d’une femme n’est pas dans le moule d’un visage
Mais dans la vraie beauté de son âme…
C’est la compassion qu’elle offre avec amour,
C’est la tendresse qu’elle donne,
L’amour, la passion qu’elle exprime,
Car c’est la porte ouverte sur son coeur,
La source de son amour…
En vieillissant, vous vous rendrez compte que vous avez deux mains…
L’une pour vous aider vous-même,
L’autre pour aider ceux qui en ont besoin…
Et la vraie beauté d’une femme, avec les années, grandit…
PENSEZ-Y :
Si un jour vous avez besoin d’une main secourable,
Vous en trouverez une à chaque bout de vos bras…
VOUS !!!
**source: jecontacte.com-À propos de wanita
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