Les dangers de la pornographie
*C’est mal, et c’est sale!
*« Je me détestais d’être excitée par ces images de femmes traitées comme des morceaux de viande » ….
Les femmes de plus en plus accro au porno sur internet
Selon le quotidien britannique The Guardian, de plus en plus de femmes sont dépendantes du porno sur le web, témoignage à l’appui.Caroline a 21 ans et est diplômée. Elle a découvert sa dépendance à la pornographie alors qu’elle était sur le point d’imprimer un CV en vue d’un entretien d’embauche. Le film porno qu’elle avait téléchargé la veille figurait toujours sur le bureau de son ordinateur portable et elle n’a pas pu résister à la tentation.« Je me souviens que j’avais vraiment besoin de ce shoot de deux minutes », raconte Caroline au Guardian. « J’étais comme plongée dans une anesthésie qui s’emparait de moi chaque fois que je regardais du porno. J’étais très stressée et je risquais d’arriver en retard à mon rendez-vous mais j’ai continué à regarder le film jusqu’au moment que j’attendais. Cela a duré deux minutes ».
Caroline a pris cela comme une claque dans le visage. « Je me détestais d’être excitée par ces images de femmes traitées comme des morceaux de viande et pourtant j’ai continué à le faire ».Adolescente, elle dit avoir grandi avec ces images, courantes sur internet. Avec ses amis, elle considère la pornographie comme faisant partie de son éducation sexuelle.Une fois ses études terminée, elle se retrouve sur le marché du travail et utilise cette fois la pornographie comme une manière de s’évader du quotidien. Cela s’imposait comme une évidence chaque fois qu’elle se sentait mal dans sa peau. « J’ai commencé a réaliser que je ne faisais pas grand chose, à part regarder du porno. Ce fut alors une bataille constante entre mes besoin sexuels et le contrôle de moi-même », explique Caroline.
Caroline est loin d’être la seule à avoir des difficultés à se passer du porno. Dans le plus grand centre de « désintoxycation sexuelle » du Royaume-Uni, Quit Porn Addiction, un patient sur trois est une femme. Il y a deux ans à peine, l’addiction des femmes ne faisait même pas partie des statistiques. A présent, six femmes sur dix avouent regarder du porno sur le web.
« Mal et sale »
Il existe peu de différences dans l’émergence de la dépendance à la pronographie chez les hommes et les femmes, si ce n’est que les femmes se sentent davantage coupables que les hommes. « Les femmes trouvent ça mal et sale », explique Jason Dean de Quit Porn Addiction. « C’est perçu comme un problème masculin et donc inacceptable pour les femmes ».Comment s’explique cette addiction au porno? L’orgasme est parfois comparé à un shoot d’héroïne. Celui qui consomme régulièrement du porno sur le net entre dans une sorte d’effet de transe qui leur confère un sentiment de puissance qu’ils n’ont pas dans la vie réelle. Le PC devient une zone érogène. (7sur7–.12.04.2011.)
**oui, les femmes regardent elles aussi du porno
plus de 80% des Françaises affirment avoir déjà visionné un film X
RRRRRR. La maison porno Dorcel diversifie son offre en ouvrant le premier portail internet X destiné aux femmes.
Comme sur tout site internet féminin, il y a des quiz. Une rubrique shopping, des interviews de «beaux gosses», un forum, des conseils «sexo» et, évidemment, la critique du best-seller Cinquante Nuances de Grey. Bref, ça sent la fille à plein nez. Sauf que ce site est «réservé à un public majeur et averti». Car son contenu est pornographique. En cliquant sur l’onglet «Vidéos», on accède à une multitude de films olé-olé. Au choix : des parodies X comme Inglourious bitches ou Iron Man XXX. Du glamporn avec 41 ans, mariée et infidèle. Ou encore des guides sexuels proposant de découvrir l’amour anal.
En solo. Lancé fin novembre par la maison de production de films pornos pour adultes Marc Dorcel, Dorcelle (prononcez Dorcel-euh) se veut le «premier site pornographique créé exclusivement par des femmes et pour des femmes». Adeline Anfray, l’une de ses fondatrices avec une dizaine d’autres salariées du géant du X, raconte : «Loin de ce que proposent les sites de VoD X classiques, nous avons voulu proposer un webzine féminin qui décomplexe celles qui veulent avoir accès aux films pornographiques.» Car oui, les femmes regardent elles aussi du porno. Deux études réalisées par l’Ifop, l’une datant de 2009 et une seconde de 2012, présentées lors du lancement du site Dorcelle, démontrent que plus de 80% des Françaises affirment avoir déjà visionné un film X au moins une fois dans leur vie (contre 99% chez les hommes).
Parmi ces amatrices, 18% d’entre elles confessent en regarder régulièrement ou de temps en temps. Et si elles sont 62% à pratiquer cette activité en couple, 50% ont déjà zieuté du X en solo.
La femme, avenir d’une industrie qui bande mou ?
Du côté de chez Dorcelle, on jure, la main sur le cœur, que la démarche est désintéressée :«Ce n’est pas avec Dorcelle que nous comptons faire de l’argent. Nous n’avons pas d’objectifs financiers», assure Adeline Anfray. Pourtant, comme l’analyse David Courbet, auteur de Féminismes et pornographie (1), «l’industrie de la pornographie se cherche un nouveau modèle. La propagation des vidéos gratuites sur Internet génère moins de profits qu’auparavant. S’intéresser aux femmes, c’est la possibilité d’un nouveau marché.» A condition de les satisfaire. Car si elles en consomment, les femmes ne se reconnaissent pas dans les films X. Toujours selon l’enquête Ifop, 72% d’entre elles jugent les pornos «très dégradants pour la femme», et 57% les trouvent trop violents. Ce qui compte pour elles ? Le réalisme des scènes de sexe, souvent trop éloignées de la réalité, la qualité du scénario et l’aspect naturel du physique des acteurs.
Ambiance blog. Pour séduire les femmes, Dorcelle va-t-il révolutionner le monde du porno ? Pas si sûr. Si le site propose une section «par les femmes», la grande majorité des vidéos proviennent du catalogue du patron. Autrement dit des productions hard traditionnelles. «Nous avons sélectionné une série de films et d’extraits qui nous plaisaient, avec nos goûts à chacune, défend Adeline Anfray. Pas question de voir le plombier moustachu avec sa salopette sur les genoux, des écolières ou des infirmières, mais pas question non plus de définir ce que les femmes devraient voir.»
Ce qui change, finalement : l’enrobage. Pas de contenus bruts à choisir dans une mosaïque froide de vidéos présentées par pratiques, mais une ambiance blog de bonnes copines coquines savamment entretenue. Chacune y va de son commentaire sous les vidéos, du genre : «Cette comédie pornographique sans prétention offre un agréable moment, à noter une scène lesbienne entre 4 filles d’une sensualité à émoustiller les plus radicalement hétéros d’entre nous.»
Katsuni, star mondiale du X, délivre ses conseils sexo et Coralie Trinh Thi, ex-hardeuse, enjoint les lectrices dans sa chronique – article le plus lu du site à l’heure actuelle – à tester la sodomie. Reste à savoir si les femmes seront prêtes à débourser entre 1 et 9 euros pour visionner ces films, alors qu’un contenu similaire est disponible ailleurs et gratuitement.*Au féminin.cul -Libération-10 décembre 2012
«Même modèle, mêmes scènes, mêmes positions»
Auteure de «Porno Manifesto», Ovidie dénonce une récupération marketing de l’industrie du X.
Féministe prosexe, auteure de Porno Manifesto, qui milite pour une pornographie féminine, et réalisatrice de plusieurs films X, Ovidie dénonce le marketing autour du «porno pour les femmes».
Que pensez-vous du site Dorcelle ?
Pour moi, c’est principalement du recyclage. Le site comblera les femmes qui aiment le porno masculin avec ses pratiques phallocentrées. Dans ces films, produits pour et par les hommes, la sexualité des femmes est réduite. On fait croire que ce sont leurs fantasmes, on leur impose encore un modèle sexuel où l’on voit toujours les mêmes scènes et les mêmes positions. Cela entretient l’idée qu’il n’existe rien d’autre comme porno. Si c’est pour vendre toujours des nanas de 20 ans avec des ongles américains et en jupe en lycra ou des acteurs à gourmette bourrins, je ne vois pas vraiment l’intérêt.
Pourtant, le site propose des films de réalisatrices…
Si certaines sont présentes sur le site, notamment quelques films du catalogue Second Sexe, la grande majorité est absente. Je déplore la réappropriation d’un modèle sincère. Depuis une trentaine d’années, des réalisatrices comme moi travaillent, cassent ces codes pour proposer des productions plus centrées sur la femme et ses désirs, dans lesquels il y a une réflexion par rapport à la sexualité.
Le porno pour femmes, ce n’est pas un peu cul-cul ?
Pas du tout. Il existe plusieurs pornos féminins : des très érotiques mais aussi des vidéos hardcore. La sexualité des femmes n’est pas plus soft et elles n’ont pas forcément besoin de romantisme. Le porno féminin casse le schéma classique où l’homme domine. Dans la quasi-totalité des scènes, c’est la femme qui est à l’origine de l’acte sexuel. Il met en scène l’orgasme, mais aussi le moment de redescente si souvent oublié, où tout s’apaise. L’acte n’est pas un emboîtement mécanique. Acteurs et actrices ne sont pas dans la caricature et les rapports sexuels sont systématiquement protégés. Commercialement, je suis convaincue que les femmes et des hommes qui ne se reconnaissent pas dans le porno sont prêts à mettre de l’argent sur des programmes de qualité.Libération-10 décembre 2012
***********
*Les romans à l’eau de rose créent une véritable dépendance et sont aussi dommageables pour les relations amoureuses que la pornographie.
Un article controversé publié dans une revue aux Etats-Unis affirmait que les romans à l’eau de rose étaient une véritable dépendance et étaient aussi dommageables pour les relations amoureuses que la pornographie. Selon cet article, les femmes peuvent devenir « dangereusement déséquilibrées par ces livres », parce que « envoûtées par des messages déformés ». Il arriverait la même chose aux femmes qui lisent ce genre de romans qu’aux hommes qui regardent un porno.Selon le psychologue américain, le Dr. Juli Slattery, ces romans sont responsables de l’insatisfaction ressentie par les femmes dans leurs relations réelles. Mais est-il réellement possible d’être accro à Danielle Steel? « La dépendance est un mot un peu fort mais ça peut devenir une préoccupation malsaine », déclare Paula Hall, experte en sexe. Encouragent-ils réellement nos rêveries trop romantiques pour être réelles? « Cela fait partie de la nature humaine de vouloir tomber amoureux et les romans à l’eau de rose vont dans ce sens. Mais il y a une différence entre fiction et réalité. »Les comédies romantiques aussi
En 2008, une étude réalisée par des Universités d’Ecosse et d’Edimbourg constatait que les comédies romantiques encourageaient les attentes irréalistes en amour. Les fans de films comme Notting
Hill n’arrivaient pas à bien communiquer avec leur partenaire et que beaucoup avaient dans l’idée que si quelqu’un voulait vraiment être avec vous, alors il doit deviner ce que vous voulez sans que vous ne deviez le formuler.Avis inverse
Sarah Wendell, 34 ans, mère de deux enfants, pense l’inverse. Dans un livre appelé Everything I Know About Love I Learned From Romance Novels (Tout ce que je sais de l’amour je l’ai appris des romans d’amour), elle explique que grâce à ces livres, les femmes arrivent à repérer un homme bon et qu’elles voient comment les personnages surmontent leurs problèmes. Ce qui peut les inspirer.« Ca montre aussi que nous devons travailler pour le « ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants. » Dire que ces livres suscitent des attentes irréalistes, ce n’est que de la foutaise. Vous devez avoir des attentes élevées pour être heureuse, c’est une bonne chose. »Jo Hemmings, psychologue, est d’accord: « Nous sommes tous assez intelligents pour faire la différence entre fiction et réalité. Les gens qui lisent de la science-fiction ne s’attendent pas à voir débarquer des aliens dans leur jardin. Ils profitent juste de l’évasion que procure la lecture. » Et le happy end peut être une source d’inspiration. (7sur7-24.06.2011.)
**La pornographie néfaste pour le cerveau
Des hommes qui passent beaucoup de temps à regarder de la pornographie sur internet paraissent avoir moins de matière grise dans certaines parties du cerveau et une activité cérébrale réduite. Des travaux allemands publiés jeudi 29 mai aux Etats-Unis l’affirment.
« Nous avons constaté un lien négatif significatif entre le fait de regarder de la pornographie pendant plusieurs heures par semaine et le volume de matière grise dans le lobe droit du cerveau », ainsi qu’avec l’activité du cortex préfrontal, écrivent les auteurs de cette recherche à l’Institut Max Plank for Human Development à Berlin.
« Ces effets pourraient indiquer des changements dans la plasticité neuronale résultant d’une intense stimulation du centre du plaisir », ajoutent-ils dans cette étude qui paraÎt en ligne dans le Journal of the American Medical Association, Psychiatry.
Les auteurs ne peuvent toutefois pas prouver que ces phénomènes sont provoqués par une grande consommation de pornographie et jugent que davantage de recherches sont de ce fait nécessaires.
Mais, selon eux, ces travaux fournissent la première indication de l’existence d’un lien entre le fait de regarder de la pornographie et une réduction de la taille et de l’activité du cerveau en réaction à une stimulation sexuelle.
Moyenne de quatre heures
Pour cette étude, les auteurs, dont Simone Kühn, ont recruté 64 hommes en bonne santé âgés de 21 à 45 ans et leur ont demandé de répondre à un questionnaire sur le temps passé à regarder des vidéos pornographiques. Il était en moyenne de quatre heures par semaine.
Ils ont également fait un scanner (IRM) de leur cerveau pour en mesurer le volume et voir comment il réagissait aux images pornographiques. Ils ont constaté alors que plus les sujets regardaient de la pornographie, plus la taille du striatum, petite structure nerveuse juste sous le cortex cérébral, diminuait. (ats)- Agence | 29/05/2014
**La pornographie ambiante va-t-elle détruire une génération?
« La pop n’est plus ce qu’elle était: avant, certaines chanteuses vendaient leur musique avec leurs fesses, aujourd’hui, les chanteuses grand public vendent leur musique avec leurs fesses même aux enfants », c’est en substance le message d’alerte adressé par le compositeur et producteur britannique de renom Mike Stock, dans un article radical publié mardi par le Daily Mail.
La récente finale de l’émission familiale « Britain’s Got Talent », diffusée un samedi soir à une heure de grande écoute, comptait deux candidats de 11 et 12 ans. Elle devait être regardée par des millions de têtes blondes du même âge, voire plus jeunes. Cela n’a pas empêché ses producteurs de juger de bon goût d’inviter la chanteuse Nicole Scherzinger, ancienne membre des Pussycat Dolls, apparue dans une petite tenue affriolante pour chanter « Come on baby, put your hands on my body… right here » et susurrer « I like it dirty », relève Mike Stock, avant d’évoquer en quoi l’influence de l’industrie musicale sur les enfants de la génération actuelle a de quoi inquiéter.Paroles crues, chorégraphies osées et clips parfois à la limite de la pornographie, les artistes n’hésitent plus à mettre le paquet. Des codes autrefois réservés à la sphère « gangsta rap » ont explosé, même les chanteuses « mainstream » s’y sont mises, Christina Aguilera, Rihanna ou Lady Gaga en tête. Le sexe a toujours fait vendre, mais aujourd’hui, la société s’éveille et de plus en plus de parents commencent à se dire que ces images à caractère « érotique » peuvent avoir un effet néfaste sur les plus jeunes spectateurs qui les consomment, selon Mike Stock, qui n’hésite pas à parler d’une « armée de fillettes de 10 ans qui s’habillent et s’agitent comme des putes » pour illustrer la contagion. De même, le producteur regrette aussi l’influence négative sur les petits garçons, constatant le déni du message des féministes et évoquant même « un retour à l’Age de pierre ». La femme est redevenue un objet sexuel, ni plus ni moins.Le compositeur est nostalgique des plaisirs simples d’une pop « tout public », avant tout fun et innocente, éventuellement impertinente à l’occasion, mais avec des limites. Il appelle les organes de diffusion -BBC y compris- à réagir, à se remettre en question et rétablir un certain ordre moral. Stock ne serait pas contre une certaine « censure » en amont et trouve dommage que l’Ofcom, l’organe de régulation britannique, ne puisse intervenir qu’une fois qu’une plainte a été introduite, soit autrement dit, après diffusion. (SC) 21.06.2011.
Rihanna et Britney ont offert un show très chaud lors des Bilboard Music Awards
pour la première fois, les deux chanteuses ont chanté leur duo « S&M » en public. Et pour cette première prestattion, les deux stars ont misé sur la carte du plus que sexy. En combi latex, les deux stars ont joué le jeu du sadomasochisme à fond. Rihanna a été récompensée ce dimanche soir. La chanteuse a reçu le prix de l’interprète féminine de l’année.
************************************
Les internautes algériens se classent au 16eme rang mondial pour leur consultations des sites pornographiques. Et dans le Top des 500 sites les plus consultés sur la toile en Algérie depuis le début de l’année 2012, on retrouve un site spécialisé dans la diffusion des vidéos pornographiques à la 21ème place.
Les statistiques ont été révélées par Alexa. D’autres pays musulmans figurent aussi dans le haut du tableau du classement des consultations de la toile comme l’Egypte, les Emirats Arabes Unis, le Qatar, le Koweït et le Bahreïn.
Les internautes norvégiens, philippins et israéliens arrivent par contre en tête du classement des pays où l’on consulte des sites scientifiques comme la Nasa et National Geography.
Les trois premiers sites les plus consultés en Algérie sont Facebook, Google et Youtube, alors que les sites des journaux arabophones El Chourouk et El Khabar arrivent respectivement 7ème et 14ème dans le Top des 500 sites les plus consultés par les internautes algériens. ll est à noter que depuis quelques semaines, une pétition pour récolter un million de signataires a été lancée sur le réseau social Facebook pour réclamer auprès des services d’Algérie Télécom de bloquer l’accès aux sites pornographiques.*Algérie1.com-07.12.2012.
******************************
*Un film porno tourné devant une … école
Le proviseur d’un lycée français et des parents d’élèves se sont indignés en apprenant qu’un film classé X avait été tourné devant l’établissement scolaire. Selon l’Express qui dévoile l’information, le film pornographique a été tourné devant le lycée Mireille-Grenet de Compiègne dans l’Oise en France. La vidéo dévoilant les ébats sexuels de « karina », une prétendue surveillante de lycée, a été publiée sur le site pour adultes Jacquie et Michel ce 14 décembre 2013 et a déjà été vue par plus de deux millions de personnes dont certains étudiants qui n’ont pas manqué d’en aviser le proviseur.
« Le buzz autour de cette affaire n’est pas positif pour le lycée« , s’est indigné le chef de l’établissement scolaire qui tente désormais d’obtenir réparation du mal causé à son lycée. « Il y a tromperie », poursuit-il. « Jacquie et Michel indique que tout ce qu’il diffuse est réel, ce qui n’est pas le cas ici puisque la jeune femme que l’on voit dans la vidéo n’est pas surveillante dans notre établissement ». Outré, le proviseur a fait part de son intention de faire appel à la justice mais l’affaire n’est pas si facile, confie Me Valérie Piau, spécialiste du droit de l’éducation. Selon elle, le lycée aurait pu porter plainte si la vidéo avait été tournée à l’intérieur de l’école ce qui n’est pas le cas. « Dans le cas présent, les auteurs de la vidéo sont restés devant le lycée, donc aucune infraction n’a été commise », confie-t-elle au journaliste de l’Express.Le proviseur et les parents d’élèves ne souhaitent pas en rester là et semblent bien déterminés à se battre. Le lycée a fait appel aux services juridiques du rectorat afin de trouver une faille qui leur permette de porter l’affaire devant la justice.**7sur7–19.12.2013.
************************
Thanks for sharing ElAyam.1 » Les dangers de la pornographie with us keep update bro love your article about ElAyam.1 » Les dangers de la pornographie .
I agree with your ElAyam.1 » Les dangers de la pornographie, superb post.
Bonjour,
Je suis AFREG, le webmaster du http://www.pornodependance.com
Mon site traite de l’addiction à la pornographie. Cette forme d’addiction est en grande partie liée à l’essor d’Internet, qui donne accès à une infinité de contenu X à l’Internaute, sans qu’aucun contrôle ne semble possible.
Les effets de l’addiction à la pornographie sont nombreux: dérive vers une sexualité violente, problèmes de couple, problèmes érectiles… Le porno a une telle prégnance dans notre société contemporaine, que le problème est susceptible de toucher aujourd’hui tout le monde.. Mon site propose un forum où les dépendants et leurs proches peuvent venir s’exprimer librement et s’entraider. Le tout est évidemment entièrement bénévole et GRATUIT.
Merci ! AFREG.
Votre billet très instructif, être bien dans sa peau, c’est s’accepter, s’aimer, offrir son visage au souffle du vent.
http://www.milna-sante.com/
L’activité sportive, le temps que l’on s’accorde, les voyages et la façon dont on prend soin de soi sont la clé du bien-être.
I could not resist commenting. Exceptionally well written!
http://tinyurl.com/LotForSaleCavitePhilippines