le meilleur job du monde
**35 000 candidats de 200 pays pour six boulots estampillés « meilleur job du monde »
Six nouveaux boulots estampillés « meilleur job du monde » sont mis en jeu par l’Office de tourisme australien, trois ans après sa première campagne de recrutement, dont le succès fut retentissant
35 000 candidats de 200 pays différents ont tenté de remporter, en 2009, le meilleur job du monde : gardien de l’île d’Hamilton, situé près de la barrière de corail dans l’État du Queensland. Un CDD de six mois pour un salaire de 150 000 dollars australiens (120 000 euros) et une villa de trois chambres avec piscine et golf à disposition. C’est un britannique de 24 ans, Ben Southall, qui l’avait emporté. Six mois durant, il a tenu un blog racontant ses aventures (forcément merveilleuses) dans l’île.
Fort du succès de cette première campagne, l’office de tourisme met en jeu six nouveaux contrats de 80 000 euros chacun. Et il y en a pour tous les goûts : aventurier dans l’ Outback (la brousse australienne), guide nature dans le Queensland, reporter de la vie nocturne à Sidney, photoreporter lifestyle à Melbourne, explorateur gastronomique et garde nature dans le Sud du pays… Si vous êtes intéressé(e), le dépôt des candidatures doit se faire en ligne, sur le site de l’office du tourisme et sur sa page Facebook.
S’offrir un coup de pub
Suite au succès du meilleur job du monde, d’autres sociétés ont repris la même stratégie pour s’offrir un coup de pub. Le site Let’s buy it offrait un poste de professionnel du shopping, avec pour mission de parcourir les plus grandes capitales européennes à la recherche des bons plans shopping introuvables ailleurs. Le fabriquant de GPS Tom Tom proposait lui comme job d’été de cartographier les îles paradisiaques des Seychelles, des Fidji, de Sainte-Lucie, de l’île Maurice ou encore du Cap-Vert durant deux semaines. En France, une agence de communication nantaise a, elle, imaginé à l’été 2010, un job de « creamer » : 5000 euros pour passer de la crème solaire pendant 6 semaines sur les plages du Sables d’Olonnes. L’opération parfaite pour moderniser l’image de la cité balnéaire, prisée des familles et des seniors!
Pourtant a en croire Atlantico, le (tout premier) meilleur job du monde en Australie, n’en était pas un. Ben Southall a trouvé le boulot épuisant (le jet ski et la plongée ça fatigue…), il a été piqué par une méduse venimeuse et a rompu avec sa petite amie de l’époque. Dur dur…* grazia.fr -04 mars 2013
**Sylvie, 24 ans, espère empocher le « meilleur job du monde »
Actuellement étudiante à Montréal, Sylvie Lau, française et âgée de 24 ans, s’est qualifiée pour la première étape du concours du « meilleur job du monde ». Si elle l’emporte, elle s’envolera pour l’Australie, nagera avec les dauphins et s’occupera des kangourous. Interview d’une potentielle veinarde.
Vous vous souvenez du « meilleur job du monde » ? Mais si, ce CDD de six mois dans un lieu paradisiaque, en Australie, et rémunéré 120 000 euros. Plus de 600 000 personnes dans le monde entier ont candidaté et 150 d’entre eux ont passé la première étape, dont quatre Français. Virginie Lorillou (27 ans), une graphiste lyonnaise, Loïc Ney (24 ans), un jeune diplômé toulonnais, Aurélie Leclerc (24 ans), diplômée en communication à Arras et Sylvie Lau, étudiante à Montréal. Rencontre avec cette dernière.
Comment avez-vous entendu parler du concours ?
**J’avais entendu parler du premier concours pour le « meilleur job du monde » en 2009, mais cette fois, c’est un cousin qui m’a mise au courant. Merci Gilbert !
Qu’est ce qui vous a décidé à candidater ?
**Je connais l’Australie et j’aime ce pays ! Je m’y suis rendue à deux reprises : une fois pour un stage en 2010 et pour les vacances de Noël, l’année dernière. Il y a énormément à découvrir et je n’en ai fait qu’une petite partie. Ensuite, c’est une chance qui ne se présente pas souvent dans la vie. Alors ma philosophie étant « qui ne tente rien n’a rien », j’ai décidé de postuler. Enfin, la candidature ne nécessitait qu’une vidéo de 30 secondes. J’ai l’esprit assez créatif, alors réaliser cette vidéo était déjà un plaisir !
Dans quelle catégorie vous êtes-vous présentée ?
**Je me suis présentée pour le poste de « Wildlife Caretaker ». Je n’ai pas encore trouvé d’autre traduction que « gardien de la faune ». (Pour rappel, les autres postes à pourvoir étaient : photoreporter Lifestyle, reporter d’événements festifs, aventurier de l’Outback, guide ranger et explorateur gastronomique, ndlr).
En quoi est-ce le « meilleur job du monde » ?
**Ce job me fait rêver car l’Australie méridionale est une région qui abrite une faune et des paysages très différents de la Nouvelle-Galles du Sud et du Victoria (que j’ai déjà visités). C’est une destination que je comptais explorer lors d’un futur voyage. Ensuite, j’ai toujours été une aventurière, alors m’occuper d’animaux sauvages, ce serait une grande première !
Êtes-vous prête à tout quitter ?
**Carrément. Je finis mon double-diplôme d’ingénieur biomédical fin 2013, alors le moment est parfait : cela me fera une pause bien méritée entre plus de 7 années d’études post-bac et le début de ma vie active. En plus, je suis actuellement célibataire, alors aucune attache ne me retient. Et puis qui sait, je me trouverais peut-être un beau surfeur australien !
Quels arguments avez-vous mis en avant dans votre vidéo ?
**Les instructions étaient de montrer en 30 secondes pourquoi j’étais la meilleure candidate pour ce poste : la qualité de l’anglais, la passion et la créativité étaient évaluées. Je suis consciente de ne pas avoir le profil académique ou professionnel adéquat pour un tel poste. Alors j’ai misé sur ma personnalité. Pour la vidéo, j’ai décidé de mettre en scène le personnage de Maurice le Wombat, un marsupial vivant en Australie méridionale et en Tasmanie. J’ai raconté son histoire : comment il est arrivé à Montréal, à quel point il a froid en hiver ici et mon engagement à le ramener en Australie. Je pense que cette histoire et cette cause ont beaucoup joué dans ma pré-sélection.
En quoi consiste la prochaine étape de la sélection ?
**J’ai jusqu’au 8 mai pour remplir le prochain challenge. Je dois montrer ma passion et ma créativité en suscitant l’intérêt des médias ! Je dois également obtenir des preuves de soutien de la part de personnalités publiques mais aussi de ma famille et de mes amis. L’idéal est de trouver un équilibre entre une personne influente et une personne me connaissant bien. Pour médiatiser ma candidature, j’ai créé une page Facebook pour mieux nous connaître Maurice et moi. La bonne nouvelle, c’est que j’ai récolté plus de 600 « j’aime » en 4 jours ! *grazia.fr -29.avril. 2013
**Carquefou : en lice pour le meilleur job du monde
Six mois à nager en Australie avec les dauphins payés 75 000 € : Julie Deplanque-Lasserre ose à peine y croire.
Réveiller les kangourous, nager avec les otaries et les dauphins et plonger avec le grand requin blanc. » La fiche de poste est plutôt mystérieuse mais le job très bien payé : il y a un mois, Julie Deplanque-Lasserre, biologiste marine de formation, a répondu à une drôle d’annonce, sans trop y croire. « C’est ma mère qui a vu ça à Télématin. L’office de tourisme d’Australie relançait son opération du meilleur job du monde. Parmi les six emplois proposés, celui de garde nature dans le sud du pays. Juste mon rêve quoi ! », s’enthousiasme la Carquefolienne de 24 ans.*source: presseocean.fr
**Nina Drecq postule pour le meilleur job du monde
Quand Nina Drecq a reçu la nouvelle dans sa boîte mail, elle n’en croyait pas ses yeux. La voilà sélectionnée pour remporter «le meilleur job du monde» en Australie. Cette prof de théâtre bruxelloise est opposée à 24 candidats du monde entier. À la clé: un poste de gardien de parc naturel pendant six mois en Australie… et un salaire de 80.000 euros.
Elle a le sourire dans la voix et des étoiles dans les yeux. Et pour cause: à l’origine, ils étaient 600.000 à postuler pour l’un des six jobs proposés dans le cadre du concours du «meilleur job du monde», une initiative lancée en 2009 par l’Office du tourisme australien. Nina Drecq avait présenté sa candidature sous forme de vidéo pour trois postes, dont celui de «Park Ranger» dans le Queensland, une zone de l’Australie grande comme 60 fois la Belgique.
Mercredi, Nina a donc appris qu’elle faisait partie des 25 finalistes. Si elle l’emporte, ses missions consisteront à vérifier la température de l’eau, surveiller les plages et respecter la nature. Tranquille! Surtout que le Queensland est une région paradisiaque bordée par la célèbre grande barrière de corail dans l’océan Pacifique.
«J’ai posté ma vidéo de candidature le 1er avril. Quand j’ai su la bonne nouvelle, j’avais un énorme sourire. J’étais seule chez moi, mais je sautillais partout!», s’exclame-t-elle. Certes, il s’agit d’un CDD de 6 mois seulement, à partir d’août. Mais le tout est rémunéré 100.000 dollars australiens (80.000 euros)!
Prochaine étape: la candidate belge devra faire le plus grand buzz médiatique possible d’ici au 8 mai prochain. Tout est bon pour faire parler d’elle: rassembler un maximum de gens sur sa page Facebook (www.facebook.com/NinaTheBestJobInTheWorld), organiser des événements… «Je vais essayer de contacter la famille royale, la fondation roi Baudouin, le Jardin extraordinaire…»
«Je vais aussi organiser une flash mob (une mobilisation éclair où la foule effectue une chorégraphie, NDLR) le 5 mai prochain à 16h au bois de la Cambre.» Ce jour-là, tout le monde est le bienvenu, déguisé en Park Ranger ou non, pour participer à la danse. «Le but est d’avoir une grande foule»… et de sensibiliser le public aux questions environnementales. * lacapitale.be – Vendredi 26 Avril 2013
**Bientôt un job de rêve pour Abigail Courroy ?
De l’audace, de l’humour et un anglais parfait, Abigail Courroy, Mulhousienne de 26 ans, a franchi la première étape du concours des « meilleurs jobs du monde » en Australie. Elle a jusqu’au 7 mai pour convaincre les organisateurs d’être parmi les trois derniers candidats.
Après ses études et une première expérience professionnelle, Abigail Courroy aurait pu poursuivre une carrière toute tracée de professeur d’anglais. Mais cette jeune Mulhousienne de 26 ans a choisi l’option aventure.
Depuis quelques jours, elle fait partie des 150 finalistes au concours des six « meilleurs jobs du monde » proposés par l’agence australienne de tourisme. Sa vidéo de 30 secondes – dans laquelle chaque candidat doit vanter ses mérites – a été sélectionnée parmi plus de 600 000 autres postées du monde entier et figure en première place sur le site internet de l’opération (www.australia.com/fr/best-jobs.aspx rubrique « social party reporter »).
« Le concept est top. J’ai été séduite par la possibilité de retourner en Australie » , avoue la jeune femme, touchée par le virus du voyage dès son plus jeune âge. « Ma mère était danseuse dans différentes compagnies, elle a beaucoup voyagé. Elle est anglaise, elle m’a appris à parler l’anglais avant le français et on passait tous nos étés en Angleterre » , raconte Abigail.
L’Angleterre, elle y séjournera d’ailleurs un an dans le cadre d’un échange Erasmus, après une scolarité intégrale à l’établissement Jeanne-d’Arc et une prépa-lettres à Strasbourg. Elle revient rapidement en France pour passer un master et son Capes (Certificat d’aptitude au professorat de l’enseignement du second degré), mais l’envie d’aventure la rattrape.
Un petit boulot pendant cinq mois et elle se paye son billet d’avion. « Avant de me poser, j’ai passé un an en Australie. J’étais attirée par l’exotisme, j’avais envie de changer de vie , remarque-t-elle. Là-bas, j’ai tout fait : enseignante, serveuse, secrétaire, fille au pair… On ne m’a jamais demandé mes diplômes, je n’ai jamais écrit un CV, une lettre de motivation ou signé de contrat. En Australie, c’est le travail qui est récompensé. C’est une formidable terre d’accueil et d’opportunités » , insiste Abigail.
Son visa expiré, la Mulhousienne rentre en France, où elle décroche un contrat d’enseignante vacataire de quelques mois… au lycée Jeanne-d’Arc.
Le contrat terminé, elle envisageait de s’engager dans l’humanitaire en Argentine. « J’ai entendu parler du concours à la télévision, c’était la solution parfaite pour retourner en Australie » , assure-t-elle. Pourquoi cette passion pour le pays des koalas et des kangourous ? « Pour les paysages, pour la proximité avec la population. Les Australiens sont simples, chaleureux et ont la tête sur les épaules. »
J’ai réussi à partir seule en Australie, alors tout est possible
Deux jours avant le délai, elle réalise une vidéo amateur « à l’arrache » dans laquelle elle résume, en anglais of course, qui elle est et pourquoi il faut la choisir pour le job de « chief funster » à Sydney, un poste qui consiste à s’immerger dans le monde de la nuit et des festivals. Le lauréat devra, entre autres, travailler dans les coulisses du Sydney Festival et sur le spectaculaire feu d’artifice du Nouvel An sur le port de Sydney.
Retenue parmi 600 000 autres profils, dont 45 000 pour le poste convoité, Abigail Courroy doit maintenant tout faire pour être parmi les trois derniers. Pour cela, elle ne va pas hésiter à créer le buzz, sur le net et dans la rue, d’ici le 7 mai. « En deux semaines, il faut que je fournisse un maximum de témoignages – vidéo, audio, écrit – en ma faveur. Il faut jouer à fond la carte des médias et des stars. Les organisateurs veulent voir notre capacité à convaincre. Ils veulent une personnalité qui sait communiquer et qui s’adapte à toutes les situations » , précise-t-elle.
Dynamique, maligne et joviale, la jeune femme a aussitôt trouvé une alliée de taille en Martine Zussy, de la Chambre de commerce et d’industrie, qui lui fait bénéficier de ses contacts. Transformée en coach/attachée de presse, elle lui a décroché, entre autres, des interviews, un rendez-vous avec le maire Jean Rottner et tente d’obtenir le soutien de l’acteur Jean Dujardin.
Via les médias et les réseaux sociaux, Abigail espère motiver le plus de monde possible, le 1er mai sur la place de la Réunion, pour une chorégraphie filmée avec l’intervention de Pierre Fraenkel et sans doute d’autres personnalités. « Je bouillonne d’idées. J’ai envie de monter le book parfait pour faire la différence. J’ai réussi à partir seule en Australie, alors tout est possible. Ça ne demande pas de sacrifice, juste de la volonté et de se donner les moyens » , conclut Abigail.*lalsace-28/04/2013
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Six jobs de rêves: Les candidatures sont ouvertes !
L’édition 2013 du programme de recrutement « Best jobs in the world » repart pour une nouvelle saison ! Lancé le 4 février 2013, six jobs de rêves sont à pourvoir.
Cette news s’adresse à tous les étudiants qui ont commencé les recherches d?un job d’été, à tous ceux qui en ont assez de récurer des casseroles, de décrocher le téléphone ou de servir des clients ingrats dans un restaurant. Si vous voulez travailler, gagner (beaucoup) d’argent et en prime voyager à l?autre bout du monde, alors cette annonce est faite pour vous ! Six postes de rêves sont offerts sur le site de l’Office du Tourisme australien. Staragora vous en dit plus.
Gardien d’un parc animalier dans l’Etat du Queensland (Australie), photographe à Melbourne, soigneur dans le Sud de l’Australie ou encore goûteur à l?Ouest du pays, voici quelques unes des offres proposées par l’Office du Tourisme. D’autres jobs comme aventurier ou chief funster qui consiste à s’immerger dans les évènements locaux et le monde de la nuit sont plutôt atypiques ! Le programme promotionnel du « meilleur job du monde » repart pour une nouvelle saison ! Mais pourquoi tenter sa chance vous direz-vous. La réponse est simple : vous partirez six mois dans un des Etats d’Australie, vous travaillerez dans un cadre paradisiaque entre le sable fin et la mer turquoise et cerise sur le gâteau, les heureux vainqueurs reçoivent un salaire de 78 000 euros pour six mois, frais compris. Une offre d’emploi plutôt alléchante lorsque l’on sait que les jobs d’été sont pour la plupart ingrats et mal rémunérés. Un job de rêve dans un pays de rêve ? Il doit y avoir une arnaque? Mais rassurez-vous, cette offre est très sérieuse. En effet, tout ce qu’il faut pour postuler c’est d?être âgé de plus de 18 ans , d’être éligible à un visa de travail provisoire australien et de poster une vidéo de 30 secondes expliquant pourquoi vous êtes la personne la plus qualifiée pour ce job. Les 25 premiers finalistes partiront en juin en Australie pour passer une série de tests sur leurs aptitudes et leurs compétences.
L?Office de Tourisme australien plaisante sur la difficulté de la tâche qui attend les futurs lauréats : « C’est un job difficile mais quelqu?un doit le faire et ça pourrait bien être vous. »
Beau coup marketing pour l’Australie
Ce n?est pas la première fois que ce programme promotionnel est mis en place. En 2009, la première édition avait attiré plus de 35 000 candidats venant de 200 pays différents ! A la différence de l’édition 2013, pas six mais un poste était à pourvoir. L’heureux élu avait été Ben Southall, un britannique alors âgé de 34 ans. Il avait remporté le concours pour devenir pendant six mois le gardien de l’île d’Hamilton sur la fameuse barrière de corail. Le Britannique a confié à l époque n?avoir aucune idée de ce qu?il allait faire durant son séjour de rêve : « Je ne savais pas si j’allais faire de la plongée, du parachutisme, la cuisine ou des promenades dans le bush. J’ai tout fait. » Toutefois, au-delà de cet aspect, ce programme est avant tout un immense coup marketing pour l?Office de Tourisme. En effet, en plus d?offrir une visibilité conséquente à ce pays, » The Bests Jobs In the World » a permis de relancer l?activité économique. Par exemple, suite à cette première édition, l?Etat du Queensland a connu une hausse des réservations de 15 à 20%.
Si vous aussi vous souhaitez tenter votre chance, rendez-vous sur le site internet Tourism Australia. Les candidats ont jusqu’au 10 avril 2013 pour postuler.*actualite.portail.free.fr- Mardi 05 mars 2013.
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Merci pour ce billet très intéressant, le foot est mon sport préféré
http://fou.du.foot.free.fr/index.php/football-sunderland-paralysant-unies-en-demi-coupe-de-la-ligue/