L’été algérien
5 05 2015**Entrée libre sur les 371 plages publiques autorisées à la baignade
*Fin de concessions des plages à partir de la saison estivale 2015
**Photo: La crique des Sablettes, Mostaganem
Le ministère de l’Intérieur a décidé de mettre fin à la concession des plages à partir de la saison estivale 2015. Il est à rappeler que les années précédentes, on ne pouvait s’installer sur une plage sans en payer le prix fort. Au même titre que les places de parking, qui sont devenues le cauchemar de chaque estivant «je dois me lever très tôt pour emmener ma famille à la plage, c’est le seul moyen pour trouver une place de parking et un endroit libre sur la plage. même quand on est équipé, on doit payer, c’est vraiment décourageant» nous dit slimane, un futur estivant. Cette nouvelle mesure apportera certainement du confort aux citoyens, mais cela risque de soulever d’autres problèmes.
En premier lieu, le temps de son application sur le terrain est très réduit et peut rencontrer des résistances de la part des plagistes. Il s’agit de gérer cette situation sur 371 plages autorisées à la baignade, ce qui implique une dynamique et une stratégie à hauteur de ce défi.*cliquer ici: Passer les vacances en Algérie
**vidéo: la beauté sublime du littoral algérien
**Vidéo: Alger 2006 retour de 450 pieds noirs sur le « Princesse Danaé » Voyages en bateau de croisière qui nous a acceuilli une semaine fantastique
Marina Palm-Alger
une plage réservée uniquement pour les femmes
Des rires, un peu de raï, des allers-retours incessants de femmes, de jeunes filles, de fillettes… Que se passe-t-il dans cette maison à Alger Plage ? Vous n’êtes pas à un mariage ou à une réunion familiale, mais à Marina Palm, un complexe en bord de mer situé à Bordj el Bahri, sur la cote est de la capitale. *Lire le reportage de Amina Boumazza |TSA/ cliquer ici: Plage pour femmes
* « L’Algérie vue du ciel », sur France2 à 20h50.
Le documentaire de Yann Arthus Bertrand et Yazid Tizi, « L’Algérie vue du ciel », passe ce soir sur France2 à 20h50.
**voir vidéo-complet-HD-1-L’Algérie vu du ciel
Depuis qu’Algérie1 a annoncé sa diffusion, l’info s’est propagée dans les réseaux sociaux au point où il est à prévoir que ce documentaire exceptionnel battra certainement tous les records d’audience tant en Algérie qu’en France.
Il est vrai que « L’Algérie vu du ciel » est un film prestigieux, avec de belles images aériennes exclusives des quatre coins de l’Algérie.
C’est un voyage à travers toute l’Algérie, vue du ciel. Un voyage au cœur d’une géographie exceptionnelle par sa diversité et sa richesse: la nature, la terre, les champs, les cultures, les vallées et et les haute montagnes, les Oueds, le désert, la côte de la mer Méditerranée …
«J’ai été soufflé par la beauté de l’Algérie. Je trouvais intéressant de valoriser ce pays qui a des paysages incroyables, et de le faire découvrir aux gens. Tout m’intéresse en Algérie. C’est un pays sublime, dont on entend tellement parler !» confiait Yann Arthus-Bertrand.*Par Kaci Haider | 16/06/2015 |algerie1.com/
- Yann Arthus-Bertrand / Réalisateur
- Yazid Tizi / Réalisateur
- Yann Arthus-Bertrand / Auteur
- Michaël Pitiot / Auteur
- Music: Armand Amar
- Une coproduction de l’Agence algérienne pour le rayonnement culturel (AARC) et Hope Production.
- Le film complet dure 120mn, diffusé sur France 2 mardi 16 Juin 2015 à 20h50
- *** L’Algérie vue du ciel a été réalisé en février dernier-2015, avec l’aide de l’armée algérienne qui a mis des hélicoptères à la disposition du célèbre photographe et réalisateur français. Le pitch du documentaire : un Algérien de France s’adresse à un frère resté au pays pour raconter ce qu’est l’Algérie d’aujourd’hui, filmée depuis les airs par le célèbre photographe Yann Arthus Bertrand. Le documentaire est construit autour d’un voyage en trois parties.Le Nord, moderniste, est tourné vers la Méditerranée, tandis que le Centre est fait de régions rurales et traditionnelles. Enfin, le Grand Sud est comme un autre monde, avec son immense désert. Ce périple permet de découvrir les côtes indentées de l’Oranais, les plaines agricoles de la Mitidja, les contreforts de l’Atlas, les falaises d’Alger, les plages, les cimes enneigées ou encore l’incroyable diversité minérale du Sahara. «L’armée algérienne a mis à notre disposition des hélicoptères»«J’ai été soufflé par la beauté de l’Algérie. Je trouvais intéressant de valoriser ce pays qui a des paysages incroyables, et de le faire découvrir aux gens… Ce séjour dans le Sud s’est passé de manière formidable. L’armée algérienne a mis à notre disposition des hélicoptères pour que nous puissions réaliser nos images. Les personnes que nous avons rencontrées ont été très chaleureuses.Beaucoup savaient qui j’étais et connaissaient mes livres… Tout m’intéresse en Algérie. C’est un pays sublime, dont on entend tellement parler ! Tamanrasset et l’Assekrem, où je me suis rendu cette fois-ci, font partie des plus beaux endroits du monde.J’avais oublié combien c’était beau ! Mon message, aujourd’hui, est plus humaniste qu’écologiste. Parfois, dans notre monde basé sur le commerce et l’échange, l’écologie a du mal à passer… L’écologie doit passer par l’amour : aimer la nature, les oiseaux, mais aussi aimer les autres et s’aimer soi-même. L’écologie ne doit pas prendre les allures d’un combat : elle doit être portée par un discours joyeux, amoureux, respectueux», commente le réalisateur Yann Arthus Bertrand dans le périodique Binatna.*El Watan-lundi 15 juin 2015
Grands départs en vacances sous la canicule
**des températures de plus de 47° à l’ombre et 54 ° sous le soleil.
L’Algérie se prépare à l’instar des autres pays de méditerranée à faire face à une vague de chaleur caniculaire à partir de dimanche 28 juin 2015, et ce pendant une semaine, jusqu’au 4 juillet 2015. Le pic de cette vague de chaleur semblable à celle de 2012, sera atteint mercredi prochain avec une température de plus de 47° à l’ombre et 54 ° sous le soleil.*cliquer ici: les prévisions-Météo
***Météo Oran heure par heure…
et pour d’autres régions d’Algérie et du monde
cliquer ici: Long term forecast for Oran
Canicule, des précautions à prendre
Evitez de sortir à l’extérieur aux heures les plus chaudes et restez à l’intérieur dans les pièces les plus fraîches (fermez les volets et les fenêtres la journée). Si vous devez sortir à l’extérieur, préférez le matin tôt ou le soir tard, restez à l’ombre. Dans la mesure du possible, ne vous installez pas en plein soleil. Et évitez les activités extérieures nécessitant des dépenses d’énergie trop importantes (sports, jardinage, bricolage…).-La suite-cliquer ici: Canicule,des précautions à prendre
Dans les coulisses de l’aéroport Houari Boumediène
L’aéroport d’Alger en été, c’est toute une histoire !
**Alger le vendredi 14.08.2015 |**Avec 6 millions de voyageurs par an, l’aéroport international Houari Boumediène d’Alger n’est évidemment pas le plus fréquenté du monde. Mais en été, le nombre de passagers croît de façon significative. Reportage dans les coulisses de cette infrastructure aéroportuaire.
6h. Le soleil est déjà levé depuis un bon moment. L’aéroport Houari Boumediène n’a pas fermé l’oeil de la nuit. Des avions ont déjà décollé pour Istanbul, Damas ou Milan. En ce moment, entre 140 et 160 vols passent par Alger.
Zaydi, 31 ans, manager d’un des quatre cafés du hall d’accueil, a commencé sa journée à 5h. Dans son uniforme classique noir et blanc, le sourire commercial, il assiste le caissier qui essaie de satisfaire la file d’attente, où se bousculent les premiers clients, impatients d’être servis.
«Autant en hiver on n’a pas beaucoup de travail, autant en été on est souvent débordés», confie-t-il un peu stressé. Une famille arrive pour le vol de 9h vers Paris. Sara, la fille de 17 ans, cherche un chariot pour acheminer les bagages plus facilement à l’intérieur de l’aéroport. Elle n’a pas de chance, le scooter vient tout juste de passer. Son petit frère de 3 ans l’alerte. «Papa, papa, un train», crie Anis encore dans les bras de sa maman.
Le jeune Mohamed, 26 ans, se tourne vers elle et arrête sa locomotive de chariots. «Viens, je vais faire une exception pour toi et m’arrêter.» Avant d’entrer, passage obligé par le scanner et les contrôles de police.
Chaque année, plus de 6 millions de voyageurs transitent par l’aéroport Houari Boumediène avec plus de 15 millions de bagages. Afin d’assurer le service uniquement auprès de la Société de gestion des services et infrastructures aéroportuaires d’Alger (SGSIA), plus de 1400 employés sont mobilisés. Sara et sa famille se présentent au guichet pour l’enregistrement des bagages.
L’hôtesse, en uniforme bleu, commence à peser les valises et à étiqueter les tags (ticket accroché sur chaque bagage où apparaissent les coordonnées de chaque passager, la compagnie et la destination).
De l’autre côté du hall, une autre équipe prend le relais. A première vue, on se croirait dans un quartier de Constantine : sur les passerelles suspendues dans les airs, les bagages avancent petit à petit. Ils passent auparavant par un scanner hyper sophistiqué en forme de grande cabine. «Tous les bagages passent par ce scanner, assure un policier.
En cas de détection d’explosifs ou de matériaux dangereux, la machine rejette le bagage en question et l’agent qui surveille le scanner doit immédiatement donner l’alerte.» Par la suite, les valises sont interceptées par des manutentionnaires bagagistes suivant les tags afin d’être classées dans le conteneur sous le regard des agents des douanes et de la police.
Ensuite Amine, conducteur de tracteur, vient tirer le conteneur vers l’avion une fois le feu vert donné par son responsable. Certaines compagnies, telles que Aigle Azur, assurent tout l’acheminement avec leur propre personnel, mais d’autres préfèrent sous-traiter avec des sociétés spécialisées, comme Swissport. Une fois que tous les bagages sont près de l’avion, un chariot élévateur fait monter le conteneur dans la soute de l’appareil.
Poumons
Walid Belabbes, 31 ans, est contrôleur aérien. Très concentré et rigoureux avec les autres employés, il est là pour veiller à ce que tout soit en ordre sur la piste. Vingt-sept compagnies nationales et internationales se partagent en continu les pistes d’atterrissage.
Sa mission principale ? Veiller à ce que les avions décollent et atterrissent dans les meilleures conditions. «Je dois à chaque fois inspecter la piste pour savoir si tout est en place. Au cas où un engin présente une fuite d’huile, ce qui représente un danger pour les avions, je le signale et on fait appel aux sociétés de nettoyage.» Soudain, un camion équipé d’un radar, d’un haut-parleur et d’émetteurs d’ondes, déboule. C’est celui du contrôleur animalier ou bien «faroucheur», comme certains préfèrent l’appeler.
Cet engin a pour mission principale de «faire peur aux oiseaux et capturer les animaux qui pénètrent sur la piste, car ils représentent un grand danger pour les avions. Si un oiseau entre dans le réacteur d’un appareil, ce dernier risque d’avoir des avaries lors du décollage ou lors du vol.
Si un sanglier se trouve sur le chemin d’un appareil qui atterrit, il risque de dévier sa trajectoire», explique Walid. En cas d’anomalies ou de dysfonctionnements dans l’aéroport, à qui faire appel ? Derrière les écrans, caméras, programmation de parking des avions et attribution de guichets d’enregistrement aux compagnies, le Centre de coordination et des opérations (CCO) tire les ficelles.
Dans un bureau d’environ 100 m2, cinq personnes travaillent à un rythme accéléré pour pouvoir satisfaire toutes les demandes. Ici, personne n’a le temps de nous accorder pas même un petit instant. Nous sommes dans le poumon de l’aéroport.
Sur les murs, plusieurs écrans, les visages des employés y sont scotchés et les téléphones ne cessent de sonner. Talmat Hania, 37 ans, est hôtesse CCO. Vêtue de sa robe noire, elle fait le maximum pour se concentrer. Il lui arrive de décrocher deux téléphones. Chaque personne dispose de deux écrans d’ordinateur pour «mettre à jour le système informatique avec les informations qu’on reçoit en continu», nous explique Hania.
«whisky»
L’été pour Leïla est aussi synonyme de «vols surbookés». «Toutes les compagnies aériennes vendent plus de places qu’il n’y en a de disponibles dans l’avion, explique-t-elle. Du coup, de nombreux passagers restent au sol. Mais allez expliquer à quelqu’un qui a réservé son hôtel sur une plage de Zanzibar ou à Phuket en Thaïlande, que finalement, il ne peut pas partir ! Les gens peuvent vous insulter, mais nous, nous devons rester calme et les rassurer, ce n’est pas toujours faciles.»
Autre problème : les voyageurs qui veulent à tout prix partir, dont les passeports expirent avant six mois et que les agences de voyages n’ont pas prévenus. «Je ne vous parle même pas de la PAF (police aux frontières), poursuit Khaled, un autre employé de l’aéroport. Sur les quatre postes, il doit y avoir au moins huit policiers. En pratique, tu n’en trouves que trois ou quatre. Parce qu’il y en a un qui est sorti, l’autre qui est allé manger.
Du coup, les passagers attendent parfois plus de trois quarts d’heure…. Et ratent leur vol !» Mais le plus dur de l’été n’est pas encore passé. «Le 16 août vont commencer les départs pour le hadj, confie Anissa, hôtesse d’accueil. Entre Air Algérie, Turkish Airlines, Egypt Air, Qatar Airways, et la Royal Jordanian, cela représente plus de 1500 passagers par jour. Et pas des plus faciles…
Car la plupart arrivent de l’intérieur du pays avec des bouteilles de gaz, de la viande, des couteaux. Les plus vieux ne comprennent pas que c’est interdit. Alors on les leur enlève, mais sans leur dire.» Abdelkader, 43 ans est coordonnateur depuis 9 ans. Une radio en main, il vient d’être informé de l’arrivée d’un avion. Immédiatement, il publie l’information sur les écrans d’affichage qui sont dans les halls publics. Mais pour lui, ce n’est pas tout. Il doit appeler tous les autres services concernés par l’opération de réception des passagers et des bagages.
Par exemple, il lance un appel pour dégager un conducteur de passerelle (tunnel reliant l’avion à la salle d’embarquement ou la salle des arrivées) qu’il désigne par le nom de code «whisky» afin qu’il colle sa passerelle à l’avion une fois à l’arrêt. Djamel Guemari, 42 ans, travaille comme conducteur de passerelle.C’est lui qui reçoit l’ordre lancé par Abdelkader au CCO.
Djamel doit attendre que l’avion soit bien stationné pour pouvoir manœuvrer sa passerelle à l’aide d’un joystick et d’un petit clavier. A partir d’ici, il peut effectuer la manœuvre qu’il souhaite afin de coller la passerelle à la porte de l’avion pour que les passagers puissent aller et venir à leur aise. Tout est pensé pour que le voyage se passe au mieux, mais des couacs, il y en a.
«La semaine dernière, des passagers arrivés de Bamako, qui transitaient par Alger avant de repartir pour Doha puis Kuala Lumpur n’ont pas été assistés comme ils auraient dû l’être par Air Algérie, raconte un cadre de l’aéroport. Comme ils n’avaient pas de visa, ils n’ont pas pu sortir de la zone de transit. Comme ils n’avaient pas non plus assez d’argent pour acheter un autre billet, ils sont restés une semaine en transit.
On leur a donné à manger mais ne me demandez pas comment ils ont fait leur toilette !» Et puis bien sûr, il y a les bagages qui se perdent. «Souvent, on ne peut rien faire à part prendre la plainte du passager, souligne un employé.
Mais ce n’est pas facile, les gens s’énervent. La pire des compagnies, c’est Air France. Là où Qatar Aiways enregistre 800 plaintes par an, Air France en compte plus de 1000 par mois…» D’ici 2018, une étude prévoit que l’aéroport sera saturé. «Une entreprise chinoise a déjà commencé les travaux, précise Tahar Allache, le PDG de l’aéroport. Ils avancent bien et seront terminés dans trois ans. Et c’est la SGSIA qui prendra en charge le financement, pas le Trésor.»*Bouzid Ichalalene/ el watan–vendredi 14.08.2015 |*
***************************
*Opération Ports bleus pour nettoyer les bassins et lutter contre les différentes formes de pollution
Quelque 200 volontaires issus de différents secteurs d’activité prennent part samedi 9 mai 2015 à Mostaganem à la 3ème édition de l’opération Ports bleus selon la direction locale de la pêche et des ressources halieutiques. Cette campagne, lancée à l’échelle nationale par le ministère de tutelle, ciblera le port de pêche et de plaisance de Salamandre, à Mostaganem-ville, et celui de Sidi Lakhdar (50 kms du chef-lieu de wilaya).*cliquer ici: Mostaganem l’une des plus belles villes d’Algérie
Cinq conseils pour profiter de ses vacances en bord de mer en respectant l’environnement
*Se baigner en eaux propres- La tête dans les nuages et les pieds dans l’eau… Mais, si possible, une eau propre.*Bien choisir ses crèmes solaires- Les études sont formelles : si se tartiner abondamment de crème solaire préserve la peau des dangers du soleil, les conséquences sur l’environnement peuvent être dramatiques.*Polluer moins pour échapper aux méduses- C’est la hantise des baigneurs. Pelagia noctiluca, plus connue sous son petit nom de méduse, va encore traîner ses filaments urticants et sa carcasse gélatineuse du côté des lieux de vacances favoris*S’équiper « vert » sur la plage- Une serviette de plage, oui, mais en coton bio, c’est mieux.*Surfer sur la vague écolo Avec ses pratiquants épris de nature et de grands espaces, le surf véhicule de longue date une image écologique. *cliquer ici: partir à la plage sans polluer
*dans la même page:
Aujourd’hui, on va nettoyer les plages !
***Pour des vacances sur le sable sans sacs en plastique, participez à la grande opération des Eboueurs des mers. L’occasion de contribuer à la protection de l’environnement en s’amusant en famille.
**des choses qu’on déteste faire à la plage
*Les climatologues prévoient des températures plus clémentes durant l’été 2015
« Les prévisions saisonnières de températures prédisent que les températures devraient être plus clémentes durant l’été, entre 28 à 30 degrés », a déclaré, jeudi, le directeur général du Centre national de climatologie, Djamel Boucherf.
Ce dernier n’écarte pas, néanmoins, des possibilités d’élévation du thermomètre pouvant frôler les 36 degrés pour des durées de « deux à trois jours ».
Intervenant sur les ondes de la radio nationale, Djamel Boucherf a qualifié les derniers pics de chaleur ressentis récemment en Algérie, (plus de 41 degrés centigrades), d’une situation »anormale mais pas exceptionnelle »au décalage des saisons provoqué par la variabilité climatique. Pour lui, il s’agit d’un phénomène affectant toutes les parties du monde.Le même responsable a confié que les climatologues sont arrivés à un constat : la terre se réchauffe avant de souligner qu’ »il nous faut apprendre à vivre avec cette réalité en nous y adaptant, en changeant notamment nos habitudes de vie en développant d’utilisation des énergies renouvelables, en construisant des habitations adaptées au climat, en prenant l’habitude de se déplacer dans les transports en commun…).*Par Lila Ghali | 07/05/2015 | algerie1.com
303.264 tonnes de poissons exportés vers l’Union Européenne, à partir du port d’Oran en 2014
*Nos produits de qualité sont vendus à l’extérieur et l’on nous propose pour nos assiettes du poisson pourri importé!
Parmi le poisson exporté, on trouve, la crevette rouge et blanche, dont l’Espagne est le principal client. Cette exportation est autorisée sans aucun respect de l’auto insuffisance, alors que l’Algérie a doublé son importation de poisson surgelé, dont la quantité de 44.257 tonnes a été débarquée au port d’Oran. les ouvriers pêcheurs affirment qu’il existe une mafia qui gère le marché du poisson, encouragée par le laisser aller et l’indifférence des différentes autorités, ce qui a eu pour conséquences l’intrusion de contrebandiers qui vendent le poisson aux pêcheurs étrangers dans le large. Les spéculateurs dans l’habit de faux transporteurs et faux distributeurs, traversent régulièrement tous les jours les postes de contrôles sans aucune inquiétude. Le créneau du poisson est devenu très juteux, et c’est pour cela que les pêcheurs doutent de la véracité des rapports qui sont adressés au ministre de la pêche et de l’aquaculture. *cliquer ici: Exporter des produits algériens et douanes
*23.000 illuminés et curieux aux célébrations du solstice d’été
**Stonehenge/ dimanche 21 juin 2015**Les célébrations du solstice d’été sur le site préhistorique de Stonehenge, dans le sud de l’Angleterre, ont réuni dans la nuit de samedi à dimanche quelque 23.000 personnes, néo-druides, adorateurs du soleil, familles et autres fêtards, a indiqué la police.
Ce chiffre est inférieur à l’an dernier, où 36.000 personnes avaient fait le déplacement pour voir le soleil se lever sur le jour le plus long de l’année dans l’hémisphère nord.
Les célébrations « ont été un grand succès et environ 23.000 personnes ont fait la fête dans une ambiance amicale et positive », a déclaré Gavin Williams, un responsable de la police locale.
Les participants ont eu la chance de voir le soleil apparaître à 04H52 (05H52 heure belge) dans l’axe des mégalithiques préhistoriques.
La police s’est également félicitée du faible nombre d’arrestations, neuf contre 25 en 2014, alors que les célébrations de Stonehenge ont pu donner lieu par le passé à de violents affrontements entre policiers et hippies.
Mystère
Stonehenge (« pierres debout » en vieil anglais) est un des alignements de menhirs les plus importants au monde. Ce temple de pierres aurait été édifié de l’an 3.000 avant Jésus-Christ jusqu’à 2.300 avant notre ère, mais le mystère reste entier sur la manière dont les mégalithes ont été transportés, érigés et alignés avec les mouvements du soleil.*21/06/15 -Source: Belga
marée noire au large de la Californie
Malgré les promesses, la moutarde monte au nez des habitants et des écologistes, et la mayonnaise ne prend pas. La société Plains All American Pipeline, exploitant l’oléoduc dont la rupture est à l’origine d’une marée noire au large de la Californie (Etats-Unis), a bel et bien réaffirmé, ce jeudi, qu’elle allait « faire ce qu’il faut » pour nettoyer le pétrole, mais des questions demeurent sur les pratiques de l’exploitant basé au Texas.Ainsi jeudi, alors que des pélicans couverts de pétrole ou des homards morts retrouvés le long de cette côte de Refugio Beach (Santa Barbara) très touristique faisaient la Une des médias locaux, ces derniers ont rapporté plusieurs accidents antérieurs sur les pipelines exploités par Plains All Americans. Selon le Los Angeles Times, citant des chiffres officiels, le taux d’incidents sur les oléoducs exploités par cette entreprise est trois fois plus élevé que la moyenne nationale.
Depuis 2006, les diverses fuites ou accidents causés par les oléoducs de la compagnie ont provoqué pour plus de 23 millions de dollars de dégâts, et plus de 2,6 millions de litres de produits dangereux ont fui de ses pipelines. De son côté,Patrick Hodgins, un responsable de l’entreprise, a affirmé jeudi que depuis 2007 son entreprise avait « dépensé plus de 1,3 milliard de dollars pour entretenir, réparer et améliorer » ses installations.
La société Plains All American Pipeline a affirmé qu’environ 30.000 litres de pétrole avaient été récupérés sur les 80.000 qui avaient fui dans l’océan près de Santa Barbara, au nord-ouest de Los Angeles. La fuite a provoqué une nappe d’environ 14 kilomètres de long, avaient précisé mercredi les autorités.
Au total, près de 400.000 litres de pétrole ont fui d’un oléoduc situé près de la côte, sur la terre ferme, mais une partie du pétrole a coulé dans des conduits d’évacuation qui se déversaient dans l’océan, ce qui a provoqué cette marée noire.*20 minutes–vendredi 22.05.2015
*****************************
Laisser un commentaire