Endroits mystérieux que vous ne pourrez jamais visiter
**Certains lieux dans le monde restent interdits aux touristes.
Vous pouvez uniquement les découvrir sur des photos et des vidéos
*L’ile de Niihau vue de haut
1. L’île de Niihau
Il s’agit d’une île privée de 180 km². Depuis 1864, elle appartient à la famille Robinson. Elle contrôle son accès dans le but de protéger la culture hawaïenne. L’île ne compte que 160 habitants. Les coquillages à la forme suggestive de larve y sont très prisés.
**La vidéo: île de Niihau–Hawaï
**Les minuscules trésors de Niihau
CHAQUE hiver, des vagues de tempête s’écrasent sur les côtes de l’ île interdite ”, Niihau, dans l’archipel d’Hawaii. Elles précipitent vers le rivage des milliers de minuscules coquillages vides, qu’elles finissent par rejeter sur certaines plages. L’île volcanique de Niihau, avec seulement 180 kilomètres carrés, est la plus petite des sept îles hawaïennes habitées… à la mesure de ses délicats coquillages, qui figurent parmi les trésors les plus petits de la planète.
Contrairement à sa voisine la plus proche, Kauai, à 27 kilomètres au nord-est, l’île de Niihau est en grande partie plate et aride. Mais pourquoi la qualifie-t-on d’“ interdite ” ? Parce qu’elle est privée, fermée à quiconque n’a pas été invité. Ses habitants vivent en autarcie ; ils n’ont ni électricité, ni eau courante, ni magasins, ni bureau de poste. Afin de préserver leur culture traditionnelle, les quelque 230 autochtones parlent hawaïen entre eux. Lorsqu’ils ne s’occupent pas de leurs moutons ou de leurs bovins, la plupart exploitent leur “ mine d’or ” : les coquillages*.
Durant les mois doux de l’hiver hawaïen, les familles descendent à pied ou à vélo des routes poussiéreuses menant à des plages à la beauté virginale et à des criques rocheuses, où elles passent de longues journées à ramasser leur “ or ”. Une fois collectés, les coquillages sont mis à sécher à l’ombre. Ils sont ensuite triés, classés et assemblés en de ravissants colliers appelés leis. Sur les îles plus verdoyantes, la plupart des leis sont faits de fleurs. À Niihau, les “ fleurs ” sont des coquillages.
Des joyaux de la mer
À Hawaii, on se sert depuis longtemps des coquillages comme de bijoux. À la fin du XVIIIe siècle, des navigateurs, dont le capitaine James Cook, ont remarqué ces ornements et en ont fait mention dans leurs carnets. Ils en ont rapporté quelques-uns de leurs voyages, certains provenant peut-être de Niihau. Avec le temps, les charmants leis de l’île sont apparus au cou d’Hawaïennes célèbres, notamment des danseuses et même des membres de la famille royale. Au XXe siècle, grâce aux boutiques de souvenirs, au tourisme et au passage des soldats lors de la Seconde Guerre mondiale, ces joyaux incomparables ont conquis un marché plus vaste. Aujourd’hui, les gracieux colliers qui paraient jadis la noblesse hawaïenne sont admirés et portés aux quatre coins du monde.
Les coquillages les plus employés pour les leis sont les momis, les laikis et leskahelelanis. La variété de leurs couleurs et de leurs formes stimule l’imagination de ceux — ou, le plus souvent, de celles — qui les agencent avec minutie pour produire de véritables œuvres d’art. Il existe une vingtaine demomis nacrés ovales, allant du blanc éclatant au brun foncé. Petits (seulement dix millimètres de long) et irisés, les momis sont utilisés pour former le Lei Pikake, un lei très prisé qu’on croirait fait de brins de jasmin blanc odorant, lepikake.
Ressemblant à des grains de riz, des laikis chatoyants montés sur plusieurs rangs constituent la parure traditionnelle de la mariée hawaïenne. Ces coquillages ont des teintes variant du blanc pur au beige-jaune en passant par l’ivoire, et ils sont parfois striés de marron. Les kahelelanis, qui doivent vraisemblablement leur nom à un ancien chef hawaïen, ne mesurent que cinq millimètres de long. En forme de turban, ils sont les plus difficiles à enfiler, et les colliers qui en sont faits comptent parmi les plus onéreux. Leurs nuances vont d’un bordeaux profond à un rose vif qui, du fait de sa rareté, vaut trois fois plus cher que les autres couleurs.
La fabrication d’un lei
Lorsqu’elle a choisi un modèle, la fabricante de leis débarrasse les coquillages du sable et les perce à l’aide d’un poinçon très fin. Malgré son habileté et sa délicatesse, elle en casse un sur trois. Il lui en faut donc une bonne réserve pour réaliser un seul lei, qui peut demander des années d’efforts ! Elle utilise comme support un fil de nylon rigidifié avec un ciment à séchage rapide ou avec de la cire d’abeille. En principe, un petit coquillage en forme de bouton, par exemple un cadran ou un puka, termine le rang à chaque extrémité, et un ou deux cauris (ou porcelaines) sont ajoutés au point de jonction.
Il existe presque autant de façons de confectionner un lei que de types de coquillages. On obtient ainsi le classique collier à un rang de momis blancs, d’une longueur de 150 à 190 centimètres ; celui fait de centaines dekahelelanis ; ou celui en guirlande à motifs géométriques, pouvant mêler coquillages et graines. La fabrication du lei est un travail méticuleux, long et éprouvant pour les yeux. Mais les artistes de Niihau, imaginatives et patientes, inventent régulièrement des modèles très élaborés d’une rare beauté. Chaquelei est unique. Certains valant des milliers d’euros, on comprend aisément qu’ils rivalisent avec des pierres précieuses et des pièces de joaillerie antiques.
Certes, Niihau est plutôt aride, peu habitée et isolée dans l’archipel hawaïen. Pourtant, grâce à la créativité et au talent remarquables des fabricantes de leis, c’est bien au-delà de ses côtes ensoleillées que l’on peut apprécier la beauté des trésors de l’ île interdite ”.*source: wol.jw.org/fr
[Note]
On trouve les mêmes types de coquillages sur d’autres îles de l’archipel et ailleurs dans le Pacifique, mais leur nombre et leur qualité varient selon l’endroit.
Une fois séchés, les coquillages sont triés, classés et assemblés en de ravissants colliers.
*Niihau est une île de l’archipel hawaïen. Elle se trouve au sud-ouest de l’île de Kauai. Elle est l’une des plus rares îles au monde ayant encore le mérite d’avoir conservé sa biodiversité et sa richesse naturelle. La végétation de l’île est tout à fait luxuriante. Empreinte d’une beauté à la fois sauvage et envoûtante, l’île Niihau est l’idéale pour passer des moments de sérénité et de tranquillité. L’île compte près de 200 habitants qui utilisent leur langue maternelle, la langue hawaïenne. Ils conservent encore leurs rites et coutumes ancestraux, qui ajoutent ainsi un charme inégalable à l’île.L’île Niihau est une île privée. Le roi Kamehameha l’avait acheté en 1864. C’est pour cette raison que l’île est surnommée the Forbidden Isle ou « l’île interdite ». Il est tout à fait impossible de s’aventurer sur l’île sans le consentement des propriétaires. À cet effet, il faut se faire inviter par un résident ou encore prendre part à une excursion spécialement organisée pour les touristes afin de pouvoir aller à l’île de Niihau. Afin de se rendre sur l’île, il faut prendre un hélicoptère. À bord de l’hélicoptère, vous pouvez déjà admirer la beauté exceptionnelle du paysage qu’offre le canal de Kaulakahi longeant le trajet de Kauai à Niihau.Pour découvrir l’île Niihau, les propriétaires organisent un tour en hélicoptère pour les touristes qui désirent aller à sa rencontre. Une visite de demi-journée est alors spécialement aménagée pour les touristes afin de leur offrir un voyage de découverte exceptionnelle. La visite comprend un trajet aller et retour en hélicoptère ainsi que quelques moments de détente sur l’une des magnifiques plages de l’île. Durant le vol, le pilote vous racontera exclusivement l’histoire de l’île. Selon les conditions du vent, l’hélicoptère atterrira sur une plage isolée de l’île. Il est alors possible de profiter de cette occasion pour faire une baignade, une plongée en apnée, un bain de soleil ou tout simplement observer les phoques moines et les dauphins. Il ne faut pas oublier de prendre ou acheter les fameuses billes de verre de l’île. Elles sont considérées comme des pierres précieuses sur l’île et puis il n’en existe pas ailleurs. En guise de souvenir, n’oubliez pas d’acheter un beau collier de coquillage qui fait la particularité de Niihau.*/tourismehawaii.com
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2. L’île de Poveglia
L’île de Poveglia est une île située dans la lagune de Venise, près de Malamocco. Elle fut utilisée jadis comme lieu de sépulture des victimes de la peste (on parle de 160.000 personnes enterrées là-bas). En 1922, un hôpital psychiatrique fut bâti sur l’île. On parle d’esprits tourmentés et de phénomènes étranges sur cette île mystérieuse. Malgré sa beauté naturelle, certains pensent toujours que l »île de Poveglia est maudite. Son accès est interdit.
**La vidéo: L’île de Poveglia
**L’île de Poveglia est une île située dans la lagune de Venise près de Malamocco, partie méridionale de l’île du Lido, cordon littoral qui sépare la lagune de Venise de l’Adriatique. Depuis l’époque romaine, puis au Moyen Age et à la Renaissance, l’île fut utilisée comme lieu de sépulture des victimes de la peste. On parle de 160 000 personnes enterrées là.« En 1922, un hôpital psychiatrique fut bâti sur l’île. Il y avait des rumeurs persistantes à l’effet que des patients, après leur arrivée, voyaient des esprits tourmentés, victimes de la peste. Le médecin résidant investigua ces phénomènes en conduisant des lobotomies et des expériences médicales. D’après des témoignages, celui-ci aurait été victime des mêmes phénomènes et se suicida en se jetant du clocher de l’hôpital. Après ces incidents, l’hôpital fut abandonné et demeure inhabité depuis.
île hantée du nom de Poveglia regorge d’histoires sordides.
L’île Poveglia, située dans la lagune de Venise en Italie, n’est pas aussi idyllique qu’elle le paraît. Des phénomènes étranges y sont constatés depuis des décennies, a annoncé Oddity Central. Elle n’a plus de propriétaires et son accès est interdit Les visites sont autorisées seulement durant la saison des vendanges.
Une île au passé sordide.
Des histoires macabres planent sur cette petite île mystérieuse, dont même les pêcheurs n’osent pas s’approcher par peur de découvrir des ossements humains dans leurs filets. Le lieu mystique détient cette réputation depuis l’époque de l’Empire romain où les victimes de la peste y étaient isolées. Puis, au XIVe siècle, elle a eu la même fonction à l’arrivée de la peste noire, l’une des pandémies les plus dévastatrices de l’histoire. Au cours de cette période, 160 000 personnes y auraient été brûlées vives après avoir été jetées dans des fossés creusés sur cette île de la terreur. La panique créée par cette maladie a été telle qu’il suffisait de montrer une petite défaillance physique pour être envoyé là-bas.
Des phénomènes paranormaux récurrents.
Après avoir été vendue dans les années 60 par l’État italien à un acheteur privé, de nombreux propriétaires se sont succédé, tous ne voulant pas garder l’île plus de quelque jours. Ils auraient raconté que des phénomènes étranges et inexplicables s’y passaient. Cela s’expliquerait par la fondation d’un hôpital psychiatrique sur ces terres en 1922. Dès leur installation, les patients se plaignaient de voir les fantômes tourmentés des victimes de la peste. Personne n’a cru à leur histoire, et leur médecin, devenu fou, a ensuite procédé à des lobotomies et des expériences médicales sur eux. Les téméraires qui ont osé s’aventurer sur l’île depuis disent y entendre des gémissants et des cris étranges. *source: .maisonhantee.net
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3. Le Sanctuaire d’Ise
C’est le lieu le plus secret du Japon. La ville d’Ise, jadis appelée Uji Yamada jusqu’en 1956, compte 105.000 habitants. Le Sanctuaire d’Ise est réputé abriter les esprits des empereurs du Japon. Le style des bâtiments est simple et dépouillé. En gage de pureté, ces sanctuaires de bois et de chaume sont entièrement détruits et reconstruits à l’identique tous les vingt ans depuis l’an 690 !
**La vidéo: Le Sanctuaire d’Ise
*Ise, appelée jusqu’en 1956 Uji Yamada, est une ville moyenne de 105 000 habitants qui se trouve dans la préfecture de Mie. On y trouve les sanctuaires shintô les plus vénérés du Japon : l’Ise Kôdaijingû (naikû), demeure de la déesse solaire : Amaterasu-Ômikamiet et l’Ise Toyouke Daijingû (Gekû), demeure de la déesse de la nourriture, des vêtements et du foyer : Toyouke-no-Ôkami . On distincte traditionnellement le sanctuaire extérieur (Gekû) établi à Ise depuis 478 et le sanctuaire intérieur (naikû) fondé en 478. Ces deux temples sont distants l’un de l’autre de 6 Km. Une centaine d’autres temples, salles et bâtiments gravitent autour. Le style des bâtiments est simple et dépouillé. Les bâtiments en bois de cyprès sont de style shimmei-zukuri.En gage de pureté, ces sanctuaires de bois et de chaume sont entièrement détruits et reconstruits à l’identique tous les vingt ans depuis l’an 690! Cette tradition, l’opération de reconstruction est dénommée sengûshiki, aurait pour origine un tabou du culte shinto, qui voulait qu’à la mort de l’empereur, sa résidence, marquée de l’emprunte de cette mort, devait être détruite et reconstruit dans un autre lieu. Plus prosaïquement, cela permet de maintenir vivace le savoir-faire ancestral des artisans. En effet, les constructions sont réalisées sans clous, avec seulement des chevilles de bois. Les bâtiments actuels reconstruit pour la 62éme fois, datent de cette année (2013).Le sanctuaire d’Ise est le site shinto le plus vénéré du Japon. Il est réputé abriter les esprits des empereurs du Japon et abriterait l’élément le plus important de toute l’histoire impériale japonaise : le Yata no Kagami (八咫鏡). Selon la mythologie japonaise, ce miroir aurait appartenu aux premiers empereurs japonais. Seuls les prêtres et prêtresses shinto ainsi que les membres de la famille impériale ont accès au sanctuaire, pour nous pauvres pêcheurs, le sanctuaire est inaccessible, impossible de prendre des photos, il faut se contenter des hautes palissades et des gardes zélés. Si vous allez à Ise garez à l’esprit que c’est d’abord un lieu de culte avant d’être un lieu touristique. *source: sakura-house.com
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*4. Pine Gap
La base secrète américaine de Pine Gap se situe au centre de l’Australie. C’est une antenne qui s’enfonce à huit kilomètres de profondeur dans l’écorce terrestre. Elle est située au milieu du désert, à une vingtaine de kilomètres au sud-ouest d’Alice Springs, dissimulée entre deux lignes de montagnes et accessible par une route interdite. Pine Gap emploie 800 employés. Certains sont prêts à payer une fortune pour avoir accès aux informations de Pine Gap.
*La vidéo: Pine Gap
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5. La centrale nucléaire israélienne de Néguev
Elle est située dans le désert du Néguev, à 13 km au sud-est de Dimona et à 85 km au sud de Jérusalem. Elle comprend notamment une centrale nucléaire. Le site est toujours resté secret (on ne verra pas plus que cette photo satéllite). Certains spécialistes pensent que les armes du futur se dessinent dans cet endroit. L’espace aérien proche est fermé autour de la centrale nucléaire de Néguev.
*7sur7–28/04/2015/ Christophe Da Silva
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