le jour de l’Earth Hour
30 03 2014**Earth Hour: un événement organisé à l’échelle de la planète
**Couper la lumière durant une heure
**Earth Hour: une heure sans lumière pour la planète
L’occasion de réduire leur consommation d’énergie
*et poser un geste en faveur de l’environnement.
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*Des millions de personnes ont participé à cette 10e édition de l’ « Earth Hour » dans 178 pays, samedi 18 mars 2016
***Après l’Asie et l’Europe, le continent américain a éteint ses lumières samedi soir 18 mars 2018, pour l’opération « Une Heure pour la planète », visant à sensibiliser pays et populations aux engagements contre le réchauffement climatique adoptés par la COP21.
Des millions de personnes ont participé à cette 10e édition de l’ »Earth Hour » dans 178 pays, où à 20H30 locale précisément, monuments ou sites célèbres ont été petit à petit plongés dans le noir, le plus souvent pour une heure, accompagnant la nuit autour de la planète.
À Paris, la tour Eiffel a cessé de scintiller pendant quelques minutes. A Moscou, le Kremlin s’est éteint, tout comme le Parlement, Tower Bridge, la cathédrale Saint-Paul et Buckingham Palace à Londres. A Rome, la Fontaine de Trevi, plongée dans le noir, a ensuite été « colorée » aux couleurs de la planète Terre grâce à l’énergie solaire. A Athènes, le Parthénon a disparu du haut de la colline de l’Acropole. Et à Bucarest, c’est le gigantesque Palais du Parlement et le siège de la présidence qui ont éteint leurs lumières pendant une heure. Au total 54 villes roumaines se sont jointes à l’opération, selon le WWF (Fonds mondial pour la nature) organisateur de l’événement.
Outre les sites célèbres, citoyens, entreprises, collectivités et gouvernements sont également invités à éteindre leurs lumières pendant une heure.
À Sydney, où l’initiative du WWF est née, l’emblématique opéra a plongé dans la nuit ainsi que de nombreux immeubles du port. « Parti d’une ville en 2007, le mouvement s’est progressivement étendu pour toucher aujourd’hui au moins 178 pays et 7.000 villes sur toute la planète », s’est félicité le directeur général de l’opération « Earth Hour », Siddarth Das.
« Des millions de personnes participent désormais à cette action pour le climat », a-t-il assuré à l’AFP par téléphone depuis Singapour. « Le changement climatique est désormais devenu un sujet plus personnel », sur lequel les particuliers se sentent également concernés, a-t-il estimé.
À Taïwan, le gratte-ciel « Taipei 101″, qui culmine à plus de 500 mètres, s’est progressivement éteint tout comme plusieurs ponts. Quelque 150 bâtiments à Singapour et les tours de Hong Kong ont également éteint la lumière.
L’Empire State Building s’est obscurci à New York (Etats-Unis), tout comme le palais présidentiel de La Moneda à Santiago (Chili) et le Monument de la révolution à Mexico.
Le Premier ministre canadien Justin Trudeau a publié sur Twitter une photo de lui et de son épouse s’éclairant à la chandelle, avec un feu de cheminée en arrière-plan. « Nous sommes tous ensemble sur cette planète. Pendant l’Earth Hour et chaque jour qui suivra », a-t-il écrit.
L’objectif de l’initiative est de rappeler que l’énergie consommée a un coût pour la planète et d’inciter gouvernements et particuliers à agir pour le climat.
Les énergies fossiles (charbon, gaz, pétrole), utilisées notamment dans la production d’électricité, sont responsables des 3/4 des émissions de gaz à effet de serre, à l’origine du réchauffement climatique.*dimanche 20/03/2016 -Source: Belga
******Le Fonds mondial pour la nature (WWF) invite cette année encore les personnes désirant montrer leur engagement dans la lutte contre le changement climatique à éteindre les lumières chez elles ce samedi 28 mars 2015, à partir de 20h30 pour une durée d’une heure dans le cadre de l’action Earth Hour. En Belgique, une dizaine de villes participent à l’événement. La 21e conférence des parties à la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (COP21) se tiendra au décembre à Paris. Cette conférence revêt une importance critique étant donné qu’elle doit déboucher sur la conclusion d’un premier accord contraignant et universel sur le climat. Aujourd’hui, même les prévisions les plus optimistes doutent de la limitation du réchauffement à 2°C d’ici la fin du siècle, seuil qui permettrait de se prémunir contre des effets irréversibles et dangereux pour une grande partie de l’humanité et de la planète selon le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC).Avec Earth Hour, le WWF espère lancer un signal clair avant la conférence de Paris. « Il est urgent de mener un plan d’action ambitieux. Earth Hour est l’occasion idéale pour lancer un signal fort au monde politique: nous voulons du changement maintenant! « -Les particuliers, mais également les entreprises et les acteurs publics sont invités à se mobiliser à l’occasion de Earth Hour.*25/03/2015 -Source: Belga
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**samedi 29 mars 2014, de 20 h 30 à 21 h 30 en heure locale, les habitants de la planète Terre sont invités à éteindre symboliquement leurs lumières pour marquer leur attachement à la protection des ressources. C’est l’Earth Hour, organisée chaque année par le WWF.
**L’initiative est désormais bien connue: le jour de l’Earth Hour, on éteint les lumières à 20h30 pour une heure. L’occasion pour certains de réduire leur consommation d’énergie, pour d’autres de poser un geste en faveur de l’environnement. Partout, c’est en tout cas le moment de faire la fête en l’honneur de notre chère planète. Voici donc les premières images de l’Earth Hour 2014. Et vous, en êtes-vous?
**L’Earth Hour est un événement organisé à l’échelle de la planète, pour signifier l’importance de réfléchir à nos productions et nos consommations d’énergie. Au passage, profitons-en pour regarder les étoiles, qui nous attendent derrière les lampadaires
**Couper la lumière durant une heure : c’est l’idée lancée à Sydney en 2007 et entretenue depuis par le WWF. Cette onde planétaire d’ombre qui partira d’Asie pour se terminer à l’ouest de la Polynésie (avec un concert au grand stade de Tahiti) est purement symbolique bien sûr, et certains en sourient.
Elle est avant tout l’occasion de montrer le degré de conscience face aux défis à venir en matière de ressources énergétiques. Au niveau individuel, chacun, ainsi, peut affirmer qu’il est au courant… On peut s’inscrire sur le site français de Earth Hour pour marquer sa participation. Le WWF en profite pour montrer tous les projets qu’il soutient et que l’on peut aider avec des sommes modestes ou une pétition. La page Facebook dédiée permet aussi de s’exprimer.
L’événement est également relayé par des villes du monde entier et à Paris, il ne faudra donc pas s’étonner de voir la tour Eiffel devenir sombre. En France, 400 bâtiments publics, d’ordinaire illuminés, deviendront momentanément des silhouettes dans la nuit, comme dans le reste du monde. En 2013, 7.000 villes, dans 152 pays, avaient participé.*29.03.2014
**Samedi de 20h30 à 21h30, éteignez vos lumières…
La lumière s’éteindra pendant une heure samedi dans des centaines de lieux emblématiques à travers le monde, pour l’opération «Une heure pour la planète» qui promeut la lutte contre le dérèglement climatique et réservera cette année un hommage particulier au Japon. De l’Australie à l’Amérique, en passant par l’Australie, l’Asie, l’Europe et l’Afrique, les édifices les plus célèbres, tels que l’opéra de Sydney, le Christ rédempteur de Rio de Janeiro, l’Empire State Building ou la Tour Eiffel seront plongés dans le noir à 20h30 heure locale à chaque endroit.
Cet événement, baptisé «Earth Hour» en anglais, «est semblable au Nouvel An», a déclaré Andy Ridley, co-fondateur et directeur de l’opération, dont ce sera cette année la cinquième édition. «C’est censé être une fête –c’est un peu différent cette année à cause du Japon–, et c’est censé parler d’espoir et d’avenir», dit-il. A Sydney et dans d’autres villes, les participants de plusieurs événements organisés en marge de l’opération observeront une minute de silence en hommage aux victimes du séisme et du tsunami du 11 mars au Japon, qui ont tué plus de 26.000 personnes. Le début de l’année a également été marqué par des inondations gigantesques dans le nord-est de l’Australie et un tremblement de terre de Christchurch en Nouvelle-Zélande. «Ca a été un mauvais début d’année et c’est l’occasion de s’arrêter un moment pour réfléchir à tout cela», a déclaré l’organisateur
** 4.616 villes et 128 pays participants
Le mouvement est né à Sydney en 2007 lorsque 2,2 millions de personnes avaient plongé la ville dans le noir pendant une heure pour sensibiliser l’opinion à la consommation excessive d’électricité et à la pollution au dioxyde de carbone. Cette opération, organisée à l’initiative du Fonds mondial pour la nature (WWF), a pris une dimension mondiale en 2008. En 2010, 4.616 villes dans 128 pays et territoires, ainsi que des millions de personnes, y ont participé. «Nous étions loin de nous imaginer au début que cela prendrait une telle ampleur», confie Andy Ridley, en soulignant l’importance des réseaux sociaux dans la montée en puissance de cette opération annuelle.
Earth Hour a créé une plateforme sur internet connectée à 14 sites de réseaux sociaux les plus célèbres, de Facebook à Twitter. En dépit de la taille grandissante de Earth Hour, l’événement qui a rassemblé le plus de participants en 2010 selon ses organisateurs, les idéaux du départ n’ont pas changé, selon Andy Ridley. «Lorsque nous avons commencé, nous voulions prendre la température, voir si les gens se souciaient du changement climatique», a-t-il dit. «Or je crois qu’il y a un consensus massif pour passer à l’action, et pas seulement à propos du changement climatique». Les premières lumières à s’éteindre samedi seront celles des Fidji, avant la Nouvelle Zélande.*AFP-25 mars 2011.
Le Grand théâtre national de Pékin a été plongé dans le noir.
*A travers le monde, 371 monuments ont participé. Comme ici le Colisée de Rome, en train de s’éteindre
*En France, l’opération s’est traduite par une baisse d’un peu plus de 1% de la consommation d’électricité. Soit l’équivalent de 13 millions d’ampoules de 60 watts ou la consommation d’une ville comme Lyon un jour de pointe en hiver, selon RTE.
*Manhattan.
*Earth Hour n’a pas que des fans. Les plus sceptiques dénoncent une opération largement symbolique. Bjorn Lomborg, un scientifique danois, a même estimé que l’usage de bougies pendant une heure produirait davantage d’émissions de gaz carbonique que des lumières électriques (Guatemala City)
*Rio de Janeiro.
*C’est l’hôtel de ville de Los Angeles qui, en se rallumant, a marqué la fin de l’opération Une heure pour la planète. L’année 2009 est décisive pour le climat. En décembre, la communauté internationale se réunira à Copenhague pour tenter de prolonger le protocole de Kyoto sur la réduction des émissions de CO2, qui expire en 2012.*20minutes-
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