Ouverture de la saison estivale 2014
30 05 2014*Premier juin: Ouverture officielle de la saison estivale 2014 en Algérie
Bien avant le lancement de la saison estivale 2014 qui devra s’ouvrir officiellement le 1er juin, la Protection civile a enregistré déjà 42 personnes décédées dans les plans d’eau à travers une vingtaine de wilayas au mois d’avril dernier, a-t-on appris, hier, auprès de Farouk Achour, chargé de la communication de la direction générale de la Protection civile à Alger. Pour anticiper les risques et les dangers qui peuvent venir à tout moment et en tout lieu, la Protection civile devra clôturer, aujourd’hui, sa campagne de sensibilisation contre les feux de forêts et les dangers des plages, laquelle avait commencé le samedi 21 jusqu’au 29 mai à travers les 48 wilayas du pays.
Mobilisant un dispositif important en termes de ressources humaines et matériels, il y a lieu de noter qu’il est question de 22.000 agents au total, qui devront répondre aux appels de détresse pour sauver des vie humaines et les forêts en même temps, dont 11.000 agents réservés pour faire face aux besoins de la lutte contre les noyades dans les plages et 11.000 autres pour lutter contre les feux de forêts.
Interrogé sur la mission des agents de la Protection civile à longueur d’année et de la carrière professionnelle, Daoudi Abdelkrim, capitaine de grade, dira avec un sens consciencieux, digne de son engagement: «Les pompiers risquent leur vie pour sauver celle des autres à longueur d’année. Car la vie humaine n’a pas de prix et rien ne remplace le geste et l’action de sauver des vies humaines», a-t-il, affirmé lors d’une exposition à l’établissement Art et Culture à la rue Didouche Mourad à Alger.
Dans sa rencontre avec des citoyens, M.Daoudi n’a pas manqué d’expliquer les objectifs et la mission de son organisme, tout en prodiguant des conseils afin d’éviter les risques et les dangers de la négligence qui reviennent très cher à leurs auteurs, leurs familles et le pays de manière générale. Joignant l’utile à l’agréable, la Protection civile et les services des forêts, se sont unis, au même titre que les autres corps de sécurité, afin de coordonner les efforts et les moyens humains et matériels vers un même objectif, à savoir sauver, préserver et servir la vie humaine et citoyenne. En parallèle, les services des forêts ont mobilisé leurs moyens humains et matériels afin de mettre en évidence le rôle et l’importance des postes de vigilance et d’intervention à tous les niveaux locaux afin de répondre aux besoins et à la préservation de la nature des forêts. Les forêts aussi sont importantes pour le bien-être de l’homme, d’où leur importance.
Insistant sur la nécessité de développer une culture de vigilance, de prudence et autres besoins en termes de techniques de secours à tout moment, il faut le dire, sans ambages, bon nombre de cours, de modules de la formation prodigués par la Protection civile devront être enseignés dans les écoles, les centres de formation et en milieu professionnel afin de réduire le phénomène de la violence et l’agression de l’homme contre soi-même. Pourquoi pas? Puisqu’il y va de l’intérêt général et de la culture citoyenne et l’éducation civique.
Le mal vient souvent de la perte de contrôle de soi-même et en quelques secondes, les conséquences traumatisantes sont vécues pour toujours par les personnes victimes d’un accident, voire d’un incident.. «La surveillance des plages et la lutte contre les incendies des forêts, une affaire de tous», dit-on.*L’Expression-Par Amar CHEKAR - Jeudi 29 Mai 2014
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Annulation prochaine de la fiche de police au port et à l’aéroport d’Oran
La fiche de police exigée au niveau des ports, des aéroports et postes de frontières sera annulée prochainement à Oran, a annoncé mercredi le directeur général de la Sûreté nationale, le général-major Abdelghani Hamel. La fiche de police ne sera pas exigée au niveau du port et de l’aéroport d’Oran à partir de la fin de la semaine prochaine, après la mise en service d’un nouveau système, a-t-il souligné à la presse en marge de sa visite de travail à Oran.*médias-28/05/2014 |
à quelques jours des grandes vacances,
Grève des contrôleurs aériens français:
« perturbation » du programme des vols d’Air Algérie du 24 au 29 juin
Le programme des vols de la compagnie nationale Air Algérie, en provenance et à destination de l’Algérie, sera « fortement perturbé » du 24 au 29 juin 2014, a-t-on appris vendredi soir, auprès de la Représentation générale France nord de la compagnie nationale, dans la capitale française. Cette perturbation intervient en raison d’une grève décidée par les services de la navigation aérienne française,.La menace de grève des contrôleurs aériens français qui planait depuis quelques jours en France, s’est concrétisée vendredi à quelques jours des grandes vacances, après que deux syndicats de contrôleurs aériens ont appelé à la grève, du 24 au 29 juin, pour protester contre les moyens » insuffisants » accordés à la navigation aérienne. Les syndicats manifestent aussi leur opposition à la réforme du contrôle aérien européen, « d’inspiration très libérale », que la Commission européenne a présentée le 11 juin. (Aps-20.06.2014)
*consulter par ailleurs:
Ces étrangers qui ont choisi l’Algérie
A ceux qui veulent du mal a l’Algérie:
Le pays avance avec assurance et résolution
**La Méditerranée conserve son attractivité pour le tourisme
En dépit d’une forte concurrence, la Méditerranée reste la destination préférée de la majorité des touristes en quête de soleil et de découvertes.
Malgré un léger recul de performance, la région méditerranéenne conserve son attractivité. Soleil et dépaysement font toujours recette. Desservi par son actualité, le Maghreb, particulièrement la Tunisie, perd beaucoup de touristes.
Si, jusqu’ici, les principales activités de vacances étaient de se détendre et se reposer, aujourd’hui, plusieurs vacanciers privilégient la découverte de nouveaux lieux et de nouvelles cultures, voire le dépaysement.
L’Europe est le premier marché générateur de touristes, avec plus de la moitié des arrivées de touristes internationaux dans le monde, suivie par l’Asie-Pacifique (22%), les Amériques (16%), le Moyen-Orient (4%) et l’Afrique (3%). L’OMT, dans sa publication, «Le tourisme à l’horizon 2030», estime que les arrivées devraient croître en moyenne de 3,3% par an de 2010 à 2030, ce qui représenterait 43 millions d’arrivées supplémentaires, pour atteindre 1,80 milliard d’arrivées en 2030. Les destinations émergentes qui ont mieux tiré leur épingle du jeu que les destinations avancées, vont poursuivre leur progression avec des arrivées qui vont augmenter deux fois plus vite (+4,4%) que celles des économies avancées (+2,2%).
Le Moyen-Orient et l’Afrique verraient également doubler leur nombre d’arrivées, de 61 à 149 millions et de 50 à 134 millions. Il faut signaler la profonde mutation du secteur de l’industrie du tourisme avec la montée en puissance des pays émergents. Ces derniers, par leur développement économique, agissent sur l’évolution de la demande et de l’offre touristique. Leurs populations respectives, avec des classes moyennes en forte expansion et accédant à un niveau de vie sur le modèle occidental, représentent un potentiel de touristes qui va aller en augmentant. Ces destinations ont également intégré le fait que le tourisme pouvait être source de développement économique, un apport de devises, créateur d’entreprises et source d’emplois. En Turquie, l’occupation de la place Taksim d’Istanbul a fait stagner les réservations.
Les spécialistes déplorent quelques reports et annulations. Les gens attendent de voir comment la situation va évoluer avant de se décider à partir. Les compagnies aériennes confirment qu’il n’y a pas eu d’annulations conséquentes. Après le Printemps arabe en Tunisie et en Egypte, la Turquie est apparue comme une destination refuge. En dépit d’un démarrage sous de mauvais auspices, le ministre tunisien du Tourisme, Jamel Gamra, croit encore à la réussite de la saison estivale 2013. Dans une interview accordée à Africanmanager, il n’a pas manqué d’afficher son optimisme quant à la bonne ordonnance de cette saison, précisant que les chiffres de la première décade de juin 2013 sont très rassurants et enregistrent même une progression de 15% par rapport à la même période de l’année 2012, ainsi qu’une hausse de 2,5% par rapport à celle de l’année 2010.*El Watan-21.06.2013.
**En Algérie, le soleil et la mer se payent à prix d’or
Aller à la plage : c’est sûrement l’un des loisirs les plus courants des vacanciers algériens. Ce devrait également être l’un des moins coûteux. S’allonger sur une serviette, planter un parasol, s’abriter du soleil, se baigner, bronzer… Autant d’activités théoriquement gratuites et qui, pourtant, peuvent devenir très onéreuses. Accéder à certaines plages en Algérie est presque devenu un loisir de luxe. Le non-respect de la loi qui assure normalement l’accès gratuit à la plage, ou le contournement de la législation par des voies détournées sont des problématiques récurrentes depuis des années.
Depuis des années, l’accès à de nombreuses plages est devenu payant. Que ce soit de façon directe à travers la demande de s’acquitter d’un droit d’entrée ou de façon indirecte en faisant payer toute une série de prestations qui conditionnent de fait le droit de s’installer à un emplacement. Des pratiques qui s’opposent normalement à la loi qui garantit l’accès gratuit à la plage.
Accès payant : le coût de la plage ou des services ?
Au fil des ans, plusieurs officiels algériens ont reconnu que l’accès payant à la plage était devenu une pratique courante mais ils affirment qu’elle a considérablement diminuée. Déjà en juillet 2010, par exemple, Abdelkader Gouti avait tenu les propos suivants sur les ondes de la Chaine III : « Il y a eu une période où ce phénomène avait pris de l’ampleur. Mais avec l’application de la loi, il a été éradiqué à près de 80%. Aujourd’hui, on impose rarement aux citoyens de payer l’accès à la plage sans qu’il y ait des prestations en retour». En 2013 pourtant rien n’a changé, alors que la loi, plus précisément l’article 5, garantit bien la gratuité de l’accès. Néanmoins, certaines plages surnommées «plages privées» continuent de facturer l’accès à une partie de la plage qui est souvent bien placée, mieux entretenue que le reste de l’endroit, plus propre, plus sécurisée et devant une zone de baignade surveillée. D’autres, en particulier les plages communales, ne facturent pas l’accès en soi à la plage mais font payer toute autre prestation : le droit à un emplacement, un parasol, une chaise, un transat… Et les vacanciers récalcitrants qui viennent avec leur propre équipement sont régulièrement délogés de l’endroit.
Une partie des plages qui facturent, directement ou indirectement, l’accès à la plage sont des concessions cédées par les autorités locales. Des privés obtiennent le droit d’exploiter des parcelles qui ne doivent normalement pas excéder 25% de la surface globale de la plage, le reste étant laissé aux APC. Pour en disposer, il faut répondre à un cahier des charges bien précis, notamment l’entretien, la sécurité et la propreté du lieu. Pourtant l’hygiène est souvent l’un des points qui laisse à désirer et à propos duquel se plaignent de nombreux estivants. «La plupart des plages en Algérie sont sales, il y a des déchets sur le sable et des sacs plastiques qui flottent dans la mer», déplore Mordjane, une étudiante algérienne de 22 ans. «Personnellement ça ne me dérange pas de payer pour avoir une place avec un transat à la plage, à partir du moment où c’est vraiment propre et que le sable est nettoyé».
Le squattage des sables
Outre les parcelles gérées par concession, une autre problématique préoccupe les estivants algériens. Des groupes, notamment de jeunes, s’attribuent la gestion de plages censées être totalement publiques et gérées par les APC. Ils s’arrogent le droit de demander des frais de parking, de location de matériel (parasol et chaise) et même d’entrée. Un sujet de mécontentement qui n’est pas nouveau. «Quoique mis en évidence à l’entrée de chaque site de baignade, les écriteaux de l’APPL assurant que l’accès aux plages est gratuit conformément à la loi, font juste office de décor», constatait déjà El Watan en juillet 2010. Le quotidien algérien avait ensuite relevé «les largesses et le laisser-faire accordés aux jeunes qui exploitent les plages illégalement en imposant des tarifs d’accès exorbitants aux estivants».
Un an plus tard, au cours de la saison estivale 2011, un autre quotidien algérien dénonçait strictement les mêmes agissements, preuve que ce problème n’est pas encore résolu. Liberté qualifiait ainsi les groupes qui accaparent les plages pour en faire des endroits payants de «voleurs de sable». Prenant l’exemple de Cap Djinet parmi tant d’autres, le journal affirmait que «des individus, assurés de l’impunité, plantent des piquets avec du fil barbelé pour cerner la côte dans son ensemble et en faire payer l’entrée».
Coût élevé du parking, de l’accès à la plage ou des prestations, exploitation illégale de parcelles, non entretien, absence de sanitaires, harcèlement des filles en maillot de bain, manque d’hygiène sur la plage et dans les gargotes du bord de mer… Les problématiques nombreuses auxquelles font face les vacanciers algériens en dissuadent certains de se rendre régulièrement sur les plages nationales. Quelques-uns partent à l’étranger tandis que d’autres, de plus en plus nombreux, préfèrent les piscines des hôtels ou les parcs aquatiques. Dans la région d’Alger, des parcs tels que le Kiffan Club ou l’Aquafortland par exemple connaissent un succès grandissant. L’accès est payant mais ces espaces de jeu aquatiques offrent une ambiance familiale et sécurisée avec des prestations claires et précises. *algerie-focus.com-19.06.2013.
**La plage, un espace public en voie de disparition
La plage devient de plus en plus un luxe en Algérie. Une cité interdite réservée aux plus privilégiées. Non, cet alarmisme n’est guère exagéré. Les plages algériennes se privatisent petit à petit et les citoyens sont à chaque fois rackettés par des exploitants qui font fi de la réglementation en vigueur.
Et pourtant, la loi algérienne est claire à ce sujet : l’accès à la plage est gratuit. Seule la prestation de services est payante. Malheureusement, sur le terrain, l’estivant doit presque tout payer ! Du stationnement jusqu’à la baignade, c’est un circuit autour duquel il ne cesse de dépenser. Et en contrepartie, il n’a pratiquement aucune prestation de service digne de ce nom. Pis encore, il est souvent harcelé et inquiété par des bandes de racketteurs indélicats. Quant à la propreté et la protection de l’environnement, ces préoccupations n’ont guère voix au chapitre. La situation est devenue intenable au point où des associations et des collectifs citoyens sont montés au créneau pour clamer leur colère.
En effet, à Oran, le 11 juin dernier, les représentants des associations «Green Peace d’Oran», «les Scouts musulmans algériens», le «Croissant-Rouge algérien (CRA)», «Horizon bleu» et « Les écolos des Andalouses » ont tenu un rassemblement pour dénoncer la décision de la direction du complexe des Andalouses qui a fixé l’accès à la plage à 400 DA, «une décision contraire aux instructions des autorités locales», se sont-elles écriées. Et la colère de la société civile ne se limite pas à Oran car un peu partout à travers l’Algérie, le même constat amer a été dressé. La plage, un espace public en voie de disparition en Algérie. C’est contre cette réalité que de nombreux Algériens se mobilisent aujourd’hui…*algerie-focus.com-19.06.2013.
02 juin: Journée Mondiale pour un Tourisme Responsable et Respectueux
Non au Tourisme Sexuel, un tourisme qui foule au pied toute dignité humaine
Le tourisme sexuel fait partie des perversions les moins avouables des sociétés libérales et « libérées »… de nombreuses associations, laïques ou confessionnelles, des organismes officiels, se sont engagées dans la lutte contre ce tourisme qui foule au pied toute dignité humaine, ne visant qu’à consommer une marchandise. Plus que l’âge des «proies», ce qui choque le plus les populations locales, c’est la violence symbolique de cette transaction. «Cela montre que l’argent permet de tout acheter dans l’impunité la plus totale». Le Maroc est depuis plus d’une dizaine d’années déjà, une terre d’élection pour le tourisme sexuel. Certaines villes comme Marrakech, Casablanca, Tanger ou Agadir sont un eldorado pour les touristes sexuels et pédophiles. Mais l’ampleur de ce fléau est bien plus grande : beaucoup de marocaines prostituées s’envolent vers les riches pays du Golf pour exercer leur métier. Quelle est l’histoire du tourisme sexuel marocain ? Quels sont les principaux bénéficiaires ? Quelles en sont les causes et les conséquences ? Découvrons le Maroc de l’ombre. Des femmes, des filles, des enfants, des voilées, des homos tous prets à s’offir pour 50 Dhs et pour assouvrir les fantasmes des gros pervers et perverses .*cliquer ici: Le tourisme sexuel fait des ravages
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*L’Algérie a pêché la totalité de son quota de thon rouge
La totalité du quota de l’Algérie de thon rouge estimé à 243 tonnes a été pêché avant même la fin de la campagne prévue le 24 juin 2014, a indiqué, mercredi, le chef de cabinet au ministère de la Pêche et des ressources halieutiques, Kamel Negheli.
S’exprimant au cours d’une conférence de presse, il a précisé que l’objectif de cette campagne a été atteint avant même l’épuisement des délais grâce à la conjugaison d’efforts des pouvoirs publics et des opérateurs. Le même responsable a rappelé que 8 armateurs algériens ont participé à cette campagne qui s’est déroulée dans de bonnes conditions.
Selon Neghli, cela démontre que l’Algérie peut facilement pêcher le quota actuel et plus avant de souligner que c’est pour la deuxième année consécutive que l’Algérie pêche la totalité de son quota, depuis que la pêche au thon rouge est confiée aux seuls armateurs algériens.
Toujours selon la même source, « les résultats positifs de cette campagne va aider l’Algérie à demander à augmenter son quota qui est passé de 143 tonne en 2011 à 243 tonnes actuellement (soit près de 2% des captures totales) ».
Comme il a précisé que la campagne de pêche au thon rouge 2014 devrait générer au moins un million d’euros à l’exportation et plus de 6,5 millions DA de redevances payées par les opérateurs ayant participé à cette campagne.*Par Lila Ghali | 18/06/2014 |algerie1.com
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